Cotation en Bourse, coup d'envoi (20/09/2006)
Le ministre des Sports, Jean-François Lamour, présentera demain un projet de loi destiné à permettre l'appel à « l'épargne publique » pour les clubs sportifs professionnels.
Avis aux amateurs… de risques.
Ce projet concerne d'abord, à l'évidence, les clubs de foot, qui génèrent, et de loin, les plus gros chiffres d'affaires du sport français. La levée de l'interdiction (jusqu'alors en vigueur en France) de l'introduction en Bourse est, en fait, la suite logique d'un feuilleton marqué par la pression des grands clubs eux-mêmes, en faveur de la cotation.
Devant les réticences initiales du gouvernement, huit clubs avaient déposé une plainte auprès la Commission européenne, pour entrave à la concurrence. Le bras de fer était à sens unique : Bruxelles, rappelant que la libre circulation des capitaux est la règle en Europe, ne pouvait que constater « l'anomalie » française. Cela n'était plus, alors, qu'une question de calendrier… et d'encadrement de cette ouverture du marché, dont Jean-François Lamour était, dès lors, obligé d'accepter le principe.
Le ministre des Sports en a résumé hier l'esprit : « Que les clubs puissent présenter un projet d'introduction en Bourse à l'Autorité des marchés financiers (AMF), avec une information relative à leur développement : de leur activité sportive et de l'acquisition d'actifs destinés à renforcer leur stabilité et leur pérennité, c'est-à-dire incluant des projets associés. »
En clair, les clubs éligibles à la cotation devront offrir des garanties sérieuses de leur solidité économique, commençant par un patrimoine réel, et se poursuivant par un projet de développement clair et réaliste. Comme toute autre entreprise ouverte au marché boursier.Posséder son propre stade (comme Auxerre), ou jouir sur celui-ci d'un bail emphytéotique (comme Lens), sera donc le ticket d'entrée officiellement nécessaire pour présenter un projet de cotation.
Pour amateurs d'émotions fortes
A Lyon, le président Jean-Michel Aulas, l'un des plus grands partisans de cette libéralisation, a tout lieu de se féliciter. Même s'il y a deux ans, l'AMF avait recalé son dossier en constatant que les revenus des activités périphériques au foot étaient insuffisants (moins de 20 % du chiffre d'affaires). Même si la SASP (société anonyme sportive professionnelle) Olympique Lyonnais, accusait encore une perte nette de 6,5 millions d'euros à la fin de la saison 2004, où le club était pourtant champion de France pour la troisième année consécutive…
Si ce projet de loi est également salué par Frédéric Thiriez, le président de la Ligue professionnelle de football – qui en avait fait une priorité de son mandat, dès 2002 – il ne suscite pas pour autant un engouement unanime : à Marseille, l'épargne publique « n'est pas d'actualité » selon le directeur général, Thierry de La Brosse. A Bordeaux, le président Jean-Louis Triaud considère qu'il ne « s'agit pas d'un centre d'intérêt pour le club. »
Il est vrai que le foot, activité à haut risque sur le plan des résultats (et donc des profits), ne peut s'adresser qu'à des investisseurs ayant le goût de l'aventure. Les exemples européens (lire par ailleurs) prouvent amplement qu'on s'adresse aux amoureux de l'émotion forte, bien plus qu'au bas de laine des « bons pères de famille ». Mais puisque l'Europe l'exige…
Éric RICHARD
Cotation des clubs en bourse
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Tranquilou
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Cotation des clubs en bourse
Modifié en dernier par Anonymous le mer. 20 sept., 2006 4:57 pm, modifié 1 fois.
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Tranquilou
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Voilà les résultats dans les différents pays ou les cotations existent!
Des exemples très médiocres en Europe
Italie: trois clubs sont cotés pour des résultats très médiocres. Le premier a été la Lazio Rome en 1998. Son action ne cote actuellement que 0,35 euro contre environ 18 euros à ses débuts. L'AS Rome est entrée en Bourse en 2000, au cours de 5,50 euros. Elle ne valait que 0,72 lundi soir. La Juventus Turin est entrée à 3,70 euros par titre en 2001. Le titre Juventus a chuté depuis pour atteindre 1,77 euro lundi. Son titre cotait plus de 2 euros avant que n'éclate le scandale des matchs truqués début mai. Il était tombé jusqu'à
1,50 euro au plus fort des révélations sur les implications de ses dirigeants dans ce scandale. Le Parlement italien avait autorisé en 1996 la cotation en Bourse des clubs en dépit de la réticence de l'autorité boursière Consob qui avait souligné l'ampleur des risques pour les investisseurs.
Allemagne: l'entrée du seul club en Bourse, Dortmund, est un "flop". La société en commandite par action (SCP) Borussia Dortmund était cotée à 11 euros lors de son entrée sur le marché en octobre 2000. L'action valait 2,45 euros mardi, soit une dégringolade de près de 80%. Dortmund a enregistré des pertes de 3,9 millions d'euros lors de l'exercice 2005/06 (clos fin juin), après des pertes records lors de l'exercice 2004-2005 (79,6 M EUR). Menacé d'un dépôt de bilan en février 2005, le Borussia a vendu les droits sur le nom de son stade, le Westfalenstadion, au groupe d'assurances Signal Iduna, pour une somme estimée à 20 M EUR. Le club a depuis annoncé qu'il comptait racheter son stade. Cette mauvaise expérience a quelque peu échaudé d'autres clubs visant la cotation, notamment le Bayern Munich, qui semble avoir abandonné tout projet en ce sens.
Angleterre: huit clubs anglais sont cotés en Bourse, dont Liverpool, Aston Villa et Newcastle. Arsenal est coté sur un marché secondaire, l'Ofex, qui est réservé aux sociétés disposant d'un actionnariat réduit, avec une faible liquidité. Arsenal, qui avait besoin de liquidité après la construction de son stade, avait envisagé en novembre 2004 une introduction à la London Stock Exchange (LSE) mais avait renoncé. Mais après l'enthousiasme initial, le mouvement de cotation engagé dans les années 1990 ne s'est pas poursuivi et s'est même inversé, plusieurs clubs ayant renoncé ou s'étant retirés. Sunderland, Chelsea, Tottenham et Manchester United, présenté comme le club de
football le plus rentable du monde et coté depuis 1991, se sont ainsi retirés de la Bourse depuis 2004. La décision de Chelsea et Manchester était intervenue après l'arrivée de nouveaux investisseurs, le Russe Abramovitch et l'Américain Glazer.
Espagne: la législation permet depuis 2002 la cotation en Bourse des clubs de football mais aucun jusqu'à présent ne s'est risqué sur le marché, sans doute en raison des précautions qui entourent l'entrée en Bourse des sociétés sportives espagnoles. La législation interdit en effet la distribution de dividendes aux actionnaires de sociétés sportives avant trois années de bénéfice et limite à 25% la part maximale qu'un actionnaire peut détenir dans une société sportive. La loi empêche aussi parallèlement un actionnaire détenant plus de 5% d'un club de posséder une participation dans un autre club. Les clubs de première division espagnole sont tous des sociétés anonymes sportives à l'exception du Real Madrid, FC Barcelone, Osasuna (Pampelune) et Athletic Bilbao
qui sont des sociétés à but non-lucratif et détenus par les "socios", à savoir
des personnes privées, généralement supporteurs du club
Pour moi, c'est un grand NON
Des exemples très médiocres en Europe
Italie: trois clubs sont cotés pour des résultats très médiocres. Le premier a été la Lazio Rome en 1998. Son action ne cote actuellement que 0,35 euro contre environ 18 euros à ses débuts. L'AS Rome est entrée en Bourse en 2000, au cours de 5,50 euros. Elle ne valait que 0,72 lundi soir. La Juventus Turin est entrée à 3,70 euros par titre en 2001. Le titre Juventus a chuté depuis pour atteindre 1,77 euro lundi. Son titre cotait plus de 2 euros avant que n'éclate le scandale des matchs truqués début mai. Il était tombé jusqu'à
1,50 euro au plus fort des révélations sur les implications de ses dirigeants dans ce scandale. Le Parlement italien avait autorisé en 1996 la cotation en Bourse des clubs en dépit de la réticence de l'autorité boursière Consob qui avait souligné l'ampleur des risques pour les investisseurs.
Allemagne: l'entrée du seul club en Bourse, Dortmund, est un "flop". La société en commandite par action (SCP) Borussia Dortmund était cotée à 11 euros lors de son entrée sur le marché en octobre 2000. L'action valait 2,45 euros mardi, soit une dégringolade de près de 80%. Dortmund a enregistré des pertes de 3,9 millions d'euros lors de l'exercice 2005/06 (clos fin juin), après des pertes records lors de l'exercice 2004-2005 (79,6 M EUR). Menacé d'un dépôt de bilan en février 2005, le Borussia a vendu les droits sur le nom de son stade, le Westfalenstadion, au groupe d'assurances Signal Iduna, pour une somme estimée à 20 M EUR. Le club a depuis annoncé qu'il comptait racheter son stade. Cette mauvaise expérience a quelque peu échaudé d'autres clubs visant la cotation, notamment le Bayern Munich, qui semble avoir abandonné tout projet en ce sens.
Angleterre: huit clubs anglais sont cotés en Bourse, dont Liverpool, Aston Villa et Newcastle. Arsenal est coté sur un marché secondaire, l'Ofex, qui est réservé aux sociétés disposant d'un actionnariat réduit, avec une faible liquidité. Arsenal, qui avait besoin de liquidité après la construction de son stade, avait envisagé en novembre 2004 une introduction à la London Stock Exchange (LSE) mais avait renoncé. Mais après l'enthousiasme initial, le mouvement de cotation engagé dans les années 1990 ne s'est pas poursuivi et s'est même inversé, plusieurs clubs ayant renoncé ou s'étant retirés. Sunderland, Chelsea, Tottenham et Manchester United, présenté comme le club de
football le plus rentable du monde et coté depuis 1991, se sont ainsi retirés de la Bourse depuis 2004. La décision de Chelsea et Manchester était intervenue après l'arrivée de nouveaux investisseurs, le Russe Abramovitch et l'Américain Glazer.
Espagne: la législation permet depuis 2002 la cotation en Bourse des clubs de football mais aucun jusqu'à présent ne s'est risqué sur le marché, sans doute en raison des précautions qui entourent l'entrée en Bourse des sociétés sportives espagnoles. La législation interdit en effet la distribution de dividendes aux actionnaires de sociétés sportives avant trois années de bénéfice et limite à 25% la part maximale qu'un actionnaire peut détenir dans une société sportive. La loi empêche aussi parallèlement un actionnaire détenant plus de 5% d'un club de posséder une participation dans un autre club. Les clubs de première division espagnole sont tous des sociétés anonymes sportives à l'exception du Real Madrid, FC Barcelone, Osasuna (Pampelune) et Athletic Bilbao
qui sont des sociétés à but non-lucratif et détenus par les "socios", à savoir
des personnes privées, généralement supporteurs du club
Pour moi, c'est un grand NON
je pense exactement la meme chose.VICASCO a écrit :Pour moi non ! Ce sera encore + la course à la performance , après on s'étonne que des arbitres sont achetés ...........
quand au sondage de tranquilou....c'est curieux quand meme !!!!
etes vous pour ou contre...et il faut repondre par oui ou par non,peut etre aurait il fallu demander si on etait pour et avec 2 reponses oui ou non !!!!!
"Toute vérité passe par 3 étapes : d'abord elle est ridiculisée ; ensuite elle est violemment combattue ; et enfin elle est acceptée comme une évidence"
Arthur Schopenhauer
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Completement contre les joueurs de foot ne sont pas du betail le football est un sport populaire quels deception..... 
Toute l'actu du SCO sur http://www.thescoismagic.com !
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sheridan a écrit :je pense exactement la meme chose.VICASCO a écrit :Pour moi non ! Ce sera encore + la course à la performance , après on s'étonne que des arbitres sont achetés ...........
quand au sondage de tranquilou....c'est curieux quand meme !!!!
etes vous pour ou contre...et il faut repondre par oui ou par non,peut etre aurait il fallu demander si on etait pour et avec 2 reponses oui ou non !!!!!
Oui, je sais, je m'en suis rendu compte en relisant et..., j'ai été incapable de modifier le "oui et non" par "pour ou contre" .Si un jeune veut bien instruire le vieux pour effectuer cette manip, je suis preneur
oooooh les ouvriers (de Peugeot par exemple, qui touche le smic) ne sont pas du bétails pourtant leur entreprise sont bien coté en bourse, c'etait une entreprise familliale au début, quel déceptionFurka a écrit :Completement contre les joueurs de foot ne sont pas du betail le football est un sport populaire quels deception.....
Je ne vois pas pourquoi faire de l'humanisme quand les mecs sont payé 50 000 € par mois, je veux bien être traités comme du bétails pour cet paye là
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Tranquilou
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la Bourse ouverte aux clubs français
jeudi 21 septembre 14:58
PARIS (Reuters) - La Bourse s'ouvre aux clubs de football français.
Le ministre des Sports a présenté jeudi en conseil des ministres un texte qui permet aux sociétés anonymes sportives de faire appel public à l'épargne.
Jean-François Lamour, hostile à ce dispositif, se plie à une injonction de la Commission européenne qui, dès le 1er avril 2004, avait mis en demeure Paris de lever l'interdiction de cotation en Bourse des clubs de football, comme c'est le cas en Grande-Bretagne ou en Italie, avec certes des résultats mitigés.
Bruxelles avait menacé le 14 décembre dernier de saisir la Cour de justice des communautés européennes à la suite de la plainte de huit clubs français, dont l'Olympique lyonnais, Marseille, Lens ou Bordeaux.
Une lettre rectificative au projet de loi pour le développement de la participation et de l'actionnariat salarié modifie ainsi l'article 13 de la loi du 16 juillet 1984 sur le sport.
Cette libéralisation se fera toutefois sous conditions.
Les sociétés anonymes à objet sportif devront informer le public qu'elles disposent d'un actif pérenne - ou qu'elles en ont le projet -, "notamment par la détention de droits réels sur les équipements sportifs qu'elles utilisent".
L'appel public à l'épargne permettra "la construction d'équipements sportifs, en particulier de stades", a précisé Jean-François Lamour à l'issue du conseil des ministres.
Il favorisera également "une activité commerciale complémentaire permettant d'asseoir les résultats du club pas simplement sur les résultats sportifs mais également sur une activité économique diversifiée", a-t-il ajouté.
MAUVAIS RESULTATS
Pour autant l'entrée en Bourse des clubs reste pour le ministre "seconde et secondaire".
"Je souhaitais protéger l'actionnaire, je reste encore très interrogatif sur les résultats d'une entrée en Bourse", a-t-il dit. "On voit des exemples européens qui sont très mauvais en termes de résultats : des actions qui valaient 100 à l'introduction d'un club en Bourse valent 10 voire cinq maintenant".
La secrétaire générale du Parti Communiste Français, Marie-George Buffet, ancienne ministre des Sports, s'est élevé contre cette mesure.
"La spécificité de l'activité sportive est inscrite comme un principe dans le Traité de Nice, toujours en vigueur aujourd'hui", a-t-elle fait savoir dans un communiqué.
"De nombreux ministres des sports de tous les pays d'Europe l'avaient alors défendu. Ce principe permet au sport de ne pas être considéré comme n'importe quel autre marché, et de ne pas tomber pas sous le joug de la libre circulation des capitaux.
"La décision de M. Lamour montre à l'évidence un manque de courage et de volonté politique.
Le rôle d'un Ministre des Sports est de "défendre des principes et de favoriser le développement de l'ensemble du sport."
L'Olympique lyonnais, dont le président Jean-Michel Aulas milite activement depuis des années pour la cotation des clubs, devrait être le premier à soumettre son dossier à l'Autorité des marchés financiers (AMF), en vue d'une entrée en Bourse.
Dans l'édition de jeudi de L'Equipe, Jean-François Lamour s'inquiète de l'instauration d'une championnat de France "à deux vitesses" (1)et invite les dirigeants du football à "assumer leurs responsabilités".
(1) C'est inévitable!
21/09 12h00 - Football
Le projet de loi sur la bourse adopté
Comme prévu, le projet de loi sur l'introduction en bourse des clubs sportifs professionnels a été adopté par le Conseil des ministres
jeudi 21 septembre 14:58
PARIS (Reuters) - La Bourse s'ouvre aux clubs de football français.
Le ministre des Sports a présenté jeudi en conseil des ministres un texte qui permet aux sociétés anonymes sportives de faire appel public à l'épargne.
Jean-François Lamour, hostile à ce dispositif, se plie à une injonction de la Commission européenne qui, dès le 1er avril 2004, avait mis en demeure Paris de lever l'interdiction de cotation en Bourse des clubs de football, comme c'est le cas en Grande-Bretagne ou en Italie, avec certes des résultats mitigés.
Bruxelles avait menacé le 14 décembre dernier de saisir la Cour de justice des communautés européennes à la suite de la plainte de huit clubs français, dont l'Olympique lyonnais, Marseille, Lens ou Bordeaux.
Une lettre rectificative au projet de loi pour le développement de la participation et de l'actionnariat salarié modifie ainsi l'article 13 de la loi du 16 juillet 1984 sur le sport.
Cette libéralisation se fera toutefois sous conditions.
Les sociétés anonymes à objet sportif devront informer le public qu'elles disposent d'un actif pérenne - ou qu'elles en ont le projet -, "notamment par la détention de droits réels sur les équipements sportifs qu'elles utilisent".
L'appel public à l'épargne permettra "la construction d'équipements sportifs, en particulier de stades", a précisé Jean-François Lamour à l'issue du conseil des ministres.
Il favorisera également "une activité commerciale complémentaire permettant d'asseoir les résultats du club pas simplement sur les résultats sportifs mais également sur une activité économique diversifiée", a-t-il ajouté.
MAUVAIS RESULTATS
Pour autant l'entrée en Bourse des clubs reste pour le ministre "seconde et secondaire".
"Je souhaitais protéger l'actionnaire, je reste encore très interrogatif sur les résultats d'une entrée en Bourse", a-t-il dit. "On voit des exemples européens qui sont très mauvais en termes de résultats : des actions qui valaient 100 à l'introduction d'un club en Bourse valent 10 voire cinq maintenant".
La secrétaire générale du Parti Communiste Français, Marie-George Buffet, ancienne ministre des Sports, s'est élevé contre cette mesure.
"La spécificité de l'activité sportive est inscrite comme un principe dans le Traité de Nice, toujours en vigueur aujourd'hui", a-t-elle fait savoir dans un communiqué.
"De nombreux ministres des sports de tous les pays d'Europe l'avaient alors défendu. Ce principe permet au sport de ne pas être considéré comme n'importe quel autre marché, et de ne pas tomber pas sous le joug de la libre circulation des capitaux.
"La décision de M. Lamour montre à l'évidence un manque de courage et de volonté politique.
Le rôle d'un Ministre des Sports est de "défendre des principes et de favoriser le développement de l'ensemble du sport."
L'Olympique lyonnais, dont le président Jean-Michel Aulas milite activement depuis des années pour la cotation des clubs, devrait être le premier à soumettre son dossier à l'Autorité des marchés financiers (AMF), en vue d'une entrée en Bourse.
Dans l'édition de jeudi de L'Equipe, Jean-François Lamour s'inquiète de l'instauration d'une championnat de France "à deux vitesses" (1)et invite les dirigeants du football à "assumer leurs responsabilités".
(1) C'est inévitable!
21/09 12h00 - Football
Le projet de loi sur la bourse adopté
Comme prévu, le projet de loi sur l'introduction en bourse des clubs sportifs professionnels a été adopté par le Conseil des ministres
"Messieurs faîtes vos jeux , c'est parti ..........."
L'introduction de clubs français en bourse est désormais possible. Après un dernier vote du Sénat, le Parlement a adopté jeudi le projet de loi sur la participation qui autorise, entre autres, aux clubs «de faire appel à l'épargne publique». Longtemps défavorable à ce projet, Jean-François Lamour, ministre de la jeunesse, des Sports et la vie associative, a dû faire marche arrière devant la pression de l'Union Européenne
L'introduction de clubs français en bourse est désormais possible. Après un dernier vote du Sénat, le Parlement a adopté jeudi le projet de loi sur la participation qui autorise, entre autres, aux clubs «de faire appel à l'épargne publique». Longtemps défavorable à ce projet, Jean-François Lamour, ministre de la jeunesse, des Sports et la vie associative, a dû faire marche arrière devant la pression de l'Union Européenne
J'ai pas trop souvenir de clubs étranger , où l'entrée en bourse a été un réel succès !! Mais bon Lyon où plutôt MONSIEUR Aulas ouvre le bal .
« Cette opération va permettre au Groupe de disposer de ressources nouvelles pour accélérer sa croissance et poursuivre son développement maîtrisé sur une base diversifiée de revenus », a décléré Jean-Michel Aulas, le PDG d'OL Groupe.
OL Groupe a lancé vendredi matin son introduction en bourse. L'Olympique lyonnais est le premier club de football français à être coté en bourse. L'offre est ouverte entre 21 et 24,40 Euros par action.
« Cette opération va permettre au Groupe de disposer de ressources nouvelles pour accélérer sa croissance et poursuivre son développement maîtrisé sur une base diversifiée de revenus », a décléré Jean-Michel Aulas, le PDG d'OL Groupe.
OL Groupe a lancé vendredi matin son introduction en bourse. L'Olympique lyonnais est le premier club de football français à être coté en bourse. L'offre est ouverte entre 21 et 24,40 Euros par action.
Réfléchis 2 secondes:phil a écrit :Certainement pas...
tu as peut etre plus d'info ????
Henry est dans les 5-6 joueurs les mieux payés d'Angleterre, le championnat le plus fort économiquement. Si tu en prends quelques uns à son niveau en Allemagne, Italie, Espagne et France (ce qui m'étonnerait) tu es plus proche des 0.15% que 15%...
Pour le reste du monde (hormis pour Beckham), il n'y a même pas de comparaison possible tant les salaires sont inférieurs.
Croaaaa!!!
Je crois que tu n'as aucune idée des imbécilités que tu sors.
Complètement à côté de la plaque.
Les plus gros salaires de joueurs de football au monde à l'été 2006:
1 Shevchenko 9 800 000
2 Ronaldinho 8 500 000
3 Franck Lampard 7 200 000
4 Rio Ferdinand 7 200 000
5 Michael Ballack 9 800 000
6 Thierry Henry 7 200 000
7 Steven Gerrard 6 700 000
8 Ronaldo 6 400 000
9 Zinédine Zidane 6 400 000
10 Raul 6 400 000
11 Ruud Van Nistelrooy 6 400 000
12 David Beckham 6 400 000
13 Oliver Kahn 6 000 000
14 Kaka 6 000 000
15 John Terry 5 700 000
16 Harry Kewel 5 700 000
17 Francesco Totti 5 650 000
18 David Trézéguet 5 500 000
19 Hernan Crespo 5 400 000
20 Didier Drogba 5 400 000
21 Wayne Rooney 5 200 000
22 Michael Owen 5 000 000
23 Patrick Vieira 5 000 000
24 Michael Essien 5 000 000
25 Pavel Nedved 5 000 000
26 Gianluigi Buffon 5 000 000
27 Fabio Cannavaro 5 000 000
28 Deco 5 000 000
29 Joe Cole 4 600 000
30 Samuel Eto'o 4 600 000
31 Lilian Thuram 4 500 000
Tu persistes dans ton délire?
Complètement à côté de la plaque.
Les plus gros salaires de joueurs de football au monde à l'été 2006:
1 Shevchenko 9 800 000
2 Ronaldinho 8 500 000
3 Franck Lampard 7 200 000
4 Rio Ferdinand 7 200 000
5 Michael Ballack 9 800 000
6 Thierry Henry 7 200 000
7 Steven Gerrard 6 700 000
8 Ronaldo 6 400 000
9 Zinédine Zidane 6 400 000
10 Raul 6 400 000
11 Ruud Van Nistelrooy 6 400 000
12 David Beckham 6 400 000
13 Oliver Kahn 6 000 000
14 Kaka 6 000 000
15 John Terry 5 700 000
16 Harry Kewel 5 700 000
17 Francesco Totti 5 650 000
18 David Trézéguet 5 500 000
19 Hernan Crespo 5 400 000
20 Didier Drogba 5 400 000
21 Wayne Rooney 5 200 000
22 Michael Owen 5 000 000
23 Patrick Vieira 5 000 000
24 Michael Essien 5 000 000
25 Pavel Nedved 5 000 000
26 Gianluigi Buffon 5 000 000
27 Fabio Cannavaro 5 000 000
28 Deco 5 000 000
29 Joe Cole 4 600 000
30 Samuel Eto'o 4 600 000
31 Lilian Thuram 4 500 000
Tu persistes dans ton délire?
Croaaaa!!!
Incompréhensible ce post...phil a écrit :l'imbécile te dit M.....
pour la suite tu me sort une liste de 31 joueurs .......!!!!!!
des salaire a l'année primes et pub......... OK
et les autres un exemple dans le championnat francais pas de nom salaire annuel : 3,5 M € primes et pub incluses
un autre pour la fin de l'histoire et retourne a tes études
championnat argentin et oui tj pas de nom salaire annuel : 3,8 M€ Primes et pub incluses
et ils y en bq d'autres cher monsieur
Si quelqu'un a compris quelque chose qu'il me l'explique!!!
Croaaaa!!!
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Tranquilou
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Lyon : Pas d'incidence sur la bourse
Jean-Michel Aulas, le président de l'OL, a précisé lundi sur le site internet du club que les mauvais résultats actuels n'ont aucune incidence sur la cotation en bourse du club rhodanien.
«Ces mauvais résultats n'ont pas d'incidence sur la cotation en bourse car nous avons bien pris la peine d'expliquer qu'il ne s'agissait pas de coter les résultats mais de coter une mécanique économique dans laquelle nous avons mis en place ce qu'il fallait pour avoir des résultats sur le plan passé et sur le plan futur. Cela n'a donc pas d'incidence», explique le président.
«Encore une fois, les objectifs qui permettent d'aller au bout de nos intentions restent les mêmes. On reste en ligne favorable pour le championnat même s'il faudra se remettre en cause. On est en ligne favorable en Coupe de la Ligue. Et tout reste possible en Champions League. La bourse va apporter des moyens considérables à l'Olympique Lyonnais pour implanter son stade, développer un second centre de formation. La bourse va donc donner du courage à tout le monde. Il n'y a pas de corrélation directe entre les résultats d'un jour et des perspectives économiques qui sont très favorables», a souligné l'homme fort de l'OL.
Jean-Michel Aulas, le président de l'OL, a précisé lundi sur le site internet du club que les mauvais résultats actuels n'ont aucune incidence sur la cotation en bourse du club rhodanien.
«Ces mauvais résultats n'ont pas d'incidence sur la cotation en bourse car nous avons bien pris la peine d'expliquer qu'il ne s'agissait pas de coter les résultats mais de coter une mécanique économique dans laquelle nous avons mis en place ce qu'il fallait pour avoir des résultats sur le plan passé et sur le plan futur. Cela n'a donc pas d'incidence», explique le président.
«Encore une fois, les objectifs qui permettent d'aller au bout de nos intentions restent les mêmes. On reste en ligne favorable pour le championnat même s'il faudra se remettre en cause. On est en ligne favorable en Coupe de la Ligue. Et tout reste possible en Champions League. La bourse va apporter des moyens considérables à l'Olympique Lyonnais pour implanter son stade, développer un second centre de formation. La bourse va donc donner du courage à tout le monde. Il n'y a pas de corrélation directe entre les résultats d'un jour et des perspectives économiques qui sont très favorables», a souligné l'homme fort de l'OL.
C'est officiel pour Lyon , l'action est à 24 euros !!VICASCO a écrit :J'ai pas trop souvenir de clubs étranger , où l'entrée en bourse a été un réel succès !! Mais bon Lyon où plutôt MONSIEUR Aulas ouvre le bal .
« Cette opération va permettre au Groupe de disposer de ressources nouvelles pour accélérer sa croissance et poursuivre son développement maîtrisé sur une base diversifiée de revenus », a décléré Jean-Michel Aulas, le PDG d'OL Groupe.
OL Groupe a lancé vendredi matin son introduction en bourse. L'Olympique lyonnais est le premier club de football français à être coté en bourse. L'offre est ouverte entre 21 et 24,40 Euros par action.
Selon un rapport du cabinet d'audit financier Deloitte & Touche, l’OL serait le 11ème club de football le plus riche de la planète, avec 127,7 millions d’euros de chiffre d'affaires. Le leader de ce classement est le Real Madrid, avec 292,2 millions d’euros de recettes, devant le FC Barcelone (259,1 millions) et la Juventus (251,2 millions).
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vince le saumurois
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Pourtant j'ai bien peur pour Lyon que ce soit ceux-là qui vont venir en masse.cac40 a écrit :Les gens s'intéressent de ce fait plus à l'économie, voient ce que ça signifie d'investir dans une entreprise parce qu'on croit en elle. Je ne parle pas de ceux qui "jouent" à gagner un maximum en un minimum de temps.
Croaaaa!!!
Ca commence plutôt mal pour eux ....jourdesco a écrit :Pourtant j'ai bien peur pour Lyon que ce soit ceux-là qui vont venir en masse.cac40 a écrit :Les gens s'intéressent de ce fait plus à l'économie, voient ce que ça signifie d'investir dans une entreprise parce qu'on croit en elle. Je ne parle pas de ceux qui "jouent" à gagner un maximum en un minimum de temps.
Au lendemain de l'élimination en huitième de finale de Champion's League par l'AS Roma, le titre OL Groupe chute lourdement à la bourse de Paris. L'action des champions de France en titre a baissé de 4% ce matin et se retrouve à 22€. Cette sortie de la plus prestigieuse et lucrative des compétitions européennes constitue un manque à gagner de 10 millions d'euros pour l'OL...
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Tisco
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Le problème, c'est qu'il étaient tellement au sommet deja avant leur cotations, que seul gagner la LDC pouvait vraiment les faires plus grimper, tandis que la, sa devrait un peu stagner, surtout que pour beaucoup le titre de champion de france étant deja assuré, sa ne va pas leur donner un grand coup d'accélérateur quand il en seront réellement en possesion, peut-etre encore la coupe de france, pourrait leur donner un bon coup de pouce, mais on finit par etre blaser pour le championnat,
Enfin pour ma part, seul la LDC m'aurait "passioner" a Lyon. Le principê de la bourse c'est de monter, mais quand on est au sommet, ca deviens difficile, donc pour la Bourse, ce sera l'an prochain
Enfin pour ma part, seul la LDC m'aurait "passioner" a Lyon. Le principê de la bourse c'est de monter, mais quand on est au sommet, ca deviens difficile, donc pour la Bourse, ce sera l'an prochain