la presse: O.F.- le C.O.- la N.R. et autres

[Zikaz]

Y'a psa d'articles : une photo du kop avec une bâche forza sco et un semblant de titre 200 supp attendus à Marseille et blabla... (cf actualité sportive)

c'est sur qu'avec Forza...

[scomino]

Y'a psa d'articles : une photo du kop avec une bâche forza sco et un semblant de titre 200 supp attendus à Marseille et blabla... (cf actualité sportive)

Si en page sport il y a un article sur le déplacement à Marseille

[Max]

Si en page sport il y a un article sur le déplacement à Marseille

Oui mais avec la photo y'a pas d'article. Ils mettent juste ce qu'ils redisent en page sports d'où la parenthèse : cf actualité sportive

[SCOubi]

Les Yankees d'Anjou, vraiment n'importe quoi Yankees et Anjou : 2 mots incompatibles , ça fait peine à lire.

doucement scoubidou j en suis un membres

désolé, mais bon, tout le monde ne peut pas être parfait

[FranceSCO]

Je ne suis pas le trésorier de cette opération, il faut aller demander des infos à Mr Godard ex-président d'ALLEZ SCO

Jolie pirouette

de plus je ne suis pas trésorier du SCOP mais secrétaire le trésorier est anglais il s'agit de Billy bremner

Mes excuses, j'avais la flemme de vérifier sur le site donc j'ai demandé à Monasco qui n'a pas l'air trop au courant...

De plus pour ta gouverne les adhérents des deux clubs de supporters ne payent pas 55€ mais seulement 45€

Je sais bien, c'est pourquoi j'avais fait une moyenne à 50.

[scomino]

De plus pour ta gouverne les adhérents des deux clubs de supporters ne payent pas 55€ mais seulement 45€

Je sais bien, c'est pourquoi j'avais fait une moyenne à 50.

La moyenne se situera à 53€ donc si déficit il y a il sera minim, car nous auront 3 cars de 51 places + 1 car de 57 places. De plus la somme est légèrement inférieure à 3000€ somme ronde plus pratique pour les effets d'annonce

[RNB]

OF Parmi le groupe angevin, deux joueurs connaissent bien la ferveur du stade Vélodrome. Jocelyn Gourvennec a porté durant une saison le maillot de l'OM et Pascal Bédrossian est né dans la cité phocéenne. Autant dire que pour ces deux hommes, cette rencontre de Coupe de France, samedi après-midi, aura une saveur toute particulière. Bien que Pascal Bédrossian n'ait jamais porté le prestigieux maillot Ciel et Blanc, il voue un amour sans faille à cette équipe de l'OM, qui l'a fait vibrer tout minot. « C'est vrai que ce sera le regret de ma carrière, déplore-t-il. Je pense que tout footballeur rêve de jouer à l'OM. Alors imaginé ce que cela représente pour moi, Marseillais de naissance... Adolescent j'ai vu au Vélodrome la plus belle équipe de France, voire d'Europe. C'est grâce à ce genre de club que le foot est magique. » Brestois de naissance, Jocelyn Gourvennec a, lui, eu la chance d'endosser le maillot marseillais durant la saison 1998-1999, ponctuée par une finale de coupe UEFA et une place de dauphin en championnat. Son passage dans la cité phocéenne restera un grand souvenir. « C'est un honneur d'avoir défendu les couleurs de l'OM, le plus grand club français, confie-t-il. Mon plus beau souvenir reste cette finale contre Parme, même si on l'a perdue (3-0). C'est un grand moment dans ma carrière. » Marseille vibre pour le foot et Angers va devoir s'acclimater rapidement à cette ambiance de feu dans ce stade mythique, sur lequel quelques pages du foot hexagonal ont été écrites. « Ca fait du bruit, c'est magnifique, poursuit Gourvennec. C'est un public brassé, passionné. Les jeunes vont découvrir ça, eux-mêmes samedi. » Bédrossian, intarissable sur les exploits des Francescoli, Papin et Sauzée, se languit de fouler cette pelouse, devant sa famille. « C'est toujours un moment particulier de venir jouer à Marseille, devant les meilleurs supporters de France et ma famille. J'ai joué là-bas avec Cannes et Lorient, ça donne à chaque fois des frissons. » C'est donc bien un instant particulier qui se profile pour ces deux hommes, et pour tout le Sco d'ailleurs, or ce moment reste un match à disputer. « Le foot est sans doute le sport le plus illogique, ajoute Bedrossian. On va jouer pour se faire plaisir et tout donner pour ne pas avoir de regret. On sait que l'on a des problèmes offensifs, c'est pour cela qu'il va falloir se lâcher et même s'il y a des déchets, il faudra tenter. » L'ex-Nantais abonde dans le sens de son coéquipier, il sait que la tâche des Angevins ne sera pas aisée. « Si l'OM est à son niveau, ça sera difficile. Mais ça sera un match de reprise, alors dans quelle forme seront-ils ? En tout cas, il faudra jouer le coup à fond, on n'a rien à perdre. Il faudra surtout être attentif, organisé et rigoureux pendant 90 minutes, car la moindre erreur ne pardonne pas contre ce genre d'équipe. » A bon entendeur... Cyrille CALMETS.

[lacouture.49]

dans le CO ,un article sur le déplacement du KOP de la butte et qu'il reste 3 places

[Ben]

Qui a vue le reportage sur le SCO qui est passé sur France3 région pays de la loire hier?? c'était un entrainement sur synthétique, Interview de Grimaldi, Lucas, Tosi

[manu49]

Au moins quatre cars pour Marseille-Angers ( 06/01/2005 ) Scop Angers et Allez SCO, les deux clubs de supporters qui organisent le périple marseillais, ne s’attendaient certainement pas à un tel engouement. En effet, quatre cars ont déjà trouvé preneurs, et ce n’est peut-être pas fini puisqu’un cinquième est en cours de remplissage pour faire le déplacement vers la Méditerranée samedi. Le match ayant lieu à 17 h (en direct sur TF1), le départ des cars est prévu dès 1 h 30, dans la nuit de vendredi à samedi. Et le retour, dans la foulée du match, devrait s’étaler jusqu’au dimanche midi. Pour les courageux supporters du SCO (voire de l’OM…), il est encore possible de s’inscrire pour ce déplacement pas comme les autres. Inscriptions (sous réserve de demandes suffisantes) au 02.41.66.72.37, au 06.08.73.22.27 ou au 06.63.74.07.34. Tarifs (sans la place au stade) : 45 € pour les adhérents d’Allez SCO et du Scop Angers, 55 € pour les non-adhérents. © Copyright La Nouvelle République 2005

[manu49]

Thierry Cygan et Cyril Théreau bons pour le service ( 06/01/2005 ) Cyril Théreau, victime d’une béquille lors de l’échauffement juste avant la rencontre amicale entre Angers et Tours, lundi soir, sera toutefois opérationnel pour le déplacement du SCO à Marseille. « Il va beaucoup mieux, a commenté Noël Tosi. Il a même marqué beaucoup de buts à l’entraînement. » Quant à Thierry Cygan, touché à la cheville en première mi-temps face aux Tourangeaux, le staff est également rassuré. Il ne s’agit que d’un coup et il devrait pouvoir tenir sa place samedi. De bonnes nouvelles pour le SCO, qui se rend aujourd’hui au Grau-du-Roi, avant d’aborder une semaine de reprise décisive car après l’OM, il affrontera dès mardi Montpellier à la Mosson avant de revenir en Anjou pour recevoir Dijon vendredi. Par ailleurs, Olivier Fauconnier est à l’essai à Ajaccio depuis le début de semaine, tandis que Louis Gomis ne s’entraîne plus avec le SCO. Leur départ est plus que jamais d’actualité, à condition évidemment que des clubs se montrent suffisamment intéressés. © Copyright La Nouvelle République 2005

[FranceSCO]

plus pratique pour les effets d'annonce

Ah ! Enfin, nous y voilà !

[zeuking]

Qui a vue le reportage sur le SCO qui est passé sur France3 région pays de la loire hier?? c'était un entrainement sur synthétique, Interview de Grimaldi, Lucas, Tosi

Oui il y a eu une rediffusion ce soir. J'aime bien la phrase de Grimaldi: "sur un malentendu on peux passer...!"

[popov49]

[J'aime bien la phrase de Grimaldi: "sur un malentendu on peux passer...!"

Moi je conclus toujours sur un malentendu

[manu49]

Un “ Marseillais ”… au Vélodrome ( 07/01/2005 ) De Valence à Angers en passant par Gap, Orléans et le stade Vélodrome, gros plan sur l’itinéraire bis du jeune Cyril Théreau, nouvelle recrue du SCO qui va réaliser son rêve : jouer à Marseille. Le foot lui est venu sur le tard. Pas rancunier, Cyril Théreau est en train d’en faire son métier. Né à Valence (Drôme), le jeune homme n’a commencé à tâter le ballon de cuir qu’une douzaine d’années plus tard, sur les hauteurs alpines de Gap. « J’ai débuté en -13 ans, explique-t-il. Je n’avais jamais joué en club auparavant. » Des débuts tardifs qui s’ajoutent à une autre particularité. « Je ne suis pas passé par un centre de formation, poursuit-il. Je suis entré en équipe première à Gap (alors en CFA) il y a 2 ans. Cet été, je suis arrivé à Orléans (CFA). Maintenant, j’évolue dans un club de Ligue 2… » Le sourire du garçon en dit long. Tout s’est enchaîné à vive allure pour ce droitier aussi à l’aise en pointe qu’en soutien des attaquants. Sous ses airs un peu timides, cette ascension accélérée n’effraie guère le nouvel atout offensif angevin. « La proposition d’Angers SCO était difficile à refuser, raconte Cyril Théreau, je n’ai pas hésité longtemps. Je vais tout faire pour franchir le palier qui sépare le CFA de la Ligue 2 et rendre la confiance que l’on m’accordée. » Après une légitime appréhension, l’adaptation à son nouveau club et ses nouveaux partenaires est en bonne voie. Le stage effectué à Pornic n’y est pas étranger. Près de l’océan, l’un des meilleurs buteurs de CFA (10 réalisations en 12 rencontres avec Orléans) a fait ses premiers entraînements avec ses nouveaux coéquipiers. « Je commence à connaître tout le monde, témoigne-t-il. Tout se passe bien, l’ambiance est très bonne. » Abonné au stade Vélodrome L’athlétique attaquant est heureux. Mais il sait ce qui l’attend. Il va falloir faire ses preuves chez les pros. Vu les ennuis offensifs du SCO avant la trêve, le temps est compté. « Physiquement, la reprise a été très dure, avoue-t-il, même en suivant un programme spécial pendant les vacances… Mais ça va de mieux en mieux. » En témoigne son application lors d’une séance spécifique devant le but avec Gourvennec, Bédrossian ou Ludwig Norbert, la semaine dernière à Pornic. Malgré une béquille reçue lors de l’échauffement lundi soir face à Tours, un match qu’il n’a pu disputer, il devrait bientôt arpenter assidûment les surfaces de réparation. A commencer par celles du Vélodrome ? Ce sera à Noël Tosi d’en décider. « Je jouais plutôt milieu offensif à Orléans, analyse-t-il. Côté gauche, en soutien de l’attaquant. J’ai discuté avec le coach, il compte plutôt m’utiliser en pointe. C’est mon poste préféré, c’est là que j’ai commencé. » Autre bon présage, le premier match officiel du SCO en 2005 aura lieu dans un stade qu’il connaît bien… côté tribunes. « J’étais abonné au stade Vélodrome quand j’étais à Gap. Je rêvais d’y jouer un jour, mais plutôt avec le maillot de l’OM (rires). Sérieusement, je pense qu’on a les moyens de faire un exploit là-bas. Si on les fait douter, on aura notre chance. En coupe, tout est possible. » Avec Orléans, au tour précédent, il a bien été battu par Langueux, club de DSR, qui accueillera samedi… le PSG ! Dans le foot, Cyril Théreau sait déjà que tout va très vite. Frédéric MICHEL © Copyright La Nouvelle République 2005

[Cisco]

vendredi 7 janvier 2005 L'OM mise sur la Coupe Philippe Troussier a entouré d'un gros trait rouge le mois de janvier. Les matchs s'enchaînent à vitesse grand V et il ne dispose pas encore de grandes certitudes sur cette équipe après l'avoir rejointe début décembre. La reprise en main de l'OM par son nouvel entraîneur ne se passe pas sans heurts. Comme le montre clairement le départ de Lizarazu qui affirme haut et fort ne plus supporter ni sa méthode, ni son discours. Il scinde ouvertement le groupe marseillais en deux avec les pro et les anti Troussier. Ceux qui ont eu de nouveau la chance de jouer font partie des premiers, le reste disposant moins de liberté qu'avec Anigo traînent la jambe. Jonnhy Ecker lui a très peu - pour ne pas dire pas du tout - joué cette saison. C'est dire si son retour en coupe de France le satisfait. Il remplace Meïté suspendu. « Je n'en veux à personne de cette situation. C'est sûr que ce n'est pas évident de supporter tout ça mais je me tiens prêt. Avec Troussier, nous partons tous à égalité de chances. » Demain au vélodrome, il retrouvera un entraîneur qu'il connaît bien, Noël Tosi. « Je sais qu'il a ses petits trucs mais c'est à nous de jouer juste et sérieusement pour ne pas connaître de problème. Une rencontre de coupe c'est toujours un match piège qui dure 90 minutes et au delà face à une équipe en danger en L2 et qui a tout à gagner contre nous. » Angers ne semble pas en effet un adversaire insurmontable pour les Marseillais mais Philippe Troussier n'a pas pour habitude de traiter ses adversaires à la légère. « Ne nous y trompons pas, ils vont jouer pour gagner comme nous. Et ce match se jouera comme beaucoup sur des détails, la concentration et le sérieux des joueurs. On vise un scénario favorable mais je pars du principe que tout le monde veut gagner. Seulement la Coupe de France à Marseille est très symbolique. Elle représente le patrimoine du football marseillais. J'y tiens beaucoup, surtout que j'en ai gagné pas mal de coupes mais jamais celle-là. » Il se définit comme très ambitieux mais réaliste. « On nous le dit qu'il faut rester vigilant mais le lendemain des tours de coupe, on compte comme d'habitude son lot de surprises. C'est vrai, c'est une équipe mal classée dans son championnat mais qui aura à coeur de nous embêter, c'est tout. Avec le même espoir que nous. Etre une grande équipe, c'est savoir que ce ne sera pas facile et jouer le match à fond. » Il compte sur une victoire pour lancer sa saison et « entraîner une meilleure dynamique. » Si l'on en croit les enseignements retirés du match amical disputé contre Cannes mardi, N'Diaye devrait rentrer sur le flanc droit pour remplacer Ferreira lui aussi suspendu comme Meïté et Koke, Pedretti chapeauterait au milieu Cheyrou et Batlles, Olembe officiant à gauche. Mais avec Troussier le suspense dure jusqu'à trois heures avant le match. Hélène Foxonet.

[yohann]

Journal "20 Minutes - Marseille" www.20minutes.fr Football COUPE DE FRANCE Gare au match piège pour l’OM Le milieu offensif marseillais Samir Nasri. A TSCHAEN / SIP Le temps d’un weekend, le Championnat fait relâche. Demain, l’OM ( L1) reçoit Angers ( L2), à l’occasion des 32es de finale de la Coupe de France. Si Marseille a déjà remporté cette épreuve à dix reprises, les dernières saisons ont plutôt été synonyme de vaches maigres. « On n’a plus gagné la Coupe depuis 1989 [ 4- 3, face à Monaco]. J’avais à peine deux ans à l’époque et je ne savais même pas ce que c’était l’OM » , avoue Samir Nasri, le milieu offensif olympien. Remporter ce trophée, en tant que Marseillais, c’est pour moi un rêve de gosse. » La Coupe de France fait rêver les Olympiens et pas seulement les plus jeunes. « Rien que pour le symbole que la Coupe représente, j’aimerais la gagner un jour » , affirme Laurent Batlles, le milieu de l’OM. Et pourquoi pas cette année ? Pour cela, il faudra d’abord franchir l’obstacle angevin. « On sait que sur un match tout est possible, note Habib Bamogo, l’attaquant phocéen. Il faudra donc faire preuve de sérieux et de concentration face à une équipe d’Angers qui va se lâcher. » Un avis que partage Philippe Troussier, le coach marseillais, pour qui « c e match se jouera sur des détails. On a, cependant, l’avantage d’évoluer à domicile » . Une victoire pour débuter 2005 permettrait ainsi à l’OM « d’entrer dans une bonne dynamique avant de se rendre à Lille, mardi [ 20 e journée de Ligue 1] » , conclut Troussier. Sandrine Dominique

[yohann]

Journal "Métro" édition Marseille Tout un artcile sur l'OM et notamment Liza ... Juste deux mots sur le match : La compétition, elle, reprend demain à 17 heures, avec la réception de la modeste équipe de L2 Angers, pour le compte des 32es de finale de Coupe de France. En cas de faux pas, l’OM débuterait l’année 2005 avec un effectif affaibli et un moral dans les chaussettes.

[yohann]

OM.NET Ecker : «Un match piège» 06/01/2005 Johnny Ecker a refoulé la pelouse ce mardi en amical contre Cannes. «J’ai souffert, parce que je suis loin d’avoir 90 minutes dans les jambes» a avoué le défenseur olympien qui a disputé l’intégralité de la rencontre. En l’absence de Méïté, suspendu, l’ex-Lillois pourrait vraisemblablement être titulaire ce samedi devant Angers en Coupe de France. Sans évoquer sa possible participation à la rencontre, il s’est montré prudent sur ce «match piège qui dure 90 minutes voire au delà contre une équipe qui est en danger en L2». «Ils ont tout à gagner, à nous d'être vigilants» a-t-il ajouté.

[yohann]

http://www.omplanete.com : OM - Angers : Questions à www.angers-sco.com http://www.omplanete.com/articles/article1324.html

[Ben]

Troussier : "J'y attache une importance particulière" 06/01/2005 Samedi, l'Olympique de Marseille affronte le SCO d'Angers dans le cadre des 1/32èmes de finale de la Coupe de France. L'entraîneur marseillais ne prend pas cette rencontre à la légère, ni la Coupe de France d'ailleurs. Cette compétition, qu'il n'a jamais gagnée, réserve chaque année son lot de surprise. Un match de coupe s'aborde-t-il de la même façon qu'une rencontre de championnat ? Philippe Troussier : "On joue pour gagner. C'est la définition qu'on doit se faire du football. Le résultat nul n'est que le reflet d'une confrontation qui n'a finalement pas abouti. Il faudrait presque qu'on dise à la FIFA : essayons qu'il y ait un vainqueur et un vaincu à chaque match. C'est ce que les Japonais avaient mis en place. Lorsqu'on va au stade et qu'on sait qu'il y a un vainqueur, ça change complètement la donne pour les supporters". La Coupe de France est-elle un objectif pour l'OM ? Philippe Troussier : "La Coupe de France est une épreuve un peu spéciale pour l'Olympique de Marseille. Elle est symbolique, elle représente un gros patrimoine du club. Marseille s'est souvent taillé la part du lion, donc j'y attache une importance particulière. Et puis, je ne l'ai jamais gagnée. J'ai remporté des coupes asiatiques, africaines, celle du Maroc, celle d'Afrique du sud, celle de Cote d'Ivoire, mais jamais la coupe de France. Moi qui aime bien les trophées…". L'OM part largement favori samedi… Philippe Troussier : "Il faut quand même prendre en compte la particularité de Dame Coupe de France. Il suffit de regarder le journal le lendemain de la Coupe et on constate qu'il y a toujours des surprises. Ce n'est jamais facile de jouer contre des petites équipes. Angers est une formation de Ligue 2, mal classée, mais qui donc n'a rien à perdre dans l'histoire. Cette équipe aura à cœur de venir nous embêter. Elle se comportera comme Guingamp, en Coupe de Ligue, contre Monaco. Il a fallu attendre la 85e minute pour que les Monégasques inscrivent le but de la qualification. Etre une grande équipe c'est savoir que ça ne va pas être facile, qu'il faudra jouer le match à fond. Un homme averti en vaut deux. On a l'avantage certain de recevoir, et on sait qu'en ce début d'année, avec ce nouveau championnat qui commence, une victoire nous placerait dans la meilleure dynamique avant de nous présenter trois jours plus tard contre Lille". om.net

[Roni]

Dans l'Equipe de ce jour , Gourvennec donne son avis sur les stats qui disent que 53.3% des équipes des L1 affrontant des L2 sont éliminées par ces dernières. "On ne travaille que pour ce match" Cette statistique m'étonne. Je pensais qu'entre des équipes professionnelles, il y vait moins de surprises. Les 32e de finale se passent souvent en janvier, c'est un match de reprise, jamais évident à aborder. Ca m'est déjà arrivé de perdre contre une L2. L'an passé, par exemple, j'ai été battu avec Bastia par Besançon (L2) (0-2). J'ai connu aussi cette mésaventure avec Nantes face à Caen (0-1, en 1996-1997). Aller à Marseille, avec Angers, c'est un match très spécial. On a repris l'entrainement le 27 Décembre et , depuis ce jour, on ne travaille que pour ce match. On met des choses en place. J'espère simplement qu'on va passer un bon moment. Mais tout va dépendre de l'OM. Si leur équipe est moins bien, on aura peut-être une petite chance.

[Ben]

Football : Un beau challenge pour débuter l'année Stassin et les Angevins s'apprêtent à vivre une sacrée entrée en matière au Vélodrome, pour leur reprise. S'ils sont conscients de la difficulté de la tâche, ils ont bien l'intention de vendre crânement leur peau.Georges Mesnager Le Sco entame son année en défiant l'OM, dix fois vainqueur de la Coupe. Les Angevins savent qu'ils n'ont rien à perdre lors de cette entrée en matière, et sont bien décidés à jouer le coup à fond. Il est certain qu'une victoire sur Marseille serait la meilleure manière de lancer cette seconde partie de saison. Comment le 17e de L2 peut-il battre le 5e de L1 ? Voilà l'équation que les Angevins doivent résoudre cet après-midi sur les coups de 17 h sur la pelouse du Vélodrome. Il va de soit que les pronostics ne penchent pas en leur faveur. Mais une chose est sûre, le Sco veut se montrer sous son meilleur visage pour ce match de gala. « Si tout se déroule normalement il ne devrait pas y avoir photo, concède l'entraîneur du Sco, Noël Tosi. Il va falloir mettre nos valeurs en évidence. Montrer de l'envie et de la spontanéité et être solidaire durant tout le match. Mais, même si on a aucune chance, on va la jouer à fond ! » Mais comment s'y prendre ? Noël Tosi s'est montré peu disert sur ses plans, voire cachottier... « On a une idée sur la façon de faire, mais je veux les suspendre et je ne dirais rien. Ils sont même venus nous observer ce matin (hier) à l'entraînement. Je dévoilerais mon équipe une heure avant le coup d'envoi. » Néanmoins, on peut s'attendre à voir le Sco mettre en application le schéma peaufiné en stage à Pornic, avec une défense à trois et un attaquant de pointe, épaulé par deux ailiers. « On jouera à trois derrière », confie tout de même l'entraîneur. La feuille de match fera foi, car le technicien du Sco n'est pas à son premier coup d'intox. Tosi veut surtout que ses joueurs soient irréprochables. « Je veux voir des joueurs affamés, si l'un d'eux ne donne pas tout, au bout d'un quart d'heure il sortira. » Le Sco entame donc son année par un sacré challenge, avant de se rendre à Montpellier et recevoir Dijon, deux rencontres qui demeurent « essentielles » pour Tosi, afin de reprendre des couleurs en championnat. En attendant, une belle mise en jambe se profile face à l'OM, dirigé par Philippe Troussier. Un entraîneur que connaît bien l'adjoint de Tosi, Jean-Marc Nobillo. « Nous nous sommes connus en 1993, lors d'un quart de finale de la coupe d'Afrique, il entraînait une équipe sud-africaine et moi une réunionnaise. Nous sommes amis depuis, confie Nobillo. Je connais bien ses méthodes. Il évolue toujours avec un bloc qui exerce un pressing constant et qui se place au millimètre. » Tosi a donc dû glaner de quelques indiscrétions bien utiles avant d'établir sa tactique. Le Sco qui n'a guère de solutions offensives actuellement devra, néanmoins profiter de la moindre occasion pour tenter d'inquiéter Barthez. « On a l'occasion d'écrire une des plus belles pages du club », indique l'entraîneur. Il est certain qu'un exploit au Vélodrome serait parfait pour mettre le Sco en ordre de marche pour cette année 2005. Cyrille CALMETS.

[petitfute]

L'Equipe de ce jour Angers s’offre une douceur À la lutte pour le maintien en L 2,le SCO veut profiter du match à Marseille pour oublier ses soucis. « ANGERS, C’EST UN LAC.Un lac mal classé, mais un lac quand même. » La métaphore aquatique, qui vante le calme apparent régnant à Angers, est de Noël Tosi, à la fois ex et actuel entraîneur du SCO. Alors que le club s’apprête à retrouver l’OM, c’est-à-dire une affiche de gala comme le club n’en a plus connue depuis longtemps, l’expression de « Marseille de l’ouest », en vogue en Anjou, a pourtant resurgi. Il faut dire qu’avec onze entraîneurs remerciés prématurément depuis 1993, Angers fait presque aussi bien que le club phocéen (seize), sans compter les neuf présidents qu’il a consommés. Mais aujourd’hui, Patrick Norbert, le président arrivé en tout début de saison 2003-2004, et Noël Tosi, qui arracha le maintien en L2 en mai dernier dans les arrêts de jeu de la dernière journée – et revenu au club cet automne en remplacement du Suisse Roberto Morinini… – jurent cependant qu’Angers est un club ordinaire. Pourtant, depuis quelques années, hormis ses résultats sportifs en dents de scie(le SCO est actuellement 17 e à un point de la zone de relégation), Angers a fait l’actualité, notamment localement, pour des faits très divers, pas toujours sportifs. En vrac: nomination à sa tête d’un journaliste (Philippe Doucet, Canal+); son départ au terme d’un imbroglio financier ; arrivée d’un nouveau président, Patrick Norbert, ancien jeune premier du cinéma devenu producteur, qui jongle avec son emploi du temps entre Paris et Maine-et-Loire ; petites polémiques reprochant au président la présence dans l’équipe de deux de ses fils, Ludwig et Guillaume (le second étant considéré aujourd’hui comme l’un des meilleurs de l’équipe) ; départ houleux en janvier (encore non réglé par les prud’hommes) de Jacky Bonnevay, venu remplacer Éric Guérit, parti avant la première journée 2003-2004… ; crêpages de chignon musclés divers au centre d’entraînement de la Baumette ; recrutement de Stéphane Caristan (*), cet été, comme préparateur physique et mental, avant le retour de Noël Tosi … ; menace de rétrogradation en National et, enfin, tombereaux d’insultes, après une défaite à Créteil (0-2), à destination du président Norbert, qui ont incité ce dernier à porter plainte contre un des groupes agresseurs, défini par lui-même comme des« gaminsde15ou 16 ans auxquels je me suis opposé, car ils sont manipulés par des individus néonazis ». Volontiers discret, Patrick Norbert dédramatise, de façon souvent crédible, la plupart des événements cités plus haut, et rappelle : «Je n’ai jamais demandé à être président d’un club, j’ai plus l’impression d’y avoir été porté par l’extérieur. Je reconnais que ça a été très dur la saison dernière. Je ne veux qu’une chose: que le club redevienne un instrument de reconnaissance pour la ville. Le SCO, c’est une marque, tout le monde sait ce que c’est, il n’y a même pas besoin de dire "Angers". » Mais, quand on l’interroge sur la durée de son engagement, il louvoie un peu et reconnaît douter, parfois, devant le peu de respect qu’on lui témoigne : « Je me suis déjà demandé si je n’étais pas "un de plus" dans la liste des"suspects" qui ont été à la tête de ce club. » Noël Tosi, lui, assure : « Depuis que je suis entraîneur, ici, le club se calme. Il se structure petit à petit. C’est lent mais on avait tellement de retard. » À ce propos, le défenseur Gilles Kerhuiel, trente-cinq ans, se souvient qu’à son arrivée, en 2000, « il n’y avait pas deux joueurs habillés de la même façon à l’entraînement ». Tosi reprend :« Je ne suis pas inquiet et, en plus, j’ai renouvelé ma confiance au président récemment (rire). Moi, ce que je veux, c’est “le bonheur dans la rigueur”. Je suis affable, enjoué, j’ai une bonne bouille, mais je sais aussi qu’on peut y arriver en travaillant. Je ne suis pas David Copperfield… » Fin octobre, l’entraîneur avait décidé de convoquer les joueurs à l’aube pour un entraînement « à la fraîche ». « J’avais constaté, raconte-t-il, que les joueurs débarquaient la tête enfarinée à 9h30, je voulais voir s’ils avaient la même gueule à 7 heures. Et j’ai eu raison: on s’est redressés. » JEAN-CHRISTOPHE BASSIGNAC (*) Ancien recordman de France du 110 m haies (13’’20) et champion d’Europe à Stuttgart en 1986.

[Cisco]

Article du jour de la Nouvelle République, Michel Pateau et Frédéric Michel Retrouvez les informations de la Nouvelle République sur : http://www.nrco.com/ Le SCO prêt pour affronter l’ogre ( 08/01/2005 ) Les Angevins entreront cet après-midi sans pression dans le stade Vélodrome. “ Pour se faire plaisir ”, disent les joueurs. Noël Tosi aura plutôt le regard tourné vers une autre ville du sud : Montpellier, qui attend le SCO mardi. Chaud devant ! Il faudra tout le professionnalisme et le talent de Jocelyn Gourvennec pour résister aux assauts marseillais. (Photo d’archives corr. NR, Michel Durigneux) Olympique de Marseille - Angers SCO, samedi 17 h, stade Vélodrome (match retransmis sur TF1) Patrick Norbert avait fait la moue quand il apprit le tirage de ce tour de la Coupe de France. Au contraire des joueurs du SCO, qui auront le frisson cet après-midi, à 17 h, quand ils pénétreront dans le stade de Marseille. Un frisson que connaît bien Jocelyn Gourvennec, qui a porté le maillot de l’OM pendant la saison 1998-1999 : « Je me souviendrai toujours de la finale contre Parme, même si on l’a perdue. Le passage à Marseille est un grand moment de ma carrière ». Originaire de la ville méditerranéenne, Pascal Bédrossian, lui, a vibré pendant sa jeunesse devant les exploits des Francescoli, Papin ou Sauzée. Il a lui aussi joué au Vélodrome, mais avec Cannes et Lorient. « On va jouer vraiment pour se faire plaisir, dit-il. Il faudra tout donner pour ne pas avoir de regret. Se lâcher, tenter. » Deux mots que Noël Tosi pourrait ironiquement reprendre au bond tant les carences dans l’attaque sont flagrantes depuis le début de la saison chez les Angevins. Mais l’entraîneur du SCO sait bien que cette rencontre de coupe est particulière. « Je n’ai pas de sentiment particulier sur ce match, lâche le technicien corse. Il est évident que sur le papier, nous n’avons aucune chance. Et je préférerais cent fois une défaite contre l’OM et un bon résultat à suivre à Montpellier le mardi suivant, plutôt que le contraire… » Philippe Troussier : “ La Coupe fait partie du patrimoine marseillais ” Il est vrai que ce début janvier s’annonce singulièrement délicat pour le club angevin, qui devra disputer trois matchs en sept jours : Marseille, Montpellier et la réception de Dijon le 14. « Remotiver les gars pour le championnat sera peut-être difficile après la coupe », craint Noël Tosi, qui prépare son groupe depuis hier à Grau-du-Roi (Gard). Il a retenu une vingtaine de joueurs, dont le convalescent Guillaume Norbert et le suspendu Obbadi. Tout le monde sera de la fête. La nouvelle recrue offensive Théreau y compris, qui débutera sous le maillot du SCO. Et pas n’importe où ! « Angers va venir avec le même état d’esprit que nous, c’est-à-dire gagner le match, avec tout ce que comprend l’esprit de la Coupe de France. C’est une équipe qui est mal classée en Ligue 2, mais qui aura à cœur de jouer à fond. Nous sommes avertis », déclare Philippe Troussier, l’entraîneur de l’OM, pour qui ce match est loin d’être anodin : « La Coupe est symbolique ici, elle fait partie du patrimoine marseillais. Ce match nous fait en plus débuter une saison, une seconde saison, et une victoire, surtout avant le match à Lille, nous ferait rentrer dans une spirale positive. » Éliminés en Coupe de la Ligue, les Marseillais n’aimeraient pas se faire sortir de leur épreuve fétiche. Le groupe angevin Lucas, Lachuer - Kerhuiel, Cygan, Ekani, Dussart, Grimaldi - Moussi, Stassin, Gourvennec, Djellabi, Assous, Dia, Ferreira, Bédrossian - L. Norbert, Inkango, Dia, Théreau. Michel PATEAU et Frédéric MICHEL

[petitfute]

L'Equipe de ce jour Un OM concerné Après le départ de Lizarazu,Marseille ne veut pas rater son entrée en Coupe,déterminante pour la suite de sa saison. AUJOURD’HUI, 17 HEURES, À MARSEILLE, STADE-VÉLODROME (TF 1) MARSEILLE : Barthez (cap.) – Beye, Déhu, Ecker – Sy. N’Diaye, Pedretti, Olembe – Batlles, Br. Cheyrou – Marlet, Luyindula. Remplaçants : Gavanon (g.), Bamogo, Nasri, Yahyaoui, Eduardo Costa ou Leo. Entraîneur : P. Troussier. ANGERS : Lucas – Ekani, T. Cygan, Dussart, Grimaldi, Djellabi – Moussi, Stassin, Gourvennec(cap.), Bédrossian – L. Norbert. Remplaçants : J. Lachuer (g.), Kerhuiel, Assous, Thereau, F. Dia. Entraîneur : N. Tosi. Arbitre : M. Chapron. MARSEILLE –de notre correspondante HIER MATIN, à la Commanderie, séance de préparation ordinaire pour un match de Coupe de France. Sur une moitié de terrain, Barthez se prête avec talent à une séquence de tirs au but face à M’Bolhi, le jeune gardien du centre de formation. Sur l’autre moitié, Troussier s’agite à grands renforts de gestes pour placer ses hommes dans une situation de corner. Il s’époumone : « Être une grande équipe, c’est savoir que rien n’est gagné d’avance et qu’il faudra être à cent pour cent face à une équipe qui vient avec l’idée qu’elle n’a rien à perdre. Elle tentera le coup de la Coupe de France. Et, quand on s’appelle l’OM, on ne peut pas envisager de perdre contre Angers. » Cette confrontation prend une grosse résonance pour lui et ses hommes quand on la resitue dans un mois de janvier charnière. « C’est une étape importante en tant que premier match de cette deuxième moitié de saison, explique-t-il. Il est très important pour la dynamique que ça pourrait enclencher au regard de ce calendrier de janvier et d’une qualification qui nous plongerait dans une compétition que l’OM n’a plus gagnée depuis 1989. » Troussier a décidé de s’appuyer pour ce match sur des joueurs expérimentés, désireux de les remettre définitivement en confiance, comme Bruno Cheyrou ou Sylvain N’Diaye. Et sur un groupe qui aspire enfin à la tranquillité. « Pour qu’un groupe soit performant, il faut qu’il réussisse à travailler dans la sérénité, assure Frédéric Déhu. Et plus il y en aura, et mieux ce sera pour l’ensemble du groupe. Qu’il n’y en ait pas eu assez en première partie de Championnat, c’est sans doute l’une des causes des résultats en dents de scie de l’OM. Il faut que ce groupe trouve une certaine stabilité par le travail et les performances ensuite. » De fait, on ne peut pas dire que le départ de Lizarazu a perturbé le groupe. «Cela ne nous regarde pas vraiment, assure Déhu, il ne jouait pas. On n’est pas dupes non plus, il a eu une opportunité, il l’a saisie, point. » « Ça s’est fait très vite, on n’en a presque pas parlé, affirme pour sa part Pedretti. Si un joueur ne se sent pas très bien, ça ne sert à rien de le faire rester et qu’il vienne à reculons à l’entraînement. Il a déjà prouvé ses qualités, un nouveau challenge, c’est très bien pour lui. » Le cas Lizarazu se traite visiblement comme un cas à part, comme le rappelle le milieu international :« Liza n’a jamais mis la sacrebleu dans le groupe. Il n’a jamais posé de problèmes quand onétait tousensemble. Ensuite, individuellement, je ne sais pas. Quand M. Troussier est arrivé, il ne le fait pas jouer à Caen puis il le prend au vert contre Auxerre et il ne joue encore pas, on ne peut pas s’attendre à ce que les choses se passent bien non plus. À trente-cinq ans, il a passé l’âge de faire des mises au vert pour ne pas jouer ensuite, on peut le comprendre. Peut être que dans dix ans, j’en aurai marre aussi de faire 1 heure de tactique, 2 heures de passes. Pour le moment, j’en ai besoin, donc ça me convient très bien. Mais on peut comprendre sa démarche. » PhilippeTroussier lui aussi n’en rajoute pas, malgré les déclarations de Lizara- zu dans L’Équipe d’hier. « Je suis un peu déçu par ses déclarations parce que je pense qu’il aurait pu dire autre chose pour ses coéquipiers et de ce club qui lui a fait confiance cet été. En ce qui me concerne, il avait des a priori et était braqué contre moi en me stigmatisant comme quelqu’un de rigide et autoritaire. Je lui ai dit que je comptais sur lui maisque j’avais d’abord des priorités collectives. Tout cela se serait tassé avec le temps. » HÉLÈNE FOXONET

[lacouture.49]

L'équipe ce matin ; OM : PAR ICI LA SORTIE Belle photo de DUSSARD sur son but en premiere page A l'intérieur MARSEILLE disparait ; GOURVENEC sur un nuage ; ANGERS pro de l'ascenceur; TROUSSIER :grosse désillusion ,des changements pour aller a LILLE. une énorme photo de LUYINDULA a genou visage contre terre un déclic pour ANGERS , une pensée a tous les joueurs sur le terrain dans les tribunes et ceux rester a ANGERS Dans le courrier de l'ouest :L'énorme exploit du SCO le sco assomme l'OM en 6 minutes le voeu le plus fou réalisé la tete dans les nuages mais les pieds sur terre DEUX JOURNEAUX A CONSERVER

[parissco]

Quelqu'un peut il scané la une du CO et ses articles et les mettre en ligne car à la gare montparnasse ce matin il était introuvable

[Ben]

Une énorme désillusion» pour Philippe Troussier Marseille (Bouches-du-Rhône) DE NOTRE CORRESPONDANT On suppose que la déception est énorme ? Philippe Troussier. On savait que la Coupe de France avait un parfum particulier. Ce soir, elle a un goût amer. Après une défaite comme celle que nous venons de subir, c'est une très grande désillusion. Vous avez vécu le pire des scénarios... Oui, nous marquons le premier but. Nous menons 1-0 dès le premier quart d'heure et nous dominons la première période. Nous avions la possibilité de nous mettre à l'abri en inscrivant un deuxième but. Si ça avait été le cas, je pense que le match aurait été plié. Et puis, tout s'est déréglé ? Oui. Nous prenons un premier but qui a désorganisé les esprits. La suite, vous l'avez vue, nous prenons deux autres buts dans la foulée, ce qui fait trois buts en quatre-cinq minutes ! Là, automatiquement, c'est un handicap énorme qui se crée. Je n'ai pas le sentiment que l'équipe ait fait preuve de suffisance mais c'est clair, nous sommes passés à travers. Qu'est-ce qui a manqué à l'OM ? Avant tout l'envie de gagner. Cette envie nous manque, elle n'est pas présente. L'envie de bien faire existe. On sent des joueurs appliqués, une volonté de faire des efforts. Mais cette envie de gagner qui fait le parfum si particulier de la Coupe de France et des Coupes en général, les joueurs d'Angers l'ont eue plus que nous. A l'arrivée, on perd. Je me répète : c'est une énorme déception, une énorme désillusion. Mais en même temps, j'ai envie tout de suite de rebondir sur notre prochain match de championnat. Oui, mais c'est à Lille mardi... Un gros match nous attend. Après la Coupe de la Ligue, nous quittons la Coupe de France. Il ne nous reste plus que le championnat pour atteindre l'objectif fixé, qui est une qualification en Ligue des champions. J'espère que l'équipe sera animée d'un esprit de révolte. Propos recueillis par Jean-Louis Pacull

[scomino]

Les articles du 09 Janvier 2005 <Football : Angers se joue de la logique et sort Marseille> Le Sco gagne ! Le beau match d'Armel Armel (à droite) applaudit en riant la victoire du Sco sur Marseille, avec Pascal et, au second plan, Mickaël et Luc (debout). Tandis que quatre cars se sont rendus à Marseille, le bonheur de supporteurs à Angers devant la télé. C'est énorme ». Armel laisse éclater sa joie. Il applaudit et se lève, sourire aux lèvres, quand, au terme de près de cinq minutes de prolongations qui ont paru interminables, le Sco confirme sa victoire sur Marseille, 3 à 2, en 32e de finale de Coupe de France. Peu après, les avertisseurs de voitures commencent à lui faire écho dans les rues d'Angers... Hier, Armel n'était pas dans les quatre cars de supporteurs emmenés au Stade vélodrome marseillais par leurs deux clubs, Allez Sco et le Scop. Un peu cher et un peu long, le voyage. D'autant qu'il est retransmis à la télé. « Je ne loupe pas un match quand le Sco joue dans la région. Je les ai suivis toute l'année dernière », explique le jeune homme, qui sait raison garder. Près d'Armel, vraiment déçu, lui, de n'avoir pu être du voyage, Pascal Joncheray, le président du Scop : « Je travaillais ! » À défaut de Marseille, Armel et Pascal ont accroché leur drapeau noir et blanc, « Allez Angers Sco », à la vitrine du pub Flanagans, où, depuis un an et demi, se font les retrouvailles d'après-match des copains du Scop. Il est 17 h. Luc les rejoint, puis Mickaël (tous deux la trentaine comme Pascal et Armel), pour voir le match ensemble sur l'écran de télé du pub. « La télé, c'est une consolation. » Lucides supporteurs Ils sont un peu déçus pour leur club que les tribunes marseillaises laissent vides de larges travées du stade vélodrome. Ils restent lucides sur l'état de leur équipe. Des supporters corrects, les quatre jeunes Angevins. Avant le début du match, ils n'apprécient guère les cris marseillais qui trouent la minute de silence observée à la mémoire des victimes du raz-de-marée en Asie du Sud. « Trop tôt ! C'est trop tôt ! » Il n'y a guère 10 mn que le ballon est en jeu et, déjà, Marseille vient de marquer. Marseille ou... Dussart contre son camp ? Pascal se prend la tête dans les mains. Une Angevine, elle, a déjà marqué des points. Une entreprise. La télé ne cesse de montrer le nom des Brioches Pasquier, des Cerqueux. Habilement cousu... en haut du dos des maillots. Aussi bien sur le Noir des Angevins que sur le blanc rayé de bleu des Marseillais ! « C'est pas trop mal, juge Armel avant la reprise. Dommage qu'ils aient mal débuté. Mais il y a encore de l'espoir ». « Magnifique ! » Il a raison, lui qui avait annoncé aux copains, la veille, un score de 3-2 pour le Sco ! Grosse pression marseillaise, pourtant. Puis renversement de situation. « L'OM est en train de s'enliser », commençait à dire Pascal, quand, à 11 mn seulement de la reprise, un tir de Gourvennec, en mettant le ballon au fond des buts de Fabien Barthez, produit une vague de liesse à la table du pub. Table que Pascal renverse, avec la bière de Mickaël, en se levant, bras au ciel, avec un fort « ouais ! » de bonheur. « Au moins, ils se battent », observe Armel. « Ah ! Les pauvres Marseillais », crie ironiquement Luc, quand, soulevant à nouveau les quatre garçons de leurs chaises, Gourvennec donne l'avantage, par 2-1, aux Angevins. « Magnifique », s'écrie Mickaël. « Il reste encore une demi-heure, tempère Pascal, mais c'est déjà ça ». « S'ils gagnent, je ne suis pas couché », annonce Armel. « Et il y aura du monde demain matin au retour des cars ». Dans le pub, les quatre supporteurs applaudissent Théreau, quand l'entraîneur le remplace, après qu'il ait réussi l'« incroyable ». « Trois buts en 6 mn », s'exclame Armel, en s'empressant d'appuyer sur le clavier de son téléphone pour partager la nouvelle avec des copains. « Ceux qui ont fait le déplacement, se réjouit Luc, ils en auront eu pour leur argent ». « Il faut tenir 10 minutes », rappelle Pascal. Les « Allez ! » et les « Oh la la la la ! » ponctuent les (longues !) quatre minutes de prolongations... que l'arbitre laisse même déborder un peu, avant que, enfin, avec Pascal, Mickaël et Luc, Armel puisse croire à l'incroyable en s'écriant : « C'est énorme ! ». Alain BODY.