oui mais c'est pas leur 2 meilleur joueur qui y vont alors que kandia traoré aurait été sa aurait été bienNisco a écrit :Oui, 2 joueurs : http://www.rcstrasbourg.fr/actu1_det.php?art=5312&rub=1allezsco a écrit :Et Strasbourg auront-ils des joueurs en sélection???
Par contre, ils n'auront que 3 jours pour recuperer apres leur match de Lundi contre Nimes.
FFF et LFP, bonnet blanc et blanc bonnet
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On aurait pu replacer la prochaine journée un mardi/mercredi comme le fait le National de temps en temps.Roni a écrit :Le problème si on met une trève pour la L2, c'est que après on s'en sortira plus et en hiver, y'aura accumulation de matches.
Si on supprimait la CDL, on pourrait ptet faire une trève mais bon...
Les critiques d'accord
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+1scoinho a écrit :On aurait pu replacer la prochaine journée un mardi/mercredi comme le fait le National de temps en temps.Roni a écrit :Le problème si on met une trève pour la L2, c'est que après on s'en sortira plus et en hiver, y'aura accumulation de matches.
Si on supprimait la CDL, on pourrait ptet faire une trève mais bon...
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Un mec qui joue le samedi ou le dimanche en Afrique n'est pas apte à jouer un mardi ou un mercredi en France, ça changerait pas grand chose, les africains concernés ne seraient pas sur la feuille de match ou en bout de banc.scoinho a écrit :On aurait pu replacer la prochaine journée un mardi/mercredi comme le fait le National de temps en temps.Roni a écrit :Le problème si on met une trève pour la L2, c'est que après on s'en sortira plus et en hiver, y'aura accumulation de matches.
Si on supprimait la CDL, on pourrait ptet faire une trève mais bon...
M'enfin ce n'est que mon avis
Faut aussi que les équipes apprennent à composer avec les sélections nationales. Y'a qques années Lens se ramassait en janvier car tous leurs afriaincs étaient à la CAN, c'est de leur faute aussi. Si le SCO recrute des internationaux, faut être prêt à pallier leur absence quand ils retournent jouer pour leur pays
En plus, t'as des pays européens qui jouent mercredi. Le club de L2 qui a pas d'international africain mais un international européen peut gueuler sur le fait qu'on va reporter quand la Zone Afrique joue et pas quand seule la Zone Europe joue. M'enfin bref, un beau foutoir quoi!
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Thiriez persiste et signe
Frédéric Thiriez a écrit, lundi, aux présidents des clubs professionnels pour convoquer une assemblée générale extraordinaire de la LFP le 14 novembre. C'est un pas de plus vers le raidissement entre l'UNFP, le syndicat des joueurs, et leurs présidents, qui pourraient modifier la composition du conseil d'administration de la Ligue à cette occasion. C'est cette réforme qui provoque la menace de grève pour le dernier week-end d'octobre, même si Frédéric Thiriez assure ne pas être certain de ce qui se passera à cette occasion.
«Je me dois, en application des articles 16 de nos statuts, de convoquer dans les meilleurs délais (une) assemblée générale extraordinaire, a indiqué M. Thiriez à l'AFP. (...) Elle aura lieu le 14 novembre à 10h00». Le 13 septembre, 34 présidents de clubs professionnels, soit plus d'un quart des membres, quorum exigé par les statuts (art. 16), lui avaient demandé une AG extraordinaire en vue de la modification des statuts de la LFP. Ils veulent quatorze sièges au conseil d'administation, contre douze aujourd'hui. Cela donnerait aux présidents la majorité absolue.
B. Laporte n'était pas si pressé...
En maintenant ce calendrier, Frédéric Thiriez s'oppose aux recommandations données lundi dernier par le secrétaire d'Etat aux Sports, B. Laporte, selon lequel il était urgent d'attendre. «J'ai préféré avoir d'abord l'avis du ministre, je l'ai eu le 6 octobre, maintenant je ne peux pas faire d'obstruction. Les clubs seraient en droit de me reprocher de violer les statuts si je ne convoquais pas cette AG extraordinaire, expose Frédéric Thiriez, récemment réélu président de la LFP sur la base de cette promesse de réforme. Les joueurs savent très bien que je suis obligé, tout le monde le sait très bien. Mais convoquer une assemblée ne préjuge en rien ce qui va s'y passer !»
Par cette petite phrase, le premier dirigeant de la Ligue espère dissuader les joueurs d'effectuer leur grève, qui menace notamment le ''clasico'' de la L1 Marseille - Paris-SG. «Je pense sincèrement si on n'est pas capables nous, à la Ligue, y compris moi, de régler entre nous un conflit de cette nature, qui somme toute est tout de même un enjeu assez secondaire par rapport aux sujets qui agitent le foot français et au contexte économique, à mon avis, c'est un manque de maturité complet et je pense que ça remet en cause l'autonomie même de la Ligue professionnelle car nous aurions fait la preuve de notre incapacité à gouverner. Donc attention !»
Frédéric Thiriez a écrit, lundi, aux présidents des clubs professionnels pour convoquer une assemblée générale extraordinaire de la LFP le 14 novembre. C'est un pas de plus vers le raidissement entre l'UNFP, le syndicat des joueurs, et leurs présidents, qui pourraient modifier la composition du conseil d'administration de la Ligue à cette occasion. C'est cette réforme qui provoque la menace de grève pour le dernier week-end d'octobre, même si Frédéric Thiriez assure ne pas être certain de ce qui se passera à cette occasion.
«Je me dois, en application des articles 16 de nos statuts, de convoquer dans les meilleurs délais (une) assemblée générale extraordinaire, a indiqué M. Thiriez à l'AFP. (...) Elle aura lieu le 14 novembre à 10h00». Le 13 septembre, 34 présidents de clubs professionnels, soit plus d'un quart des membres, quorum exigé par les statuts (art. 16), lui avaient demandé une AG extraordinaire en vue de la modification des statuts de la LFP. Ils veulent quatorze sièges au conseil d'administation, contre douze aujourd'hui. Cela donnerait aux présidents la majorité absolue.
B. Laporte n'était pas si pressé...
En maintenant ce calendrier, Frédéric Thiriez s'oppose aux recommandations données lundi dernier par le secrétaire d'Etat aux Sports, B. Laporte, selon lequel il était urgent d'attendre. «J'ai préféré avoir d'abord l'avis du ministre, je l'ai eu le 6 octobre, maintenant je ne peux pas faire d'obstruction. Les clubs seraient en droit de me reprocher de violer les statuts si je ne convoquais pas cette AG extraordinaire, expose Frédéric Thiriez, récemment réélu président de la LFP sur la base de cette promesse de réforme. Les joueurs savent très bien que je suis obligé, tout le monde le sait très bien. Mais convoquer une assemblée ne préjuge en rien ce qui va s'y passer !»
Par cette petite phrase, le premier dirigeant de la Ligue espère dissuader les joueurs d'effectuer leur grève, qui menace notamment le ''clasico'' de la L1 Marseille - Paris-SG. «Je pense sincèrement si on n'est pas capables nous, à la Ligue, y compris moi, de régler entre nous un conflit de cette nature, qui somme toute est tout de même un enjeu assez secondaire par rapport aux sujets qui agitent le foot français et au contexte économique, à mon avis, c'est un manque de maturité complet et je pense que ça remet en cause l'autonomie même de la Ligue professionnelle car nous aurions fait la preuve de notre incapacité à gouverner. Donc attention !»
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Om/PSG annulé pour cause de grève?
Des footballeurs qui font grève en France, ce serait une première depuis 1972. Les 24, 25 et 26 octobre, les stades pourraient être vides pour le compte de la 10e journée de Ligue 1. Les joueurs, représentés par leur syndicat, l'UNFP, envisagent de plus en plus sérieusement de faire grève contre la modification des statuts du conseil d'administration de la Ligue. Cette réforme permettrait aux présidents d'obtenir les pleins pouvoirs, en s'arrogeant la majorité des 25 voix. Les dirigeants de clubs sont pour l'instant 12, mais souhaitent gagner deux sièges de plus au détriment de trois des cinq indépendants.
A l'issue du comité directeur de l'UNFP qui s'est tenu lundi au siège de l'organisation syndicale, ton a été donné. "Vous voulez savoir si l'on va vers la grève. La réponse est oui", a lancé le co-président Philippe Piat, expliquant que les familles (entraîneurs, arbitres, joueurs) avaient prévu de se réunir mardi au siège de l'UNFP afin de faire le point. Au même moment, le président de la Ligue de football professionnel, Frédéric Thiriez, annonçait avoir écrit aux présidents de clubs pour convoquer une assemblée générale extraordinaire le 14 novembre, enclenchant ainsi la procédure.
100% de grévistes ?
Pas de signe d'apaisement en vue donc, même si le président de l'UCPF (syndicat des présidents de club), Jean-Pierre Louvel, continue à appeler au dialogue. "Ce qui sortira de cette assemblée extraordinaire n'est pas encore décidé, on va débattre, le dialogue est encore possible", a-t-il expliqué. Mais aucune réunion n'est pour l'instant prévue entre les deux parties.
Le président de Nice Maurice Cohen a ajouté un peu d'huile sur le feu ce week-end en brandissant la menace de faire jouer son équipe réserve en cas de grève : une idée qui pourrait recevoir un certain écho. "Pour l'instant, on ne donne pas de consignes particulières. Nous avons jusqu'au 20, 21 octobre pour aboutir à quelque chose. A ce moment-là, oui, bien-sûr, une consigne sera mise au point entre nous", a indiqué Jean-Pierre Louvel. Mais Philippe Piat assure que cette possibilité est contraire à la charte professionnelle. L'UNFP vise 100% de grévistes lors du mouvement, elle qui compte 83% de joueurs syndiqués.
Des footballeurs qui font grève en France, ce serait une première depuis 1972. Les 24, 25 et 26 octobre, les stades pourraient être vides pour le compte de la 10e journée de Ligue 1. Les joueurs, représentés par leur syndicat, l'UNFP, envisagent de plus en plus sérieusement de faire grève contre la modification des statuts du conseil d'administration de la Ligue. Cette réforme permettrait aux présidents d'obtenir les pleins pouvoirs, en s'arrogeant la majorité des 25 voix. Les dirigeants de clubs sont pour l'instant 12, mais souhaitent gagner deux sièges de plus au détriment de trois des cinq indépendants.
A l'issue du comité directeur de l'UNFP qui s'est tenu lundi au siège de l'organisation syndicale, ton a été donné. "Vous voulez savoir si l'on va vers la grève. La réponse est oui", a lancé le co-président Philippe Piat, expliquant que les familles (entraîneurs, arbitres, joueurs) avaient prévu de se réunir mardi au siège de l'UNFP afin de faire le point. Au même moment, le président de la Ligue de football professionnel, Frédéric Thiriez, annonçait avoir écrit aux présidents de clubs pour convoquer une assemblée générale extraordinaire le 14 novembre, enclenchant ainsi la procédure.
100% de grévistes ?
Pas de signe d'apaisement en vue donc, même si le président de l'UCPF (syndicat des présidents de club), Jean-Pierre Louvel, continue à appeler au dialogue. "Ce qui sortira de cette assemblée extraordinaire n'est pas encore décidé, on va débattre, le dialogue est encore possible", a-t-il expliqué. Mais aucune réunion n'est pour l'instant prévue entre les deux parties.
Le président de Nice Maurice Cohen a ajouté un peu d'huile sur le feu ce week-end en brandissant la menace de faire jouer son équipe réserve en cas de grève : une idée qui pourrait recevoir un certain écho. "Pour l'instant, on ne donne pas de consignes particulières. Nous avons jusqu'au 20, 21 octobre pour aboutir à quelque chose. A ce moment-là, oui, bien-sûr, une consigne sera mise au point entre nous", a indiqué Jean-Pierre Louvel. Mais Philippe Piat assure que cette possibilité est contraire à la charte professionnelle. L'UNFP vise 100% de grévistes lors du mouvement, elle qui compte 83% de joueurs syndiqués.
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Tranquilou
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Foot - L1 - Accord trouvé, menace de grève levée
La réunion qui avait lieu jeudi soir entre les familles du football professionnel (joueurs, entraîneurs, arbitres...) et les présidents de clubs a permis aux différentes parties de trouver un accord. La menace de grève, qui portait sur le week-end du 24 au 27 octobre, est donc «écartée» selon Philippe Piat. le coprésident du syndicat des joueurs. «Nous allons arrêter le mot d'ordre de grève, a-t-il déclaré au terme des débats, à sa sortie d'un hôtel parisien près du Trocadéro. Nous avons trouvé un accord qui permet aux joueurs d'être moins craintifs sur l'avenir, c'était surtout ça qui était en jeu, et dans le même temps, on a trouvé une troisième voie avec les présidents, qui souhaitaient avoir les mains libres sur certains dossiers économiques».
Pas de changement au Conseil d'administration
«Enfin le dialogue a eu lieu, s'est ensuite réjouit Piat, enfin on a pu s'expliquer, entendre les craintes des uns et des autres, entendre aussi les nécessités d'évolution proposées par les présidents». Les principales inquiétudes des acteurs du football professionnel résidaient autour du fait que les président souhaitaient la majorité absolue au Conseil d'administration de la LFP. Or ce ne sera pas le cas puisque le composition de cette instance ne changera pas. «Si nous souhaitions passer à 14, c'était pour être décideurs sur le plan économique», a rappelé Jean-Pierre Louvel, président de l'UCPF. Et là encore, les dirigeants ont retrouvé le sourire puisqu'ils auront désormais «les mains libres» dans ce domaine, selon Philippe Piat. Le président du Havre s'est d'ailleurs félicité de cette nouvelle, ravi que les présidents deviennent «seuls décideurs sur tous les aspects économiques traités au conseil d'administration, (leur) principale revendication». Celui-ci s'est aussi montré impatient à l'idée d'«ouvrir un chantier sur la gouvernance du football». «On va travailler tous ensemble», a-t-il conclu.
Le président de la LFP s'est pour sa part empressé de réagir à l'information de la soirée : «Je me réjouis de l'issue des discussions qui ont eu lieu aujourd'hui entre les présidents de clubs, a-t-il indiqué dans un communiqué. Une réaction qui exprime en quelque sorte le sentiment général qui prédomine au terme de ce "combat" de longue haleine.
La réunion qui avait lieu jeudi soir entre les familles du football professionnel (joueurs, entraîneurs, arbitres...) et les présidents de clubs a permis aux différentes parties de trouver un accord. La menace de grève, qui portait sur le week-end du 24 au 27 octobre, est donc «écartée» selon Philippe Piat. le coprésident du syndicat des joueurs. «Nous allons arrêter le mot d'ordre de grève, a-t-il déclaré au terme des débats, à sa sortie d'un hôtel parisien près du Trocadéro. Nous avons trouvé un accord qui permet aux joueurs d'être moins craintifs sur l'avenir, c'était surtout ça qui était en jeu, et dans le même temps, on a trouvé une troisième voie avec les présidents, qui souhaitaient avoir les mains libres sur certains dossiers économiques».
Pas de changement au Conseil d'administration
«Enfin le dialogue a eu lieu, s'est ensuite réjouit Piat, enfin on a pu s'expliquer, entendre les craintes des uns et des autres, entendre aussi les nécessités d'évolution proposées par les présidents». Les principales inquiétudes des acteurs du football professionnel résidaient autour du fait que les président souhaitaient la majorité absolue au Conseil d'administration de la LFP. Or ce ne sera pas le cas puisque le composition de cette instance ne changera pas. «Si nous souhaitions passer à 14, c'était pour être décideurs sur le plan économique», a rappelé Jean-Pierre Louvel, président de l'UCPF. Et là encore, les dirigeants ont retrouvé le sourire puisqu'ils auront désormais «les mains libres» dans ce domaine, selon Philippe Piat. Le président du Havre s'est d'ailleurs félicité de cette nouvelle, ravi que les présidents deviennent «seuls décideurs sur tous les aspects économiques traités au conseil d'administration, (leur) principale revendication». Celui-ci s'est aussi montré impatient à l'idée d'«ouvrir un chantier sur la gouvernance du football». «On va travailler tous ensemble», a-t-il conclu.
Le président de la LFP s'est pour sa part empressé de réagir à l'information de la soirée : «Je me réjouis de l'issue des discussions qui ont eu lieu aujourd'hui entre les présidents de clubs, a-t-il indiqué dans un communiqué. Une réaction qui exprime en quelque sorte le sentiment général qui prédomine au terme de ce "combat" de longue haleine.
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Pourquoi, puisque un accord a été trouvé sur la principale inquiétude? J'avoue ne pas trop comprendre ta réaction...hobbysco a écrit :Dommage
...Les principales inquiétudes des acteurs du football professionnel résidaient autour du fait que les président souhaitaient la majorité absolue au Conseil d'administration de la LFP. Or ce ne sera pas le cas puisque le composition de cette instance ne changera pas
tranquilou a écrit :Pourquoi, puisque un accord a été trouvé sur la principale inquiétude? J'avoue ne pas trop comprendre ta réaction...hobbysco a écrit :Dommage...Les principales inquiétudes des acteurs du football professionnel résidaient autour du fait que les président souhaitaient la majorité absolue au Conseil d'administration de la LFP. Or ce ne sera pas le cas puisque le composition de cette instance ne changera pas
hobbysco a écrit :La grève le 24 octobre ? Je vote POUR.
Je serai absent d'Angers ce week-end là :hihi:
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Le plus imprtant étant bien entendu le HIHI à la fin. Ne vous fachez pas c'est du second degréVICASCO a écrit :tranquilou a écrit :Pourquoi, puisque un accord a été trouvé sur la principale inquiétude? J'avoue ne pas trop comprendre ta réaction...hobbysco a écrit :Dommage...Les principales inquiétudes des acteurs du football professionnel résidaient autour du fait que les président souhaitaient la majorité absolue au Conseil d'administration de la LFP. Or ce ne sera pas le cas puisque le composition de cette instance ne changera pas
hobbysco a écrit :La grève le 24 octobre ? Je vote POUR.
Je serai absent d'Angers ce week-end là :hihi:
Si Dieu existe, j'espère qu'il a une bonne excuse
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P'tit con!!!VICASCO a écrit :hobbysco a écrit : Le plus imprtant étant bien entendu le HIHI à la fin. Ne vous fachez pas c'est du second degré
T'inquiètes perso j'avais compris
Ainsi j'suis allé à la pêche d'un de tes messages , pour qu'il puisse comprendre ...
(comme disait J Lefebvre, n'est ce pas Nico and Bessonno
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La LFP ,FFF and co
j ai pas l habitude d ouvrir un sujet,mais ce tres bon article de france football m a tout de suite interpellé!
voici le foot moderne vu par ces pseudos dirigeants du foot francais!
un article tiré de football.fr
"Il y a des jours où, en tant que résident du sol français, on rêverait d'un autre monde, d'un autre football, ... Ou plutôt d'instances dirigeantes de la discipline dirigées par d'autres visages que ceux bien (trop) connus de Frédéric Thiriez (LFP) et Jean-Pierre Escalettes (FFF). Ces deux monarques du ballon rond ont encore une fois, ces dernières semaines, brillé par leur inaptitude à répondre comme il se doit aux réelles demandes du public et fans français.
Depuis quelques mois, dans le paysage du football français, la majorité des critiques acerbes sont envoyées à destination du sélectionneur national, Raymond Domenech, désormais sans doute l'un des hommes plus détestés du pays par les fans de l'équipe de France. Mais, que l'on aime ou non le compagnon de cette chère Estelle, force est de constater que, s'il occupe de nobles fonctions aujourd'hui, c'est bien parce que les bons bureaucrates du ballon rond ont souhaité lui confier ce rôle en 2004. Plus fort encore, après un Euro 2008 dont on aimerait avoir oublié l'issue pour les Bleus, ils l'ont conforté dans son rôle, y ajoutant un petit peu de poudre de Perlimpin, l'obligeant à améliorer sa communication (tu parles...) et en faisant signer aux membres de l'éminente équipe de France une charte de bonne conduite.
Les fumigènes plutôt que Brice
On frise le ridicule... Aurait-on imaginé le Conseil Fédéral prendre de telles mesures si des hommes du charisme de Lilian Thuram ou Zinédine Zidane avaient toujours été en Bleu ? Difficile à croire, mais là n'est pas le débat...
Ces derniers jours, Frédéric Thiriez et Jean-Pierre Escalettes ont prouvé, s'il en était besoin, qu'en plus d'être foncièrement incompétents, ils étaient dénués de toute humanité. Le 29 septembre, jour tristement connu pour coïncider avec le décès de Brice Taton, on attendait un peu plus de nos têtes d'affiche. Le destin tragique de ce membre pacifique des Indians de Toulouse a suscité un vif émoi à travers toute la France, et encore plus dans la communauté des "ultras".
Et figurez-vous que Frédéric Thiriez s'est fendu d'un simple petit communiqué, même pas adressé à la famille de Brice, mais au président du Téfécé, à qui il demande de faire office d'intermédiaire pour présenter ses condoléances aux proches du défunt. Etait-ce trop demander que de se montrer un peu plus "politiquement correct" et faire au moins semblant de s'intéresser à la peine de ceux qui connaissaient intimement Brice et sont maintenant seuls avec le chagrin ?
Un hommage refusé au PSG
Et que dire de la décision de refuser aux ultras parisiens une minute de silence en hommage à Brice, qui aurait été respectée au Parc des Princes lors de PSG-Nancy ? Cette manifestation de soutien aurait sans doute été beaucoup trop risquée et difficile à encadrer pour les autorités... Ou alors, certains pensent-ils sans doute que Toulouse est bien trop éloigné de la capitale et que la compassion s'efface avec la distance kilométrique.
Par contre, lorsqu'il s'agit de publier de grands communiqués de presse pour faire savoir à quel point la Ligue est outrée de voir des supporters balancer des fumigènes sur la pelouse, ce qui est certes répréhensible mais incomparable avec toute forme de violence physique, il y a du répondant. Mais cela vaut bien la mobilisation générale non ?
Toutefois, reconnaissons que l'homme et ses méthodes dignes de sa moustache, venues d'un autre temps, ont au moins eu le mérite de communiquer à propos de Brice Taton. Du haut de ses 74 ans, Jean-Pierre Escalettes, le boss de la FFF, n'a même pas pris la peine de s'exprimer sur ce triste événement. Sans doute était-il trop occupé à préparer le Conseil Fédéral du 2 octobre, où il s'est fait un malin plaisir de parler des comptes positifs de la Fédé, à hauteur de 1,054 millions d'euros.
Thiriez, Escalettes, trop paresseux pour marcher ?
Chacun choisit ses priorités. Il a fallu du temps à la LFP et la FFF pour créer les CNE, Commission de visionnage, Commission de discipline, Commission supérieure d'appel et toute autre sorte de comités bien nommés qui ne parviennent à avoir aucune légitimé ni pouvoir, et ne font même plus figure d'épouvantail, désavoués qu'ils sont régulièrement par le CNOSF ou le TAS. Les uns empiètent sur le territoires des autres, se renvoient respectivement la balle pour finalement donner une parfaite image de la façon dont est aujourd'hui dirigé le football français: un immense cirque.
Les fans de football ont tous été touchés par la fin de Brice, fauché en pleine vie par quelques "terroristes" des stades, mais cela se voit nettement moins que les feux de bengale en tribunes... Et samedi, à 14 heures, lors de la marche silencieuse organisée par les Indians du côté de Toulouse, Thiriez et Escalettes étaient encore aux abonnés absents. Il faut vraiment que ça s'arrête...
Par Alban LAGOUTTE
De Football.fr
voici le foot moderne vu par ces pseudos dirigeants du foot francais!
un article tiré de football.fr
"Il y a des jours où, en tant que résident du sol français, on rêverait d'un autre monde, d'un autre football, ... Ou plutôt d'instances dirigeantes de la discipline dirigées par d'autres visages que ceux bien (trop) connus de Frédéric Thiriez (LFP) et Jean-Pierre Escalettes (FFF). Ces deux monarques du ballon rond ont encore une fois, ces dernières semaines, brillé par leur inaptitude à répondre comme il se doit aux réelles demandes du public et fans français.
Depuis quelques mois, dans le paysage du football français, la majorité des critiques acerbes sont envoyées à destination du sélectionneur national, Raymond Domenech, désormais sans doute l'un des hommes plus détestés du pays par les fans de l'équipe de France. Mais, que l'on aime ou non le compagnon de cette chère Estelle, force est de constater que, s'il occupe de nobles fonctions aujourd'hui, c'est bien parce que les bons bureaucrates du ballon rond ont souhaité lui confier ce rôle en 2004. Plus fort encore, après un Euro 2008 dont on aimerait avoir oublié l'issue pour les Bleus, ils l'ont conforté dans son rôle, y ajoutant un petit peu de poudre de Perlimpin, l'obligeant à améliorer sa communication (tu parles...) et en faisant signer aux membres de l'éminente équipe de France une charte de bonne conduite.
Les fumigènes plutôt que Brice
On frise le ridicule... Aurait-on imaginé le Conseil Fédéral prendre de telles mesures si des hommes du charisme de Lilian Thuram ou Zinédine Zidane avaient toujours été en Bleu ? Difficile à croire, mais là n'est pas le débat...
Ces derniers jours, Frédéric Thiriez et Jean-Pierre Escalettes ont prouvé, s'il en était besoin, qu'en plus d'être foncièrement incompétents, ils étaient dénués de toute humanité. Le 29 septembre, jour tristement connu pour coïncider avec le décès de Brice Taton, on attendait un peu plus de nos têtes d'affiche. Le destin tragique de ce membre pacifique des Indians de Toulouse a suscité un vif émoi à travers toute la France, et encore plus dans la communauté des "ultras".
Et figurez-vous que Frédéric Thiriez s'est fendu d'un simple petit communiqué, même pas adressé à la famille de Brice, mais au président du Téfécé, à qui il demande de faire office d'intermédiaire pour présenter ses condoléances aux proches du défunt. Etait-ce trop demander que de se montrer un peu plus "politiquement correct" et faire au moins semblant de s'intéresser à la peine de ceux qui connaissaient intimement Brice et sont maintenant seuls avec le chagrin ?
Un hommage refusé au PSG
Et que dire de la décision de refuser aux ultras parisiens une minute de silence en hommage à Brice, qui aurait été respectée au Parc des Princes lors de PSG-Nancy ? Cette manifestation de soutien aurait sans doute été beaucoup trop risquée et difficile à encadrer pour les autorités... Ou alors, certains pensent-ils sans doute que Toulouse est bien trop éloigné de la capitale et que la compassion s'efface avec la distance kilométrique.
Par contre, lorsqu'il s'agit de publier de grands communiqués de presse pour faire savoir à quel point la Ligue est outrée de voir des supporters balancer des fumigènes sur la pelouse, ce qui est certes répréhensible mais incomparable avec toute forme de violence physique, il y a du répondant. Mais cela vaut bien la mobilisation générale non ?
Toutefois, reconnaissons que l'homme et ses méthodes dignes de sa moustache, venues d'un autre temps, ont au moins eu le mérite de communiquer à propos de Brice Taton. Du haut de ses 74 ans, Jean-Pierre Escalettes, le boss de la FFF, n'a même pas pris la peine de s'exprimer sur ce triste événement. Sans doute était-il trop occupé à préparer le Conseil Fédéral du 2 octobre, où il s'est fait un malin plaisir de parler des comptes positifs de la Fédé, à hauteur de 1,054 millions d'euros.
Thiriez, Escalettes, trop paresseux pour marcher ?
Chacun choisit ses priorités. Il a fallu du temps à la LFP et la FFF pour créer les CNE, Commission de visionnage, Commission de discipline, Commission supérieure d'appel et toute autre sorte de comités bien nommés qui ne parviennent à avoir aucune légitimé ni pouvoir, et ne font même plus figure d'épouvantail, désavoués qu'ils sont régulièrement par le CNOSF ou le TAS. Les uns empiètent sur le territoires des autres, se renvoient respectivement la balle pour finalement donner une parfaite image de la façon dont est aujourd'hui dirigé le football français: un immense cirque.
Les fans de football ont tous été touchés par la fin de Brice, fauché en pleine vie par quelques "terroristes" des stades, mais cela se voit nettement moins que les feux de bengale en tribunes... Et samedi, à 14 heures, lors de la marche silencieuse organisée par les Indians du côté de Toulouse, Thiriez et Escalettes étaient encore aux abonnés absents. Il faut vraiment que ça s'arrête...
Par Alban LAGOUTTE
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liberté pour les ultras!
unis contre la repression!
brigade!brigade!brigade ouest!!
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Re: La LFP ,FFF and co
Football.fr est un site qui n'a rien à voir avec France Football.adrien007 a écrit :Probablement l'un des meilleurs articles sur le milieu footballistique que je n'ai jamais lu, surprenant de la part de France Football et ses habituelles petites erreurs dans les pages Ligue 2.
Ce qui est triste c'est qu'il ait fallu attendre la tragédie de la mort de Brice Taton pour dénoncer que le football français est géré par des incapables ! Si seulement cela pouvait faire avancer les choses
Dénoncer l'incapacité chronique de la Ligue et de la Fédération Française des Séniles, on le fait depuis longtemps. Mais bon, ce n'est pas près de changer.
Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est (...) le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. (art. 35 Constitution 1793)
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Re: La LFP ,FFF and co
Toute manière sa finira en guerre, plus rien de surprenant à l'heure actuelle..
Aucun respect pour les ultras, personne, après faut pas s'etonner quand il y'a faille et apart son moyen de justice pour faire pression il ne savent rien faire d'autres cet pauvre mer.. de ligue.
LIBERTE POUR LES ULTRAS!
Aucun respect pour les ultras, personne, après faut pas s'etonner quand il y'a faille et apart son moyen de justice pour faire pression il ne savent rien faire d'autres cet pauvre mer.. de ligue.
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FAITES NOUS REVER
LIBERTE POUR LES ULTRAS. ACAB!
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Re: La LFP ,FFF and co
malgré tous les déboires actuels, et sa part de responsabilité, Escallettes restera en poste 
.
.Escalettes reste président
Jean-Pierre Escalettes a nié en conférence de presse toute intention de démissionner de ses fonctions de président de la Fédération française de football (FFF). "Je n'ai jamais dit ça, à personne", a-t-il martelé.
Re: La LFP ,FFF and co
Je crois qu'il va y être forcétof49 a écrit :malgré tous les déboires actuels, et sa part de responsabilité, Escallettes restera en poste
Escalettes reste président
Jean-Pierre Escalettes a nié en conférence de presse toute intention de démissionner de ses fonctions de président de la Fédération française de football (FFF). "Je n'ai jamais dit ça, à personne", a-t-il martelé.
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CCSCO
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Re: La LFP ,FFF and co
Et pas par ceux qu'on pense.Sco4ever a écrit :Je crois qu'il va y être forcétof49 a écrit :malgré tous les déboires actuels, et sa part de responsabilité, Escallettes restera en poste
Escalettes reste président
Jean-Pierre Escalettes a nié en conférence de presse toute intention de démissionner de ses fonctions de président de la Fédération française de football (FFF). "Je n'ai jamais dit ça, à personne", a-t-il martelé.
Je pense qu'à 74 ans, il ferait mieux de surveiller son cœur et de partir.
Tous dehors !
Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est (...) le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. (art. 35 Constitution 1793)
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carolangers
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Re: La LFP ,FFF and co
qui voyez-vous à la tête de la Fédé si Escalope quitte ou se fait montrer la porte?
c'est par le terrain , que justice sera faite............
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CCSCO
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Re: La LFP ,FFF and co
Un France 82 ou 98.carolangers a écrit :qui voyez-vous à la tête de la Fédé si Escalope quitte ou se fait montrer la porte?
Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est (...) le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. (art. 35 Constitution 1793)
Re: La LFP ,FFF and co
carolangers a écrit :qui voyez-vous à la tête de la Fédé si Escalope quitte ou se fait montrer la porte?
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Re:
Le temps passe , mais les problèmes sont toujours les mêmesscoboy a écrit :Foot - L2 - Nancy : Rousselot s'oppose à Thiriez Jacques Rousselot, le président de Nancy, s'est opposé à la volonté de Frédéric Thiriez, qui veut voir les clubs de L1 et L2 équiper leurs terrains dès la saison prochaine contre les intempéries sous peine de sanctions. «Je ferai en fonction de nos moyens, a indiqué M. Rousselot à l'issue de la victoire de Nancy sur Angers (3-1). Pour l'instant, chauffer le terrain il n'en est pas question, et mettre une bâche non plus. Si on me la paye oui, mais on est dans une région où il y a un climat difficile et il faudra tenir compte de ça au niveau des calendriers. Il faudra peut-être revoir les choses, jouer une saison différemment et faire une grande trêve en hiver. Je suis pour cette solution.» Santions financières «Il n'y a pas de raisons qu'on subisse des sanctions financières, a repris le président nancéien. Je ne sais pas de quel chapeau ça sort. Encore un magicien qui a sorti une connerie de dernière heure (sic).» Vendredi, Frédéric Thiriez avait expliqué au sortir du conseil d'administration de la LFP: «Quelques clubs ont bien compris l'intérêt de la protection des pelouses, mais d'autres ne jouent pas le jeu. L'incitation ne suffisant pas, les clubs auront désormais, à compter de la saison prochaine, l'obligation de disposer d'un système de protection contre les intempéries, qu'il s'agisse d'une bâche ou de tout autre système, comme une pelouse chauffée à l'exemple de Sochaux. S'ils ne se soumettent pas, ils s'exposeront à des sanctions, financières, voire sportives s'il y a carence manifeste ou mauvaise volonté». Cette saison, trois matches de L1 (Strasbourg-Monaco, Saint-Etienne-Ajaccio et Bastia-Lyon) et cinq de L2 (Grenoble-Clermont, Nancy-Dijon, Grenoble-Reims, Dijon-Guingamp et Troyes-Nancy) ont été reportés en raison du mauvais état des terrains, gelés ou enneigés. Nancy a été touché deux fois par ces reports. equipe.fr
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solo49
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Re: ATTENTION pelouse chauffée !
quelle c.... de chauffer un stade!!
on est vraiment trop riche en france, qu'on crève!!!! (et nos dirigeants avec)
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il n'y a pas de vent favorable pour celui qui ne sait pas où il va!
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Cisco
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Re: ATTENTION pelouse chauffée !
Et on refera un topic pour reparler des stades climatisés lors de la prochaine CDM de Foot...
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Re: ATTENTION pelouse chauffée !
Et est ce au contribuable de payer l'entretien, la sécurité (policier....) d'un stade de foot pour un spectacle privé ???solo49 a écrit :quelle c.... de chauffer un stade!!
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