Christobald a écrit :lointainscoiste a écrit :Quand le niveau de l’eau touche le fond cela devient un sujet primordial !
En 1965 René Dumont et son verre d’eau lors de la campagne présidentielle était parmi les clairvoyants à qui on disait « il y a d’autres sujets de fond » pour le renvoyer dans son coin et continuer à polluer le débat politique avec un mode de pensée criminel.
Continuer de polluer la terre et la pensée est un crime contre l’Humanité.
On ne peut pas tout a la fois considérer que les nations, c'est du nationalisme, que la souveraineté, c'est du fascisme, et pleurer sur les désastres écologistes.
Ce joli monde totalement dérégulé de la liberté de circulation des biens et des personnes, de l'hubris du capitalisme qui déteste les nations, les frontières et les peuples au non d'un modèle consumériste.
Po po po, le charabia…
Tu continues à mélanger les mondialisations. Il n’y a pas que celle que le capitalisme sauvage nous impose, mais pas que le capitalisme, une forme d’industrialisation à tout va.
La souveraineté peut prendre la tournure du fascisme comme c’est le cas chez certains aujourd’hui, la souveraineté n’est pas a priori une mauvaise chose en soi. Mais on peut être un état souverain et créer des désastres écologiques tout pareil. La Chine en est un parfait exemple. Tout dépend là aussi dans ce qu’on met dans le mot souverain. L’Union Européenne est une forme de souverainisme qui essaye de réguler la question écologique, insuffisamment mais plus que nulle part ailleurs.
La libre circulation des biens et des personnes n’est pas une mauvaise chose en soi à condition qu’il y ait une régulation au niveau mondial qui empêche de faire tout et n’importe quoi.
On déplorera beaucoup de morts mais on y arrivera fatalement. Les nationalismes ayant provoqué des hécatombes et des destructions monstrueuses ont accouché dans un premier temps de la Société des Nations puis dans un deuxième temps de l’ONU, le retour des nationalismes sous leur pire forme accouchera dans un troisième temps d’une forme probablement définitive d’organisation ou de Société des NATIONS plus efficace et pérenne.
Lire ou relire Ni victimes ni bourreaux d’Albert Camus.
La catastrophe écologique est mondiale, planétaire, elle appelle une réponse mondiale.