footpassion49 a écrit :Je ne sais pas s'il faut parler de réussite. Sur 2 ou 3 matches, cela peut passer pour de la réussite, mais sur 17 matches (ou disons 14 matches depuis fin août), cela ressemble à un système efficace.
Chaque match c'est la même histoire, en tout cas à domicile : on donne l'impression de subir, les équipes adverses se créent beaucoup de "situations" mais finalement peu de grosse "occasion". Et on ne prend presque aucun but.
De l'autre côté, en attaque, c'est un peu l'inverse : le SCO se crée peu de "situations" mais il se montre terriblement efficace pour marquer.
Paris FC, Bastia, Concarneau, Bordeaux, Valenciennes, Caen, Grenoble... C'est tellement répétitif qu'on ne peut pas attribuer cela à de la réussite mais bien au travail et au niveau de l'équipe.
Cela dit, je considère que notre marge de manœuvre n'est pas immense et que ce système efficace peut s'enrayer. D'où la nécessité de se renforcer sur certains postes clés, à commencer par le milieu défensif en ce qui me concerne.
oui sur 17 matchs, ce n'est pas un hasard : mais c'est dans le rapport de force parfois que la pièce tombe du bon côté : par exemple hier en première mi-temps, grenoble poussait et bamba a sauver 2 ou 3 fois des tirs qui auraient très bien pu faire but ( si grenoble mène au score hier en première mi-temps, ce n'aurait pas été un scandale ) ; ou encore j'ai d'autres situations chaude, contre les corses samedi, je me souviens que sur un corner, un joueur adverse est seul à 3 mètres du but et il a largement le temps d'ajuster sa tête...mais il l'a met au dessus.
c'est peut-être le jeu du sco qui veut ça : aspirer l'adversaire et le piéger en contre ( cette situation s'est souvent répétée cette saison ); et en effet, l'équilibre est parfois précaire et peut-être que d'ici quelques temps, on ne sera peut-être pas aussi efficace dans les 2 surfaces ? ...ou pas
en tout cas ça ressemble à un jeu d'équilibriste ou les rapports de force ne tiennent parfois qu'a un fil...en tout cas c'est l'impression que ça donne : on a l'impression que le sco peut exploser quand l'adversaire pousse et à l'inverse, il est d'un froid clinique avec les quelques occaz qu'il se procure .
en tout cas, il y a un dénominateur commun à tous les matchs à domicile : le sco termine souvent très fort ses matchs , en se créant pas mal d'occaz : la présence de bahoya n'y est probablement étrangère