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Tout le monde sait que les contrats ne signifient pas grand chose dans le monde du football!Angers peut faire son marché
- zeuking
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calimero a écrit :Tout le monde sait que les contrats ne signifient pas grand chose dans le monde du football!
+1, de toute façon WB ne pouvait pas dire autre chose à propos de Fabrice... Donc il peut évidement nous quitter si un club fait un proposition interéssante.
" c' est en voyant un moustique se poser sur ses testicules, qu' on réalise qu' on ne peut pas régler tous les problèmes par la violence..." proverbe Chinois
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moi je pense que si il aurait pu dire en cas de non montée ca sera quasiment impossible de le conserver;donc pour moi si il a dit cela j'espere bien qu'il sera en mesure de tenir sa parole j'appelle cela de la crédibilité(à moins qu'il est dit cela seulement dans le cas ou on monte qu'il ne serait pas transférable ou bien en mettant plus de 5 millions sur la table,car cela il ne l'a pas précisé)

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- zeuking
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RNB a écrit :moi je pense que si il aurait pu dire en cas de non montée ca sera quasiment impossible de le conserver;donc pour moi si il a dit cela j'espere bien qu'il sera en mesure de tenir sa parole j'appelle cela de la crédibilité(à moins qu'il est dit cela seulement dans le cas ou on monte qu'il ne serait pas transférable ou bien en mettant plus de 5 millions sur la table,car cela il ne l'a pas précisé)
Puisses-tu avoir raison!

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RNB a écrit :moi je pense que si il aurait pu dire en cas de non montée ca sera quasiment impossible de le conserver;donc pour moi si il a dit cela j'espere bien qu'il sera en mesure de tenir sa parole j'appelle cela de la crédibilité(à moins qu'il est dit cela seulement dans le cas ou on monte qu'il ne serait pas transférable ou bien en mettant plus de 5 millions sur la table,car cela il ne l'a pas précisé)
RNB enfin faut pas etre pas naif non plus


C'est bien connu, pourtant qu'il faut pas se fier au parole d'un président ou d'un joueur pour les transferts, et pour croire qu'on peut vendre do marcolino 5 millions d'euros


Tu verras si on monte pas en ligue 2 ya vraiment tres peu de chance qu'on conserve ce joueur

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de toute facon si on reste en national il faudra essayé de garder l ossature de l equipe et surtout les defenseurs (meilleurs defense de national quand meme) apres il va falloir recruter au milieu en gardant stephan et niveau attaque garder tangeaoui et l epauler avec un autre grand serial buteur
et toutefois si nous montons alors la il y a un gros recrutement a faire
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ricouille a écrit :de toute facon si on reste en national il faudra essayé de garder l ossature de l equipe et surtout les defenseurs (meilleurs defense de national quand meme) apres il va falloir recruter au milieu en gardant stephan et niveau attaque garder tangeaoui et l epauler avec un autre grand serial buteur
et toutefois si nous montons alors la il y a un gros recrutement a faire
Pour moi le secteur à renforcer en priorité est la défense!Si nous sommes meilleure défense,c'est grace au travail effectué par toute l'équipe et non la conséquence de grosses qualités individuelles(mis à part Cygan)et les joueurs de couloir pour amener plus de percussion et de changements de rythme!
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ricouille a écrit :on va me dire qu il est un peu vieux mais nicolas savinaud n est pas garder par nantes
c est un joueur qui a l amour du maillot
a 31 ans je pense qu il a encore 2 ou 3 année devant lui
A 31 ans, même en tant que sportif de haut niveau, on est loin d'être vieux. Il ferait une très bonne recrue si nous montons en L2.
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Nisco a écrit :Michel Der Zakarian etait present au match ce soir, pour observer Do Marco sans doute.
etre recruté par Nantes, ces dernieres saisons, ce n'est pas forcement bon signe

au moins on aura peut etre un espoir de le recuperer au mercato!!!
L'optimiste se dit qu'un travailleur a droit à 5 semaines de congé par an.
Le pessimiste, lui, se dit que des tas de braves gens sont obligés d'interrompre chaque année leurs vacances pendant 47 semaines pour aller bosser.
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- Gérard Lambert
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Frederic Da Rochanon plus ne sera pas conservé par le FCNA.
Il est permis d'esperer ça ne coûte rien :up
Il est permis d'esperer ça ne coûte rien :up
L'optimiste se dit qu'un travailleur a droit à 5 semaines de congé par an.
Le pessimiste, lui, se dit que des tas de braves gens sont obligés d'interrompre chaque année leurs vacances pendant 47 semaines pour aller bosser.
Le pessimiste, lui, se dit que des tas de braves gens sont obligés d'interrompre chaque année leurs vacances pendant 47 semaines pour aller bosser.
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Gérard Lambert a écrit :Frederic Da Rochanon plus ne sera pas conservé par le FCNA.
Il est permis d'esperer ça ne coûte rien :up
C'est une honte de ne pas conserver ce mec. Je ne dis pas que c'est un super joueur, mais sa fidélité, son engagement et ses prestations lui vaudrait de faire remonter le FCNA.
Recherche du choc psychologique peut etre? Trop tard surement.
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bon et bien ce qu'a donc dis wb sur les ondes de ldl c'était seulement en cas de montée que do marco était intransférable puisque comme l'a dis foulques il a un contrat de 1+1 en cas de montée;donc si on reste en national on gagnera pas un centime.....
dommage de pas avoir réussi à lui faire signer un contrat de 2 ans comme tous les autres joueurs.
dommage de pas avoir réussi à lui faire signer un contrat de 2 ans comme tous les autres joueurs.

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Football : Youssef Adnane, sauveur discret, joueur tonitruant
Mascotte. Depuis son arrivée à Cherbourg, l'ancien Brestois est incontournable. 13 buts en 16 matches, il doit susciter les convoitises.
« J'ai déconné. » L'oreille se tend. Il est rare d'entendre Youssef Adnane se lâcher de la sorte. L'attaquant cherbourgeois, habituellement plus sur la réserve et donc sollicité afin de garantir la compréhension du propos, répète. « J'ai déconné. » C'était bien ça. Et il se marre. Franchement. Le rire est communicatif, le moment précieux. « Non. Non, c'est jamais trop. » Il évoque évidemment son triplé, ces trois buts infligés vendredi soir à Martigues. Dit à nouveau : « Jamais trop. » Soirée des confidences, des hommes décomplexés. Comme le sera aussi Hervé Renard, lorsqu'une fois la victoire acquise, il se livre comme jamais, voix étranglée, allant jusqu'aux larmes d'une émotion non contenue. Cherbourg vient de gagner 4-0, l'adversaire du soir est envoyé en zone de relégation quand les Bleus la quittent et emballent la 15e place, un 2-0 aurait suffi à garantir le goal-average particulier, alors là... Tout baigne, Maurice Postaire ne s'y est pas trompé qui s'est levé comme un seul supporter pour saluer la sortie de l'artiste.
Rôdeur sans états d'âme
Après le coup du chapeau (stricte appellation écornée par le but que Grégory Firquet est venu intercaler dans la série), l'entraîneur a sorti son goaléador fétiche. Il restait une minute dans le temps réglementaire. L'opération a permis à Nicolas Cicut de partager la joie collective avec ses camarades contre des Provençaux avec lesquels il a quelques attaches. Elle a surtout offert à Adnane un triomphe personnel. Standing ovation du public. Il a conclu par deux buts de rôdeur, face à l'une des meilleures défenses, il avait commencé à libérer son camp sur un parfait contre-pied. Un penalty au meilleur moment, obtenu par la grâce d'une main sang et or qui traîne sur la trajectoire du ballon dans la surface, et le n° 15 cherbourgeois s'y colle, dans ce calme immense qui l'habite traditionnellement. « Le fait que je le frappe est prédéfini. En début de saison c'est Junior qui les tirait, et comme il s'est blessé j'ai pris la relève. Comme ça se passe bien, je continue », lâche-t-il doucement. Miranda, qui justement effectuait là sa rentrée. n'a pas plus regretté la charge qu'il n'a oublié son coup de pied de réparation raté contre le Paris FC.
Un agent à son image : bon, car discret
On connaît le film « L'Angoisse du gardien de but au moment du penalty ». Et celle du tireur ? « Il faut faire le vide et se concentrer, assure l'artilleur désormais attitré. Des joueurs adverses crient : Il va rater, il va rater... Au moment d'un penalty, tout se joue dans la tête. » La sienne, de tête, l'incline à la raison. Il y a bien sûr le constat suivant lequel « un match c'est long et il peut s'en passer, des choses, en 90 minutes ». Il y a aussi l'apprentissage des expériences désagréables. Alors quand le vent tourne, l'emballement est on ne peut guère plus mesuré. Youssef Adnane se garde de gommer ce qui l'a conduit à Cherbourg, club pour lequel il se dépouille et qui lui devra sa survie si la tendance se confirme. « A la fois pour moi, pour l'équipe, pour le club, ça fait plaisir », détaille-t-il. Du côté de Brest, où il a bénéficié au mieux d'une ignorance polie et où, manifestement, il ne s'inscrivait pas dans les plans de l'entraîneur, on doit le regretter : « Côté joueurs, pas un n'a jamais douté de mes capacités, assène-t-il. L'entraîneur, apparemment, si. Je ne m'arrête pas à ça. Des entraîneurs, certains me trouveront bon, d'autres mauvais. Il y a juste à continuer à travailler et ça paie à Cherbourg... »
Avec ce qu'il produit dans le Nord-Cotentin et ce qu'il apporte à l'ASC - son sauvetage, ni plus, ni moins - on imagine mal l'absence de sollicitations. Comme on a du mal à rêver que le club pourra le conserver la saison prochaine, des difficultés à croire que son agent l'a tout d'un coup oublié. « Mon agent ne m'appelle pas si souvent que ça. C'est la raison pour laquelle il est bon. En général, quand ça se passe bien, les mauvais agents vous appellent tout le temps. Youssef balaie le sujet. On va d'abord finir avec Cherbourg. On verra après. » Il reste concentré sur le futur immédiat, qui constitue déjà son présent. Son essentiel, c'est ce déplacement de vendredi prochain à Yzeure. L'ancien Brestois ne tend que vers ce but.
Olivier CLERC.
Ouest-France
Mascotte. Depuis son arrivée à Cherbourg, l'ancien Brestois est incontournable. 13 buts en 16 matches, il doit susciter les convoitises.
« J'ai déconné. » L'oreille se tend. Il est rare d'entendre Youssef Adnane se lâcher de la sorte. L'attaquant cherbourgeois, habituellement plus sur la réserve et donc sollicité afin de garantir la compréhension du propos, répète. « J'ai déconné. » C'était bien ça. Et il se marre. Franchement. Le rire est communicatif, le moment précieux. « Non. Non, c'est jamais trop. » Il évoque évidemment son triplé, ces trois buts infligés vendredi soir à Martigues. Dit à nouveau : « Jamais trop. » Soirée des confidences, des hommes décomplexés. Comme le sera aussi Hervé Renard, lorsqu'une fois la victoire acquise, il se livre comme jamais, voix étranglée, allant jusqu'aux larmes d'une émotion non contenue. Cherbourg vient de gagner 4-0, l'adversaire du soir est envoyé en zone de relégation quand les Bleus la quittent et emballent la 15e place, un 2-0 aurait suffi à garantir le goal-average particulier, alors là... Tout baigne, Maurice Postaire ne s'y est pas trompé qui s'est levé comme un seul supporter pour saluer la sortie de l'artiste.
Rôdeur sans états d'âme
Après le coup du chapeau (stricte appellation écornée par le but que Grégory Firquet est venu intercaler dans la série), l'entraîneur a sorti son goaléador fétiche. Il restait une minute dans le temps réglementaire. L'opération a permis à Nicolas Cicut de partager la joie collective avec ses camarades contre des Provençaux avec lesquels il a quelques attaches. Elle a surtout offert à Adnane un triomphe personnel. Standing ovation du public. Il a conclu par deux buts de rôdeur, face à l'une des meilleures défenses, il avait commencé à libérer son camp sur un parfait contre-pied. Un penalty au meilleur moment, obtenu par la grâce d'une main sang et or qui traîne sur la trajectoire du ballon dans la surface, et le n° 15 cherbourgeois s'y colle, dans ce calme immense qui l'habite traditionnellement. « Le fait que je le frappe est prédéfini. En début de saison c'est Junior qui les tirait, et comme il s'est blessé j'ai pris la relève. Comme ça se passe bien, je continue », lâche-t-il doucement. Miranda, qui justement effectuait là sa rentrée. n'a pas plus regretté la charge qu'il n'a oublié son coup de pied de réparation raté contre le Paris FC.
Un agent à son image : bon, car discret
On connaît le film « L'Angoisse du gardien de but au moment du penalty ». Et celle du tireur ? « Il faut faire le vide et se concentrer, assure l'artilleur désormais attitré. Des joueurs adverses crient : Il va rater, il va rater... Au moment d'un penalty, tout se joue dans la tête. » La sienne, de tête, l'incline à la raison. Il y a bien sûr le constat suivant lequel « un match c'est long et il peut s'en passer, des choses, en 90 minutes ». Il y a aussi l'apprentissage des expériences désagréables. Alors quand le vent tourne, l'emballement est on ne peut guère plus mesuré. Youssef Adnane se garde de gommer ce qui l'a conduit à Cherbourg, club pour lequel il se dépouille et qui lui devra sa survie si la tendance se confirme. « A la fois pour moi, pour l'équipe, pour le club, ça fait plaisir », détaille-t-il. Du côté de Brest, où il a bénéficié au mieux d'une ignorance polie et où, manifestement, il ne s'inscrivait pas dans les plans de l'entraîneur, on doit le regretter : « Côté joueurs, pas un n'a jamais douté de mes capacités, assène-t-il. L'entraîneur, apparemment, si. Je ne m'arrête pas à ça. Des entraîneurs, certains me trouveront bon, d'autres mauvais. Il y a juste à continuer à travailler et ça paie à Cherbourg... »
Avec ce qu'il produit dans le Nord-Cotentin et ce qu'il apporte à l'ASC - son sauvetage, ni plus, ni moins - on imagine mal l'absence de sollicitations. Comme on a du mal à rêver que le club pourra le conserver la saison prochaine, des difficultés à croire que son agent l'a tout d'un coup oublié. « Mon agent ne m'appelle pas si souvent que ça. C'est la raison pour laquelle il est bon. En général, quand ça se passe bien, les mauvais agents vous appellent tout le temps. Youssef balaie le sujet. On va d'abord finir avec Cherbourg. On verra après. » Il reste concentré sur le futur immédiat, qui constitue déjà son présent. Son essentiel, c'est ce déplacement de vendredi prochain à Yzeure. L'ancien Brestois ne tend que vers ce but.
Olivier CLERC.
Ouest-France
Concernant les contrats, sachant que nous sommes un club amateur, ils ne peuvent etre de plus d'un an, les contrats "de 2 ans", sont en fait des contrats 1 + 1, et ce seulement en cas de montée. A la fin de la saison, si le sco reste en national, les joueurs seront libre de partir sans indemnité de transfert. Si le sco monte, les joueurs sont engagés pour une année supplementaire, et la le club pourra transferer des joueurs moyennant une indemnité.
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