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Christobald a écrit :angevin4ever a écrit :Christobald a écrit :Il n'existe pas d'étude qui démontre le rôle positif des confinements dans la nombre de malades ou de décès dus au COVID.
En revanche, je l'ai détaillé dans mes posts précédents, et cela est sourcé, documenté, ces confinements ont provoqué davantage de malades et de décès.
Associés à l'interdiction inédite de prescrire pour les médecins, autre chose que du doliprane (qui n'est qu'un antalgique, avec des effets segondaire si surdosage), une baisse concomitante des anti-biotiques, une baisse de l'activité hospitalière (les reports et défauts de dépistage qu'évoque du bout des lèvres l'INSEE), une classification Covid chez des malades qui souffraient d'affections respiratoires classiques et qui n'ont pas été soignés, sans compter le sujet tabou de l'éuthanasie pratiqué dans les Ehpads par les GIR, a l'aide du Rivotril....
Il y a environ 3 millions 500 personnes souffrant en France d'affections respiratoires. Elle sont identifiés par les autorités de Santé. Il y avait ici, par exemple, un moyen de mettre en place et d'affiner une politique de prévention et de soins !.
Quand nos gouvernants seront-ils comptables de leurs actions ?
Après coup OK on peut peut être avec des stats en conclure que les confinements ont aussi provoqué des décès MAIS CELA c'est après COUP.
Quand tu ne sais pas ce qui va t'arriver sur la tronche, je pense que le 1er confinement était légitime car on ne savait pas encore exactement à quoi on avait à faire en face. Il apparaît évident au début de la crise que ce type de mesure était une réponse assez logique à ce virus le temps qu'on en sache plus sur lui. S'il avait été bcp plus dangereux...
Je comprends certaines analyses que tu fais mais je trouve que ce qui manque dans tes analyses c'est leur remise dans le contexte au moment où ça s'est passé.
On a su très tôt que le Covid était dangereux pour un public à risques.
Des erreurs considérables ont été faites : ne pas soigner les gens en leur demandant de rester chez eux et prendre du doliprane est un facteur majeur, avec d'autres.
Il y a eu la création d'un conseil scientifique dont on peut interroger le rôle et la légitimité, sachant la totale opacité de cette instance.
Si on reprend toutes les volte-face d'Olivier Véran, l'argument du "on ne savait pas" vole en éclats.
Je reviendrais bientôt sur l'étude de l'INSEE sur l'année 2022.
« Des erreurs considérables ont été faites : ne pas soigner les gens en leur demandant de rester chez eux et prendre du doliprane est un facteur majeur, avec d'autres. »
Tu es sérieux là ?
C’est pas cool de réécrire l’histoire comme ça t’arrange.