Monsieur Jean-Marie AUBRY (Entraîneur des gardiens de l'équipe de France de beach-soccer)
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Monsieur Jean-Marie AUBRY (Entraîneur des gardiens de l'équipe de France de beach-soccer)
pour info Jean Marie Aubry champion du monde de Beach Soccer avec la Cantona Team
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lacouture.49
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lacouture.49
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La France, tenante du titre, débutait ce soir la 2ème Coupe du Monde de Beach Soccer de la FIFA. Face à l'Espagne, sacrée Championne d'Europe en août dernier, les joueurs d'Eric Cantona ont signé à Rio de Janeiro (Brésil) un magnifique succès 7-4.
Début juin 2023 après 8 saisons en L1,notre SCO redescend en L2. Cela ne signifie pas forcement y mourir, certains clubs parviennent même à se pérenniser durablement dans l'anti chambre du foot français avec un budget équilibré!
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zeuking
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En tout cas il a l'air de bien s'éclater et fait plaisir à voir. La France termine à la 3ème place aprés sa victoire dans la petite finale face au Portugal.
" c' est en voyant un moustique se poser sur ses testicules, qu' on réalise qu' on ne peut pas régler tous les problèmes par la violence..." proverbe Chinois
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materrazzi
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pj328
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Jean-Marie Aubry, héros du match et décisif lors des tirs au but.
http://www.fff.fr/selections/beachsocce ... 0622.shtml
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Tiwy
- Scoïste, enfin !
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materrazzi a écrit :ricouille a écrit :l equipe de france de beach soccer a perdu en demi final
a quand un nouvel aubry a angers
j apreciait beaucoup ce gardien
c'est vrai que c'était un bon gardien
Un très bon gardien même, très spectaculaire. Et pourtant la concuurence était forte puisqu'à un moment donné il y avait Ramé, Aubry et Sachy à Angers !
Je me souviens notamment d'un Angers-Laval au cours duquel il arrête un pénalty et tout Jean Bouin (comble) de scander son nom : un grand moment ! Et plus c'était quelqu'un de fort sympathique autant que j'ai pu en juger.
Yes we did !
J'adore Gilles Sunu, mais aussi Alicia Keys et Bruno Mars !
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Tiwy a écrit :materrazzi a écrit :ricouille a écrit :l equipe de france de beach soccer a perdu en demi final
a quand un nouvel aubry a angers
j apreciait beaucoup ce gardien
c'est vrai que c'était un bon gardien
Un très bon gardien même, très spectaculaire. Et pourtant la concuurence était forte puisqu'à un moment donné il y avait Ramé, Aubry et Sachy à Angers !
Je me souviens notamment d'un Angers-Laval au cours duquel il arrête un pénalty et tout Jean Bouin (comble) de scander son nom : un grand moment ! Et plus c'était quelqu'un de fort sympathique autant que j'ai pu en juger.
eh les gars il est bien vivant Jean-Marie alors arretez!!
"Ex-Ministre des Générations SCOistes"
Merci W.!
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chris49000
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Jean-Marie Aubry,Jean-Marie Aubry...Jean-Ma, Jean-Ma, Jean-Marie Aubry 
Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait, rien ne se perdrait
Retenir équivaut à croire qu’il y a seulement un passé, lâcher prise c’est croire en l'avenir
dailymotion.com/video/xpi8yd_les-5-ans-de-l-equipe-du-lundi-29-novembre-2010-radio-g_webcam
Retenir équivaut à croire qu’il y a seulement un passé, lâcher prise c’est croire en l'avenir
dailymotion.com/video/xpi8yd_les-5-ans-de-l-equipe-du-lundi-29-novembre-2010-radio-g_webcam
JM Aubry actuellement en grande forme lors de la coupe du monde de beach soccer!
Les critiques d'accord
L' irrespect jamais!!!
www.radio-g.fr
Infos, débats, analyses, interviews autour du SCO.
L' irrespect jamais!!!
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karasco
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Figurez-vous chers gens que l'autre fois, en prenant mon petit déjeuner devant EUROSPORTNEWS, une chaîne du câble australien visionnée tous les matins, j'ai entendu "Jean-Marie Aubry" prononcé à l'anglaise...
Il venait de qualifier la France de beach soccer pour le tour suivant de la coupe du monde... (enfin c'est ce que j'ai compris). L'arrêt au ralenti valait le détour !!
Il venait de qualifier la France de beach soccer pour le tour suivant de la coupe du monde... (enfin c'est ce que j'ai compris). L'arrêt au ralenti valait le détour !!
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lacouture.49
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Jean-Marie Aubry, le dernier arrêt
Jean-Marie Aubry. Angers Sco pendant 7 saisons puis Lille, Monaco, Caen et enfin l'équipe de France de beach soccer. À 38 ans, Jean-Marie Aubry raccroche les gants.
Jean-Marie, après quinze ans de carrière puis une prolongation de quatre ans dans le beach soccer, vous avez décidé de raccrocher les gants. Qu'est-ce qui va vous manquer le plus ?
Surtout le rendez-vous du samedi soir. C'est là qu'on se sent pleinement footballeur, acteur de sa propre vie. Je vais désormais me retrouver comme « monsieur tout le monde », à vivre en famille le week-end. Il faut un temps d'adaptation, il faut se faire une raison.
C'est difficile de redevenir « monsieur tout le monde » ?
Oui et non. J'ai toujours pris beaucoup de plaisir sur un terrain de football, à produire quelque chose, à être apprécié par les gens. L'adrénaline, celle de ce métier-passion, je sais que je ne la retrouverai pas dans la vraie vie. Ce que j'aimais le plus, c'était le plaisir du jeu. Qui n'a jamais rêvé de faire un métier en s'amusant ? C'est la chose la plus extraordinaire qui puisse arriver. Je faisais partie d'une poignée de privilégiés, je crois. Si on pouvait acheter des années de bonheur comme celles-là, beaucoup de gens le ferait tellement il est difficile, aujourd'hui, de se faire une place dans la société.
« Je suis resté fidèle au Sco. Les gens me l'ont bien rendu »
Qu'est-ce que vous détestiez le plus dans le milieu du football ?
Je détestais le côté éphémère des choses... Les gens qui jugeaient trop vite aussi. Avant, pour être reconnu, il fallait avoir fait un certain nombre de matches, avoir été compétitif, avoir prouvé des choses, de l'abnégation, du sérieux, de la régularité. Aujourd'hui, certains joueurs qui évoluent en première ou en deuxième division n'ont pas la valeur d'un joueur professionnel comme je l'entends. Le premier contrat pro n'a plus la même importance.
Arrêter, est-ce le fruit d'une longue réflexion ?
A partir du moment où je ne jouais plus dans un club, ni même avec l'équipe corpo de Louis Nicollin, où je ne m'entraînais plus régulièrement pour rester en bonne forme physique, où je n'entraînais plus les gardiens de Montpellier... mon activité physique se réduisait. J'avais peur de ne plus être performant. Je n'avais pas envie que la dernière image de moi sur un terrain soit celle d'un type à la ramasse. J'ai donc choisi d'arrêter. Maintenant, je vais quand même en discuter avec Éric (Cantona) et Joël (Cantona). Suis-je capable de m'accrocher, de m'entraîner seul jusqu'à la coupe du Monde de beach soccer en 2008 à Marseille ? Je n'en suis pas sûr... S'ils trouvent quelqu'un pour me remplacer, je crois que la transition se fera naturellement.
Vous avez été le gardien des buts du Sco entre 1988 et 1995. Vous avez notamment connu une montée en D1 puis une descente. Que vous reste-t-il de vos années angevines ?
Il me reste énormément d'amis sur Angers. Ça compte. Les amis après une carrière, ils restent, ils sont là. J'ai passé sept années là-bas alors que j'aurai pu moult fois quitter ce club parce que j'avais beaucoup de sollicitations. Je suis resté fidèle. Les gens me l'ont bien rendu. Et puis Angers, c'est aussi sa région : une région de chevaux. Je possède toujours deux trotteurs et un étalon.
Avez-vous des regrets sur votre carrière ?
Le plus grand regret ? Ma taille, trop petite pour aspirer à un niveau international. Je crois que j'avais les qualités nécessaires pour aller très loin et très haut, mais la taille est devenue un handicap (1,76 m). De Monaco, j'avais failli partir à Arsenal. Arsène Wenger voulait me prendre. Mais en Angleterre, je n'étais pas le type de gardien qui convenait. Il n'avait donc pas réussi à m'imposer là-bas. C'est la seule chose que je regrette. De n'avoir pas pu intégrer un très très grand club.
Vous avez été gardien de but de l'équipe de France de beach soccer ces quatre dernières années. Sentez-vous l'intérêt grandir autour de ce sport ?
A la base, c'était pour moi un jeu. Avec l'arrivée d'Éric (Cantona), c'est devenu une compétition. Et aujourd'hui, ça prend de l'ampleur, oui. Des gens commencent à s'y intéresser. Seul problème : le beach se joue en extérieur, dans des conditions optimales. Son développement passe donc par la construction de salles, par un championnat hivernal, par la mise en place de certaines structures comme peuvent le faire l'Italie ou le Portugal.
Le beach soccer pour vous, c'était quoi ? Une sorte de pré-retraite au soleil ?
C'était une bonne transition, oui, qui va peut-être m'offrir plus de perspectives de reconversion que le foot lui-même, d'ailleurs. Le beach, en dehors de l'extra-sportif, c'est du ludique, de l'amusement, du plaisir. Quand on fait un match de beach le soir, ce n'est pas grave de remettre ça le lendemain. Ça ne pose aucun problème d'aller boire une bière avec les adversaires et traîner un peu. C'est le côté extraordinaire de ce sport. En quatre ans de beach, j'ai pris autant de plaisir que pendant les six dernières années de ma carrière professionnelle. Aujourd'hui, je me reconnais plus dans le beach que dans le foot pro.
Mathieu COUREAU.
salut monsieur
Jean-Marie Aubry. Angers Sco pendant 7 saisons puis Lille, Monaco, Caen et enfin l'équipe de France de beach soccer. À 38 ans, Jean-Marie Aubry raccroche les gants.
Jean-Marie, après quinze ans de carrière puis une prolongation de quatre ans dans le beach soccer, vous avez décidé de raccrocher les gants. Qu'est-ce qui va vous manquer le plus ?
Surtout le rendez-vous du samedi soir. C'est là qu'on se sent pleinement footballeur, acteur de sa propre vie. Je vais désormais me retrouver comme « monsieur tout le monde », à vivre en famille le week-end. Il faut un temps d'adaptation, il faut se faire une raison.
C'est difficile de redevenir « monsieur tout le monde » ?
Oui et non. J'ai toujours pris beaucoup de plaisir sur un terrain de football, à produire quelque chose, à être apprécié par les gens. L'adrénaline, celle de ce métier-passion, je sais que je ne la retrouverai pas dans la vraie vie. Ce que j'aimais le plus, c'était le plaisir du jeu. Qui n'a jamais rêvé de faire un métier en s'amusant ? C'est la chose la plus extraordinaire qui puisse arriver. Je faisais partie d'une poignée de privilégiés, je crois. Si on pouvait acheter des années de bonheur comme celles-là, beaucoup de gens le ferait tellement il est difficile, aujourd'hui, de se faire une place dans la société.
« Je suis resté fidèle au Sco. Les gens me l'ont bien rendu »
Qu'est-ce que vous détestiez le plus dans le milieu du football ?
Je détestais le côté éphémère des choses... Les gens qui jugeaient trop vite aussi. Avant, pour être reconnu, il fallait avoir fait un certain nombre de matches, avoir été compétitif, avoir prouvé des choses, de l'abnégation, du sérieux, de la régularité. Aujourd'hui, certains joueurs qui évoluent en première ou en deuxième division n'ont pas la valeur d'un joueur professionnel comme je l'entends. Le premier contrat pro n'a plus la même importance.
Arrêter, est-ce le fruit d'une longue réflexion ?
A partir du moment où je ne jouais plus dans un club, ni même avec l'équipe corpo de Louis Nicollin, où je ne m'entraînais plus régulièrement pour rester en bonne forme physique, où je n'entraînais plus les gardiens de Montpellier... mon activité physique se réduisait. J'avais peur de ne plus être performant. Je n'avais pas envie que la dernière image de moi sur un terrain soit celle d'un type à la ramasse. J'ai donc choisi d'arrêter. Maintenant, je vais quand même en discuter avec Éric (Cantona) et Joël (Cantona). Suis-je capable de m'accrocher, de m'entraîner seul jusqu'à la coupe du Monde de beach soccer en 2008 à Marseille ? Je n'en suis pas sûr... S'ils trouvent quelqu'un pour me remplacer, je crois que la transition se fera naturellement.
Vous avez été le gardien des buts du Sco entre 1988 et 1995. Vous avez notamment connu une montée en D1 puis une descente. Que vous reste-t-il de vos années angevines ?
Il me reste énormément d'amis sur Angers. Ça compte. Les amis après une carrière, ils restent, ils sont là. J'ai passé sept années là-bas alors que j'aurai pu moult fois quitter ce club parce que j'avais beaucoup de sollicitations. Je suis resté fidèle. Les gens me l'ont bien rendu. Et puis Angers, c'est aussi sa région : une région de chevaux. Je possède toujours deux trotteurs et un étalon.
Avez-vous des regrets sur votre carrière ?
Le plus grand regret ? Ma taille, trop petite pour aspirer à un niveau international. Je crois que j'avais les qualités nécessaires pour aller très loin et très haut, mais la taille est devenue un handicap (1,76 m). De Monaco, j'avais failli partir à Arsenal. Arsène Wenger voulait me prendre. Mais en Angleterre, je n'étais pas le type de gardien qui convenait. Il n'avait donc pas réussi à m'imposer là-bas. C'est la seule chose que je regrette. De n'avoir pas pu intégrer un très très grand club.
Vous avez été gardien de but de l'équipe de France de beach soccer ces quatre dernières années. Sentez-vous l'intérêt grandir autour de ce sport ?
A la base, c'était pour moi un jeu. Avec l'arrivée d'Éric (Cantona), c'est devenu une compétition. Et aujourd'hui, ça prend de l'ampleur, oui. Des gens commencent à s'y intéresser. Seul problème : le beach se joue en extérieur, dans des conditions optimales. Son développement passe donc par la construction de salles, par un championnat hivernal, par la mise en place de certaines structures comme peuvent le faire l'Italie ou le Portugal.
Le beach soccer pour vous, c'était quoi ? Une sorte de pré-retraite au soleil ?
C'était une bonne transition, oui, qui va peut-être m'offrir plus de perspectives de reconversion que le foot lui-même, d'ailleurs. Le beach, en dehors de l'extra-sportif, c'est du ludique, de l'amusement, du plaisir. Quand on fait un match de beach le soir, ce n'est pas grave de remettre ça le lendemain. Ça ne pose aucun problème d'aller boire une bière avec les adversaires et traîner un peu. C'est le côté extraordinaire de ce sport. En quatre ans de beach, j'ai pris autant de plaisir que pendant les six dernières années de ma carrière professionnelle. Aujourd'hui, je me reconnais plus dans le beach que dans le foot pro.
Mathieu COUREAU.
salut monsieurDébut juin 2023 après 8 saisons en L1,notre SCO redescend en L2. Cela ne signifie pas forcement y mourir, certains clubs parviennent même à se pérenniser durablement dans l'anti chambre du foot français avec un budget équilibré!
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materrazzi
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materrazzi a écrit :cedric daury a écrit :materrazzi a écrit :il devrait pas avoir de mal à trouver un club pour entrainer les gardiens
pourquoi pas au SCO d'ailleurs ?
Et arnaud lucas t'en fais quoi ?
entraineur des gardiens de la cfa2 ou des 18 ans lol mais mon choix est vite vue entre Lucas et Aubry
. De toute facon on en est pas encore la 
"Ex-Ministre des Générations SCOistes"
Merci W.!
Merci W.!
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materrazzi
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cedric daury a écrit :materrazzi a écrit :cedric daury a écrit :materrazzi a écrit :il devrait pas avoir de mal à trouver un club pour entrainer les gardiens
pourquoi pas au SCO d'ailleurs ?
Et arnaud lucas t'en fais quoi ?
entraineur des gardiens de la cfa2 ou des 18 ans lol mais mon choix est vite vue entre Lucas et Aubry
n'importe quoi tu délires mon vieux
Des Jeunes Inintelligents Puérils Immatures
materrazzi a écrit :cedric daury a écrit :materrazzi a écrit :cedric daury a écrit :materrazzi a écrit :il devrait pas avoir de mal à trouver un club pour entrainer les gardiens
pourquoi pas au SCO d'ailleurs ?
Et arnaud lucas t'en fais quoi ?
entraineur des gardiens de la cfa2 ou des 18 ans lol mais mon choix est vite vue entre Lucas et Aubry
n'importe quoi tu délires mon vieux
attention aux coups de boules Marco
"Ex-Ministre des Générations SCOistes"
Merci W.!
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petitfute
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- Enregistré le : sam. 27 mars, 2004 12:24 pm
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La liste des 12 joueurs retenus pour le Mondial de Beach-Soccer, du 17 au 27 juillet à Marseille, sur la plage du Prado :
Gardiens : Jean-Marie Aubry et Samir Belamri.
Défenseurs : Thierry Ottavy, Sébastien Perez, Stéphane François, Steeve Meslien.
Milieux : Jérémie Basquaise (cap.), Steeven Octavia et Didier Samoun
Attaquants : Damien Tossem, Laurent Castro et David Martinon.
Entraîneur national : Henri Emile
Sélectionneur national : Eric Cantona
Gardiens : Jean-Marie Aubry et Samir Belamri.
Défenseurs : Thierry Ottavy, Sébastien Perez, Stéphane François, Steeve Meslien.
Milieux : Jérémie Basquaise (cap.), Steeven Octavia et Didier Samoun
Attaquants : Damien Tossem, Laurent Castro et David Martinon.
Entraîneur national : Henri Emile
Sélectionneur national : Eric Cantona
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Keyser Söse
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petitfute a écrit :La liste des 12 joueurs retenus pour le Mondial de Beach-Soccer, du 17 au 27 juillet à Marseille, sur la plage du Prado :
Gardiens : Jean-Marie Aubry et Samir Belamri.
Défenseurs : Thierry Ottavy, Sébastien Perez, Stéphane François, Steeve Meslien.
Milieux : Jérémie Basquaise (cap.), Steeven Octavia et Didier Samoun
Attaquants : Damien Tossem, Laurent Castro et David Martinon.
Entraîneur national : Henri Emile
Sélectionneur national : Eric Cantona
David Martinon, nous te soutiendrons à môôôôôôôôrrrrrrt !!!!!!
"Soyons désinvolte, n'ayons l'air de rien !"
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