Fandino a écrit :sheridan a écrit :FloViveAngers a écrit :
Je crois que c'est surtout son salaire dont le club veux se séparer.
comme je le disais dans la section mercato, ça doit emmerder le président toutes ces hausses de smic....13 joueurs de rotation partis et il y a encore besoin de ça, c'est grave quand même.
On a une balance de plus de 20 millions sur ce mercato.....bien supérieure a nos concurrents a la relégation (qui ont COMME NOUS subit crise covid/mediapro ,mais malgre tout passent allègrement le test DNCG) .....
Et SC veut encore vendre?????
Dans quel but.....? A part se remplir les poches,je vois pas.....
Va jeter un coup d'œil sur les comptes des clubs publiés par la DNCG et tu auras je pense un début de réponse
https://www.lfp.fr/dncg/rapportsSur la saison 2020-2021 :
Angers SCO :
résultats des opérations hors mutations = -31,6 millions € (perte)
résultat des opérations de mutations (transferts) = 12,4 millions € (plus-value)
résultat avant impôt = -19,7 millions € (perte)
Et si l'on compare avec Brest par exemple :
résultats des opérations hors mutations = -13,7 millions € (perte)
résultat des opérations de mutations (transferts) = 8,0 millions € (plus-value)
résultat avant impôt = -4,8 millions € (perte)
Il y a une grande différence dans la santé économique entre le SCO et un club comme Brest. Les produits sont à peu près au même niveau pour les deux clubs (28,0 M pour le SCO, 27,4 M pour Brest), c'est au niveau des charges de masse salariale que cela se joue : 40,2 M pour le SCO contre seulement 25,4 M à Brest, c'est un écart colossal entre les deux clubs.
SC est seul actionnaire, c'est à lui d'éponger la perte de 20 millions € en réinjectant des fonds propres. Ca peut l'amuser une saison, pas deux. Idem pour la DNCG qui n'aurait aucun scrupule à nous envoyer en L2 ou plus bas.
Donc, en attendant l'arrivée de nouveaux actionnaires, SC n'a pas d'autres choix que, d'une part, réduire fortement la masse salariale (faire partir les joueurs les plus anciens avec de gros salaires) et, d'autre part, réaliser de grosses plus-values sur les transferts, idéalement à hauteur de +20 millions €. Tout cela à très court terme.