[2006/07 Revue de presse] : O.F. - C.O. et autres

Dès sa première saison, Garcia permet au SCO de retrouver la L2 grâce à une bonne assise défensive et aux 26 buts de Do Marcolino.
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Omega
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Messagepar Omega » lun. 19 mars, 2007 12:55 pm

Dernier message de la page précédente :

(c) Sud-Ouest http://www.sudouest.com/190307/vil_bea_ ... 286140.xml
ANGERS-PAU FC.-- Les joueurs de Jean-Luc Girard ont résisté 45 minutes avant de craquer chez le leader

Les Palois ont subi la loi du leader angevin hier en fin d'après-midi en Anjou. Les Béarnais ont gêné le SCO avant la pause avant de craquer sur des buts du duo Tangeaoui-Do Marcolino.
Les Angevins sont les premiers en action. Sur un coup-franc d'Obbadi, un tir de Tangeaoui inquiète Bell (16e). Mais c'est surtout une frappe en pivot de Do Marcolino, après un contrôle orienté aérien, qui frôle le montant (18e).
Le SCO ne parvient pas à déboussoler le dispositif compact des Palois. Mais il reste le plus dangereux comme lorsque Moussi centre pour le feu follet Tangeaoui dont la reprise passe d'un rien à côté (27e). Les Béarnais ont été tout près d'encaisser un but gag quand, sur un dégagement en catastrophe de Vigier, Do Marcolino se retrouve bien involontairement sur la trajectoire et oppose sa tête. Bell battu voit le ballon passer du bon côté de son poteau gauche (35e).
La meilleure opportunité de la première période pour les Angevins vient de la gauche : Planus centre au deuxième poteau pour Pinault qui prolonge de la tête pour Do Marcolino qui, idéalement placé, pose sa reprise au dessus (39e). Sur une action collective, rythmée par Obbadi et Planus, Tangeaoui pique son ballon dans le petit filet (44e).


A sens unique. Un centre de Aernoudt pour Aristouy, seul au point de penalty, est tout près de faire mouche. Malheureusement pour Pau, Padovani sort le grand jeu face à la tête d'Aristouy qui prenait le chemin de la lucarne (47e).
Servi en pleine surface par Djellabi, Do Marcolino, dos au but, tente de se retourner. Sa passe lobée pour lui-même se transforme en cadeau pour Tangeaoui qui ne se fait pas prier pour tromper à bout portant Bell (1-0, 59e).
Les Béarnais n'arrivent plus à se rapprocher et sont de plus en plus mis en difficulté par l'animation offensive du SCO.
A l'exception d'un joli coup-franc de Costa à 20 mètres au ras du montant (75e), le match est à sens unique au rayon des occasions. En revanche, lancé par Pinault dans l'espace, Tangeaoui entre dans la surface et sert Do Marcolino qui, d'un intérieur du pied, fait le break (2-0, 76e). Le K.O. réussi par le SCO plie complètement la partie. Le tir de Zahiri (89e) n'est pas loin de donner une ampleur plus grande au score, même si Tandia adresse une frappe enveloppée en contre (91e).
Le Pau FC confirme ses mauvaises deuxièmes mi-temps où son bilan est lourd : 14 buts inscrits? contre 26 buts encaissés (-12) ! Le premier acte est beaucoup plus solide (20 bp ; 15 bc ; +5).
Alors qu'Angers a repris les commandes du National, somme toute logiquement, les hommes de Jean-Luc Girard restent coincés au treizième rang, à portée de fusil de la zone dangereuse.
C'est parceque la lumiere se deplace plus vite que le son que certains ont l'air brillant avant d'avoir l'air con!
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le MUC

Messagepar nioudelie » mar. 20 mars, 2007 6:51 am

Un extrait d'un article des excellents Cahiers du football sur le MUC 72 dans lequel on parle d'Angers...c'est plus tres récent mais ca reste d'actualité !

http://www.cahiersdufootball.net/article.php?id=2388

"Juventus du Mans
Un autre élément est également susceptible d’expliquer la progression du club sarthois: la recherche d’une inconsciente et hypothétique revanche sociale. Le manceau, fût-il footballeur, baigné dans une ville à forte identité ouvrière, s’est toujours senti snobé par ses bourgeois voisins (angevins, tourangeaux, nantais…). Encore aujourd’hui, lorsqu’il approche des grilles du Parc des Princes, il est moqué au delà de ce qui est réservé aux autres équipes, par définition provinciales. Le manceau a le douloureux privilège d’être soupçonné à la fois d’arriération péquenaude (il est le pécore rêvé) et de grossièreté ouvrière. Bref, là où le "rouge et jaune" est une prestigieuse alliance entre le sang et or en Artois, il est un écœurant exemple de mauvais goût et d’incoordination chromatique dans le Maine."
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Messagepar nioudelie » jeu. 22 mars, 2007 5:16 am

Une mauvaise nouvelle concernant Daury, ancien buteur du SCO avec Lagrange lors de la montee en L1...Il est remplace par un autre ex-angevin, l'excellent defenseur Fred Zago.
www.football365.fr


Châteauroux : Zago remplace Daury
Rédaction Football365 - mercredi 21 mars 2007 - 14h05

Atteint d'un cancer de la parotide, Cédric Daury abandonne son poste d'entraîneur de Châteauroux (L2). Il est remplacé par Frédéric Zago jusqu'à la fin de la saison.

« Subissant de plein fouet la réalité brutale de la maladie (cancer de la parotide), je vais concentrer mes efforts et toute mon énergie pour guérir au plus vite. »

Dans un communiqué, Cédric Daury annonce qu'il quitte ses fonctions d'entraîneur de Châteauroux. L'ancien joueur du club est remplacé jusqu'à la fin de la saison par Frédéric Zago. Dans ce même communiqué, Daury précise qu'il compte bien être guéri au plus vite pour reprendre l'équipe en mains avant le début de la prochaine saison.

A.C
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Messagepar lacouture.49 » jeu. 22 mars, 2007 12:21 pm

Début juin 2023 après 8 saisons en L1,notre SCO redescend en L2. Cela ne signifie pas forcement y mourir, certains clubs parviennent même à se pérenniser durablement dans l'anti chambre du foot français avec un budget équilibré!
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Messagepar jourdesco » ven. 23 mars, 2007 7:10 am

Football : Les Angevins ne veulent pas « banaliser » leur situation
National. Romorantin - Angers Sco. Est-il si évident de tracer sa route seul en tête du championnat ? La réponse de Garcia est intéressante.
Depuis quelques semaines, chaque veille de match, les observateurs ont le pas plus léger lorsqu'ils se rendent à la Baumette, le centre d'entraînement d'Angers Sco. Plus besoin de transporter leurs épais cahiers ni même leurs archives qui sentent le souffre et le vieux carton, dans le coffre de la voiture. Ils n'ont plus grand-chose à dire ni à noter à part que ce club écrase la concurrence et que, peut-être, il marchera bientôt sur l'eau.

Hier, ils ont retrouvé un Jean-Louis Garcia fidèle à lui-même, volontaire et ambitieux : « Ce match contre Romorantin fait partie d'une série entamée à Châtellerault. Il restera Cherbourg ensuite. En début de saison, on avait tablé sur 20 victoires au minimum pour accéder au podium. Il ne nous reste donc qu'à gagner la moitié des dernières journées. Ce soir, c'est une nouvelle occasion de s'approcher du but. »

Comme toujours, l'entraîneur angevin demandera une entame de match « tonique » et « agressive », le contraire de ce qui s'était passé à Châtellerault (1-1). « Si nous ne sommes pas présents dans le combat, nous pouvons être bousculés. Je veux bien que l'on connaisse quelques moments délicats contre Romorantin, mais pas dans l'envie. Nos qualités techniques et tactiques doivent nous faire prendre le dessus. » Il ne craint pas les Solognots, cette équipe décimée par les blessures, ni même son aptitude à jouer pour jouer quand ça la pique. « Un point resterait un bon résultat tant que nous gagnons à la maison. » Il martèle : « Le plus grand danger pour le Sco, c'est le Sco lui-même. Je le dis assez souvent. »

« Ce n'est pas rien ce qu'on fait »

C'est ce qu'il avait dit juste avant de partir à Châtellerault, le 10 mars dernier. Ce jour-là, Jean-Louis Garcia avait aussi ajouté : « À partir de maintenant, nous devons juste tracer notre route. » Un nul et une victoire plus tard (contre Pau dimanche, 2-0), la question est venue sur le tapis : au fait, monsieur Garcia, est-ce si évident que cela de tracer sa route seul en tête du championnat ? Les observateurs ont alors redécouvert une partie de lui qu'il ne dévoile que trop rarement : sa capacité à accompagner le groupe dans ses interrogations, une subtilité trop facilement masquée par son exigence. Il a répondu : « Ce n'est pas si facile, non... Disons que... Tout va très vite dans le football, mais même s'il faut garder la tête froide, nous nous devons d'apprécier ce que nous faisons tous ensemble. Ce n'est pas rien ce qu'on fait. On est les seuls en France avec Lyon et Boulogne à totaliser 16 victoires. Il ne faut pas banaliser cette situation. Il faut en parler entre nous, savourer pour aborder au mieux la suite. On se doit de mettre en place ce type de dialogue car il permet aussi d'évacuer une éventuelle pression inhérente à la situation. »

Il a ensuite remis sa blouse de scientifique pour parler de moyenne de points pris par match et dire qu'il ne s'occupait définitivement plus des résultats de ses adversaires. Le Sco regarde droit devant et l'horizon a un goût de liberté.

Mathieu COUREAU.

Ahmed Tangeaoui et les Angevins auront une nouvelle fois l'occasion de creuser l'écart sur leurs poursuivants directs au classement, ce soir, à Romorantin.

Ouest-France du 23 mas 2007.
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Messagepar SCOubi » sam. 24 mars, 2007 12:20 pm

CO du jour

pour une fois la réussite nous fuit :? j'ai dit "pour une fois" seulement


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Messagepar Tiwy » dim. 25 mars, 2007 7:42 am

Ouest-France du 25.03.2007 (J.F. Charrier) :
Notez bien le dernier paragraphe sur Cherbourg : http://www.angers.maville.com/actu/re/a ... ers-_.html
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Messagepar SCOubi » dim. 25 mars, 2007 10:41 am

CO du dimanche

et oui, on ne peut pas toujours gagner! il a raison F. Moreau.

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Messagepar jourdesco » lun. 26 mars, 2007 7:39 am

Football : Mickaël Stephan, un leader discret
National. Actuel capitaine d'Angers Sco, le milieu de terrain drômois trace sa route sans esbrouffe. Il est pourtant indispensable à l'équilibre de son équipe.
Ne pas compter sur lui pour les coups de gueule. Les déclarations intempestives. Les sorties avec éclat. Ce n'est pas un homme de lumière. Et pourtant lorsqu'on l'interroge, la pertinence de ses propos est évidente. Mais Mickaël Stephan ne se met jamais en avant. Sur le terrain comme en dehors. C'est la discrétion même. « C'est un leader, dit de lui son entraîneur Jean-Louis Garcia, mais pas par la parole. Mentalement, c'est un relais intéressant. Je peux m'appuyer sur lui. Il est monté en puissance depuis le début de saison. Il s'est installé, incarne la régularité même dans la performance et il est devenu incontournable. »

Le Valentinois d'origine n'a pourtant rien d'un monstre physique (1m78, 74 kg). De ceux que l'on rencontre parfois comme milieu défensif. Lui travaille plus en placement, en souplesse, en finesse. « Je suis un numéro 6 à l'ancienne. » sourit-il du haut de ses 32 ans. Un ratisseur de ballons, un empêcheur de tourner en rond. « Oui, mon boulot, c'est ca. Et relancer ensuite vers les milieux excentrés. » Un style simple, dépouillé, efficace. « Techniquement, il a de la maîtrise et il ne cherche pas à se faire pétiller. » ajoute Garcia.

Stéphan, c'est le prototype même du joueur de club. Il se serait bien vu, d'ailleurs, faire toute sa carrière à Valence, où il débuta en D2, en 96. Chez lui, où il fut pro durant 7 ans. Tranquillement. Mais la carrière l'emmena à Sannois-Saint-Gratien deux saisons. Avant Angers. « J'ai eu du mal à partir. A tout quitter. Ce n'était pas évident pour ma femme et moi. C'était la première fois. Venir ici ensuite fut plus simple. Et puis, au Sco, tout marche bien. Franchement, c'est super. »

Enquiquiné en début de saison par divers bobos, entorse d'une cheville, puis entorse d'un genou, il a eu du mal à s'exprimer au maximum. Tracas oubliés. « Je me sens vraiment bien maintenant. » Et cela se constate. Sur le terrain. Travailleur de l'ombre certes mais travailleur avant tout. « C'est un rôle ingrat, c'est vrai, dans un collectif mais cela me convient parfaitement. » Et dans l'équipe angevine où certains jeunes se laissent aller à leur enthousiasme, leur insouciance, leur fougue, il comprense grâce à son intelligence de jeu et son sens tactique. Un stabilisateur, un vrai. Un métronome. « Il a une activité rationnelle. Avec toujours le souci d'équilibrer l'équipe. Il va s'adapter pour le faire. » dit encore de lui, son entraîneur. « En plus, c'est un compétiteur. Il ne supporte pas de perdre, même à l'entraînement. Il a la haine de la défaite. »

Et si Angers navigue actuellement en haut de la vague, il le doit aussi à ce genre de joueur, un peu en retrait, mais à l'activité si précieuse. Mickaël Stephan est aussi un leader de la formation angevine. A sa façon. Donc avec discrétion.


Jean-François CHARRIER.


ger;Billetterie pour Sco - Cherbourg. Pour cette rencontre qui se déroulera vendredi, stade Jean-Bouin (20 h), les billets peuvent être acquis dans les points de ventes suivants : Magasins U, Super U les Justices, Super U Bécon les Granits, Hyper U Murs Erigné. D.A.C.C : Angers - Segré - Saumur. Inter C.E : Cholet. Aux guichets du stade Jean-Bouin : mercredi 28 mars de 18h à 19 h et jeudi 29 mars de 18h à 19h. Prix des places. Présidentielle Centrale, 20 €; Présidentielle latérale, 18 €; Première Jean-Bouin,11 €; Honneur centrale St-Léonard, 15 €; Honneur latérale St-Léonard, 12 €; Basse St-Léonard, 7 €; Populaire Colombier,4 €; Secondes (pour les visiteurs), 4 €.

A 32 ans, Mickaël Stephan est un rouage essentiel dans le collectif angevin. Car il y amène son expérience, son sens du placement et du geste simple et juste.

Ouest-France du 26 mars 2007.
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Messagepar jourdesco » jeu. 29 mars, 2007 6:17 am

Football : Cherbourg sur la pointe des pieds à Angers
National. Demain, Cherbourg terminera à Angers une série de trois matches contre les trois premiers. Pour l'instant, c'est zéro pointé.
Une nouvelle page de la saison 2006-2007 sera tournée pour les Cherbourgeois vendredi, vers 21 h 45, à Angers. Le chapitre des rencontres successives face aux trois premiers du classement sera terminé. À l'issue des deux premières (N.D.L.R. : Clermont - Cherbourg, 2-0 ; Cherbourg - Boulogne, 1-3), le bilan est assez simple à établir : un zéro pointé qui laisse les Nord-Cotentinois à une longueur de la relégation. Comment imaginer alors les protégés d'Hervé Renard capables de décrocher leur 3e victoire à l'extérieur cette saison, voire même d'obtenir un point, contre ceux de Jean-Louis Garcia, titulaires d'une seule défaite sur leur terre (N.D.L.R. : c'était face au Paris FC, le 28 octobre dernier) après 14 matches ? « Il serait dommage de ne rien récolter au terme de ces trois matches, envisage pourtant Hervé Renard, l'entraîneur cherbourgeois. Ce n'est pas vraiment ce que j'avais imaginé. J'avais plutôt misé sur deux ou trois points. Outre les bonnes performances affichées dans le jeu, on n'avance pas au niveau comptable. »

Maigre consolation en effet à laquelle le tacticien manchot est tout de même bien obligé de se raccrocher. Au rang des satisfactions, l'incontournable Youssef Adnane, souvent placé sur orbite par son compère Gregory Firquet à la pointe de l'attaque. « Mais c'est le seul à être vraiment efficace », commente Hervé Renard. Les derniers adversaires des Cherbourgeois, eux, n'ont pas raté la cible. Trois buts encaissés contre Boulogne, 2 contre Clermont, 4 contre Louhans, 3 contre Cannes... « On ne néglige pas l'aspect défensif, assure Hervé Renard. Mais contre les grosses cylindrées... » Que dire alors du Sco qui possède le deuxième meilleur buteur du championnat Do Marcolino (23 buts) ? « Avec Tangeaoui, c'est un garçon d'une grande efficacité, insiste Hervé Renard. Ils font preuve d'une grande générosité. » Cherbourg, pour sa part, devra éviter les cadeaux. « Essayons déjà de ne pas prendre un penalty dans le premier quart d'heure. Il faudra faire preuve de patience. Il nous manque de l'intelligence et de la rigueur dans la façon de gérer un match. »

Vendredi, un chapitre se fermera, un autre s'ouvrira. Il restera alors huit journées aux Manchots pour faire en sorte que ce ne soit pas le dernier en National cette année.


Benoît LASCOUX.


ger;Quelques soucis au Sco. Victime d'une petite élongation, Vincent Carlier, titulaire depuis deux rencontres, sera forfait demain. Garcia fera donc un choix entre Teddy Ongoly et Thierry Cygan pour le remplacer. Jamel Zahiri (entorse du genou) sera forfait lui aussi. Karim Djellabi (douleurs aux tibias) a été ménagé cette semaine mais devrait tenir sa place. Ahou est suspendu.

Ouest-France
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Messagepar lacouture.49 » jeu. 29 mars, 2007 9:00 am

presse de cherbourg:



Ahmed Tangeaoui (à gauche), après un début de saison difficile, enchaîne les buts comme des perles depuis le début de l'année. Associé à Fabrice Do Marcolino sur le front de l'attaque, il mène tout droit le Sco d'Angers à la Ligue 2.
Le Sco d'Angers taille sa route, serein
National. Angers - Cherbourg (demain, 20 h). Les Angevins de Jean-Louis Garcia ne se soucient pas de leurs adversaires. Ils regardent droit devant. La Ligue 2 est au bout du chemin.
La veille du match contre Romorantin, les observateurs ont assisté à un moment rare dans les salons de la Baumette, le centre d'entraînement angevin. Depuis la victoire étincelante contre Nîmes (4-2, le 3 mars) et la place de leader retrouvée, Jean-Louis Garcia répétait qu'il ne restait plus au Sco qu'à tailler sa route, sans se soucier des autres, argumentant que sa troupe ne pouvait que creuser l'écart sur ses poursuivants.

Un résultat nul (Châtellerault) et une victoire plus tard (Pau), la question était venue sur le tapis : au fait, est-ce si évident que cela, monsieur Garcia, de tailler sa route, seul en tête du championnat ? « Ce n'est pas si facile, non... Disons que... Tout va très vite dans le football, mais même s'il faut garder la tête froide, nous nous devons d'apprécier ce que nous faisons tous ensemble. Ce n'est pas rien ce qu'on fait. On est les seuls en France avec Lyon et Boulogne à totaliser 16 victoires (plus Caen, Clermont et Metz désormais). Il ne faut pas banaliser cette situation. Il faut en parler entre nous, savourer pour aborder au mieux la suite. On se doit de mettre en place ce type de dialogue car il permet aussi d'évacuer une éventuelle pression inhérente à la situation. »

Auteurs d'un bon match à Romorantin, les partenaires de Mickaël Stephan n'ont finalement pu obtenir qu'un résultat nul. « C'était vraiment paradoxal, car nous avions produit un jeu efficace sans l'être vraiment dans les zones de vérité. C'est parfois la loi du foot », explique Garcia avant d'ajouter : « À partir du moment où nous gagnons à la maison, cela ne me pose pas de problème. » Une inefficacité étonnante car le Sco dispose cette saison d'une paire d'attaquants redoutable : Do Marcolino (23 unités) - Tangeaoui (9 unités). Le collectif angevin se base aussi sur un milieu de terrain très actif à la récupération avec le duo Stephan-Moussi et doué techniquement avec les éléments latéraux que sont Planus et Obbadi.

Contre les Cherbourgeois, demain, Angers conclura une série de quatre matches contre des moins bien classés, après avoir enchaîné Clermont (1-1), Boulogne (2-2) et Nîmes (4-2). « En début de saison, on avait tablé sur 20 victoires au minimum pour accéder au podium. Demain, ce sera une nouvelle occasion de s'approcher du but. »



ANGERS ( 18 joueurs valides ): Padovani, Martinelli - Pinault, Ongoly, Makuma, Cygan - Djellabi, Moussi, Stephan, Sola, Planus, Obbadi, Vaugeois, Bourgaud - Do Marcolino, Tangeaoui, Biakolo, Madiokoka. Blessés : Carlier, Zahiri. Suspendu : Ahou. Ent. : J.-L. Garcia.

CHERBOURG ( 17 joueurs ): Aubin, Gibert - Lisembart, Forson, N'Diaye, Hérauville, Barré, Bleusez - Tanguy, Binet, Guyonnet, Gambillon, Taïbi - Kabran, Kuku, Adnane, Firquet. Suspendu : Robinet. Blessé : Sanches-Leal. Ent. : H. Renard.

ger;Le Messin Alé M'Boutou Fall de retour à Cherbourg. Le Messin, prêté à Cherbourg jusqu'en fin de saison, a repris l'entraînement avec les Manchots en début de semaine. Blessé à la cuisse en janvier lors d'un test-match contre Avranches, l'attaquant était retourné Metz pour se faire soigner. « Je ne sais pas s'il est complètement remis de ses problèmes musculaires, indique Hervé Renard. Il n'est toujours pas opérationnel. »
Début juin 2023 après 8 saisons en L1,notre SCO redescend en L2. Cela ne signifie pas forcement y mourir, certains clubs parviennent même à se pérenniser durablement dans l'anti chambre du foot français avec un budget équilibré!
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Messagepar Tranquilou » ven. 30 mars, 2007 7:12 am

Le but est clair, terminer mars en beauté

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Source : Ouest France
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Messagepar Tranquilou » sam. 31 mars, 2007 6:53 am

Of du 31 mars

Le sourire pour Angers, la moue pour Cherbourg

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Messagepar SCOubi » sam. 31 mars, 2007 9:58 am

CO du jour.

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un peu tronqué :oops:

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Messagepar hellion49 » sam. 31 mars, 2007 10:43 am

co non tronqué :hihi: :hihi:
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Messagepar manu49 » dim. 01 avr., 2007 8:50 am

Football : Et trois de chute pour Cherbourg !

National. Angers - Cherbourg : 3-0. Les équipes de tête ne réussissent vraiment pas à Cherbourg. Après Clermont et Boulogne, troisième défaite devant Angers.

Quatorze matches sans défaite. Une victoire face aux Manchots indiscutable. Dans le sillage de Boulogne et de Clermont qui carburent toujours au super, le Sco tient toujours la cadence. Pour ce faire, les Angevins ont disputé devant Cherbourg, une rencontre pleine avec une première période en travail de sape et une seconde, alors que les hommes d'Hervé Renard étaient en infériorité numérique suite à l'expulsion de leur capitaine N'Diaye (44'), pleine d'allant et de contrôle. « Mission accomplie. Nous avons fait du bon boulot, appréciait Jean-Louis Garcia. Nous avons certes été mis en difficulté durant toute la première période même si nous avons dominé. Le premier but nous libère, c'est indéniable, car Cherbourg était fort dans les duels et bien organisé avec un milieu très renforcé. Il est vrai que perdre l'un de leurs meilleurs défenseurs les a vraiment handicapés. »

Le Sco menait alors 1-0, une position qu'il affectionne (aucune défaite lorsqu'il prend l'avantage), et en plus, il évoluait à 11 contre 10. Inutile de dire que l'affaire était mal engagée pour les Cherbourgeois, qui menés au score cette saison, n'ont jamais réussi à inverser la tendance et à l'emporter. Hervé Renard, leur entraîneur, le reconnaissait. « Le plan que nous avions mis en place a duré jusqu'à cette erreur technique qui leur a permis de marquer le premier but. Une passe en retrait (Lisembard) qui ne s'imposait pas et voilà. Après évidemment, la mécanique ensuite s'est déréglée. Mais nous avons été vaincus par une équipe qui a tout de même eu le monopole du jeu. En fin de rencontre, j'ai essayé de gérer le groupe dans la perspective du match contre Châtellerault. » Un duel de mal classés à remporter à tout prix après cette série de trois matches sans victoire contre les trois premiers du classement.

Au contraire évidemment, du côté angevin, Garcia se félicitait aussi du contenu global du débat. « Ce qui est intéressant, c'est d'avoir réussi ensuite à ne pas perdre le fil du match. Bien au contraire. Nous avons contrôlé, nous avons été très sérieux et nous avons continué à aller les chercher. » Avec à la clé, un second et un troisième but alors que les Manchots avaient de plus en plus de mal à conserver leur étanchéité devant la maîtrise et la volonté angevine. « Il n'y a rien à redire, constatait encore Hervé Renard. Le Sco s'est bien amusé en seconde mi-temps. Mais nous ne pouvons que nous en prendre à nous. » Son compère angevin - les deux entraîneurs se connaissant bien - très heureux de cette soirée, se montrait même malicieux. « Heureusement que nous n'avons pas battu Châtellerault et Romorantin car on écrasait alors le championnat. » Une pointe d'humour que Garcia oubliera très vite pour se remettre à la tâche. C'est sûr. Car personne justement n'arrive encore à larguer les autres en tête.


Jean-François CHARRIER.


Papa N'Diaye (capitaine de Cherbourg, expulsé à la 44e) : « On avait posé pas mal de problèmes aux Angevins avant mon expulsion. Sur ce coup-là, je glisse et c'est vrai que je touche le ballon de la main, mais l'intention n'y est pas, c'est le ballon qui vient à la main et non l'inverse. L'arbitre en a décidé autrement. C'est dommage, on aurait sans doute fait douter les Angevins plus longtemps... »

Stéphane Tanguy (milieu de Cherbourg) : « Notre entame de match très solidaire et notre dispositif tactique avaient sans doute fait douter nos adversaires. L'expulsion et le penalty les ont remis dans le bon sens et en deuxième période, ils ont beaucoup plus facilement enfoncé le clou. En ce qui nous concerne, après avoir joué et perdu contre les trois ténors du championnat, il nous restera à ne pas se louper contre les adversaires moins huppés et ce, dès la prochaine rencontre face à Châtellerault. »

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Messagepar Tranquilou » dim. 01 avr., 2007 9:09 am

Dimanche OF du 01/04

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Messagepar Tranquilou » dim. 01 avr., 2007 10:03 am

Revue de presse :

Jack Kachkar expose ses nouveaux projets

Au lendemain de la fin de non recevoir par JLD de son projet de reprise de l’om, Jack Kachkar s’est exprimé dans les colonnes du quotidien «Maclean’s» afin de présenter ses nouvelles vues et nouveaux projets pour plusieurs clubs français pas forcément de L1( PSG, Strasbourg L2, Angers Nat. Extraits.

SON REGARD SUR
« Le Psg est un grand club, avec un énorme potentiel et des supporters incroyables. La combinaison de tout cela, plus l’intérêt que j’ai pour le football français, m’inspirent beaucoup. Ce qui me fascine, au même titre que l’OM, c’est son histoire. Quand je faisais mes études en Europe, j’ai pu apprécier, à sa juste valeur les structures de ce club. En ce qui concerne les clubs de L2 et de National, cela pourrait, à première vue, surprendre, mais, il me semble que se sont, à regarder leur histoire et leurs classements actuels, deux clubs en devenir, dont le coût serait moindre au regard du rachat de l’OM. Ainsi la combinaison de ces trois clubs permettrait, avec le Psg comme pièce maîtresse, d’avoir une diversité de joueurs talentueux, capable, dans le cadre normal des mercatos, d’évoluer dans ces trois clubs, selon les besoins ».

SON PROJET
«Ces trois clubs doivent réussir à gagner de l’argent et à porter haut les couleurs de leurs villes et de leurs régions à l’étranger.» (...)
«Tout changer n’est pas mon intention. Le moment serait malvenu, car les clubs sont, hormis le Psg, dans un élan positif et il est important de le conserver. Le management me semble bon. Et puis je n’aime pas changer pour changer.» (...)
«Evidemment, suite à l’affaire de l’Om, beaucoup de gens croient que je ne viens que pour faire du business. Mais, si les affaires se font, j’achète ces clubs avec l’argent de ma famille, de ma femme, de mes enfants. On a donc la ferme intention de réussir. Je vais m’impliquer vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept pour que ce soit le cas, avec la collaboration de tous les gens de ces clubs et mes conseillers. Certes, c’est un projet à long terme. Je sais que tout ne se fera pas en une nuit. Je demande donc à tout le monde d’être patient. Il y a beaucoup de boulot à faire, sur le terrain et en dehors.»

:shock: :shock: :shock: :shock: :shock:
Modifié en dernier par Anonymous le dim. 01 avr., 2007 11:20 am, modifié 1 fois.
Djéman
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Messagepar Djéman » mar. 03 avr., 2007 6:23 pm

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Messagepar lacouture.49 » jeu. 05 avr., 2007 4:27 pm

pour changer des infos dans la presse , de nos amis lavallois:

http://www.courriermayenne.com/mag.php?id=1260
Début juin 2023 après 8 saisons en L1,notre SCO redescend en L2. Cela ne signifie pas forcement y mourir, certains clubs parviennent même à se pérenniser durablement dans l'anti chambre du foot français avec un budget équilibré!
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Messagepar chouchou49 » ven. 06 avr., 2007 10:16 am

Carlier, Tangeaoui et Ahou out

Les Angevins de Jean-Louis Garcia affrontent le Paris FC, demain (17 h). Pour ce déplacement, ils devront composer sans Ahmed Tangeaoui, suspendu, et sans Délis Ahou qui purgera de son côté le dernier de ses quatre matches de suspension. Côté infirmerie, seul Vincent Carlier est indisponible (élongation). Bien qu'ayant repris la course cette semaine, le défenseur n'a pas encore touché le ballon.

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Messagepar calimero » ven. 06 avr., 2007 2:16 pm

Sur ff de ce jour:L'imbroglio Angers

"Une sacrée mélée se profile si Angers monte en L2.En effet ,le Sco a abandonné le statut pro cette saison,un an après sa relégation.Or l'article 115 prévoit de refuser pendant 2 ans ce statut pro au club qui n'a pas demandé à le garder en National.Angers,lui,l'a conservé un an avant de repasser amateur,d'ou ce problème d'interprétation.Contactée, la LFP adonné son feu vert pour une montée.Fin de l'histoire?"
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Messagepar lacouture.49 » sam. 07 avr., 2007 8:36 am

Ouest -france:


Julien Sola et les Angevins s'attendent à un match fermé à Paris cet après-midi. Ils savent que la rencontre basculera sur un petit détail comme souvent dans pareil cas.

Football : En avril, le Sco d'Angers ne veut surtout pas perdre le fil
National. Paris FC (7e) - Angers Sco (3e), ce soir. Jean-Louis Garcia et ses joueurs veulent s'offrir une fin de saison « exceptionnelle ».
Voilà, c'est dit : « Je prends vraiment mon pied cette saison ici. Oui... Je sens que le groupe adhère à mes convictions d'entraîneur. Je me sens épaulé par mon staff, soutenu, aidé. C'est chouette. Je me sens bien quoi. » Jean-Louis Garcia était assis dans le gros canapé crème du salon de la Baumette. Il venait de parler de ce déplacement à Paris pendant de longues minutes, efficace, et puis il a lâché cette phrase comme on dit qu'il va faire beau demain. L'assistance a reniflé car son émotion était grande. Il a ajouté : « Nous avons les moyens de vivre une fin de saison exceptionnelle. » Elle l'est déjà depuis un paquet de semaines puisque son groupe est invaincu depuis 14 rencontres (deux défaites sur les 22 dernières journées). Ce qui n'est pas rien dans ce monde. Le dernier faux-pas remonte au 2 décembre. C'était à Beauvais par un temps frais (3-1).

Garcia, toujours : « S'il ne faut pas banaliser notre situation, il faut tout de même maintenir le groupe en éveil, amplifier la motivation de chacun par des petits challenges. Ça me semble important à ce stade de la saison. Il faut être vigilant par rapport à un éventuel phénomène de décompression qui guette déjà trois ou quatre joueurs. Je veux que la remise en question soit permanente. » Ainsi, le Sco n'a pas d'autre ambition que de recoller puis dépasser Boulogne et Clermont au classement. Il a cette autre ambition de finir meilleure défense du championnat. C'est déjà le cas (26 buts encaissés) mais à égalité justement avec le Paris FC. Et ce Paris FC, c'est un peu l'étiquette qui gratte dans le cou. « J'avoue que je n'ai toujours pas oublié qu'ils sont venus gagner à Jean-Bouin (2-0). J'ai toujours ce revers en travers de la gorge. »

Un milieu recomposé

L'entraîneur angevin devra composer sans son buteur Ahmed Tangeaoui et sans Délis Ahou, tous les deux suspendus. Vincent Carlier (élongation), lui, ne reprendra sérieusement que mardi prochain. Ça ne l'effraie pas le moins du monde. Il a la profondeur de banc suffisante. Il dit : « S'agissant de notre organisation défensive, ça ne change rien. Devant, plusieurs solutions s'offrent à moi. Je peux continuer avec deux pointes en intégrant Biakolo, ou renforcer le milieu de terrain avec trois joueurs créatifs comme Sola, Planus et Obbadi. » Il optera pour la seconde. « Elle pourrait nous offrir une meilleure maîtrise technique. Le stade Dejerine est étroit, il y a peu d'espaces et l'espace qu'il n'y a pas, il faudra le créer, aspirer l'adversaire. »

Les Parisiens, il les voit déjà jouer fièrement, avec ambition. « Ils sont sans doute déçus de leurs deux dernières prestations (défaite contre Clermont 2-1, puis à Boulogne sur le même score). Je m'attends plus à une réaction qu'à une démobilisation de leur part. » Il va donc demander de la rigueur, de l'intensité, de l'efficacité. Il refusera de partir avec un handicap comme à Romorantin, sera attentif à chaque détail. Le Sco est comme le mois d'avril : il fait un temps de soleil blanc et de pulls bien fermés. On ne se découvre pas, on suit le fil.

On attend toujours la presse parisienne des supporters angevins de Paris
Début juin 2023 après 8 saisons en L1,notre SCO redescend en L2. Cela ne signifie pas forcement y mourir, certains clubs parviennent même à se pérenniser durablement dans l'anti chambre du foot français avec un budget équilibré!
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Messagepar lacouture.49 » dim. 08 avr., 2007 8:31 am

le titre résume le match:

Football : Une maille à l'endroit, une maille à l'envers
National. Paris FC - Angers (1-1). Après une première période bien contrôlée, les Angevins ont baissé de ton ensuite et ont logiquement concédé le nul.
PARIS (de notre envoyé spécial). En ouvrant le score, porte de Montreuil, le Sco croyait bien avoir fait le principal. Mais les coéquipiers de Cygan avaient dû préjuger un peu de leurs forces. Autant ils maîtrisèrent le débat dans son ensemble avant la pause, autant ils le subirent après. Et c'est assez logiquement que les Parisiens obtinrent l'égalisation, fruit d'une poussée qu'il était impossible ou presque de prévoir auparavant. Cette nouvelle parité, à l'extérieur, chez un ancien cador du championnat, et dans des conditions particulières n'est pas une si mauvaise affaire que cela pour Angers qui reste donc sur 15 matches sans défaite, maintenant.

Dans un stade indigne du National et même de bien des divisions inférieures et sur un terrain très exigu en largeur, les Angevins avaient donc décidé de densifier leur entre-jeu, afin de mieux tenir le ballon dans cette zone, en laissant le seul Do Marcolino en pointe. Mais c'est sur un coup de pied arrêté qu'ils allaient ouvrir le score. Un coup-franc de PInault à ras de terre était détourné par le mur et Obbadi jouait les opportunistes de service en surgissant dans le dos de la défense (11'). La réaction parisienne ne tarda pas. Mais la percée de Mendy ne fut pas suivie d'effet (13'). Réaction sporadique car le Sco dominait ce débat de rencontre, en faisant preuve de compacité.

Une tête non cadrée de Do Marcolino (20'), un essai puissant d'Obbadi détourné par Lucas (23'), une interception de Planus conclue sans cadrer par l'attaquant gabonais (34') constituèrent les points forts de ce bal collectif angevin. À l'inverse, Padovani, mis à part deux ou trois sorties, se la jouait tranquille ; les Parisiens n'ayant guère pesé offensivement avant la pause même si une tête décroisée de David frôla la transversale (40').

Le PFC allait attaquer à la reprise avec beaucoup plus d'allant. Avec une preuve immédiate. Une remise de David fut propulsée de manière acrobatique par Mimpo sur la transversale (50'). Cette recherche de l'égalisation allait perdurer ensuite et le Sco subissait alors la pression et jouait plus bas. Malgré la solidité du bloc défensif angevin très sollicité, les Parisiens allaient réussir dans leur entreprise ; Un centre d'Haderbache trouvait la tête de Mendy qui fusillait Padovani (72'), lequel devait claquer ensuite un ballon de David avant de voir Moussi détourner une tentative de Debray (86') et Valeri placer une tête au-dessus.

Pourtant le Sco se procura la dernière opportunité. Mais Do Marcolino ne put qu'effleurer le centre de Zahiri (92') alors que N'Diefi se rata sur un dernier centre de Mendy.

Jean-François CHARRIER.

PARIS FC - ANGERS : 1-1 (1-0).

Arbitre : Wilfried Bien. 916 spectateurs.

BUTS. Angers : Obbadi (11'). Paris : Mendy (72').

AVERTISSEMENT. Paris : Modeste (69'). Angers ; Vaugeois (90').

PARIS FC : Lucas - Batomenila, Mimpo, Valeri, Modeste - Vigier (Gnahore, 46'), Haderbache, Debray, Aubameyang (N'Diefi, 46') - David (Chendri, 83'), Mendy. Non entrés : Bokuma, Zarour.

ANGERS : Padovani - Pinault, Makuma, Cygan, Djellabi - Moussi, Stéphan - Planus (Zahiri, 77') Obbadi (Biakolo, 77'), Sola (Vaugeois., 86') - Do Marcolino. Non entrés : Martinelli, Ongoly.
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Messagepar lacouture.49 » dim. 08 avr., 2007 12:47 pm

Football : Garcia : « Un nul à Paris n'est pas si mal »
Jean-Louis Garcia (entraîneur d'Angers) : « Réaliser le nul à Paris n'est pas si mal. Même si nous sommes un peu déçus car nous avons mené au score. Mais c'est avant tout un résultat positif. Nous avons réalisé une première mi-temps de très bon niveau, en y laissant pas mal d'énergie et nous avons été moins présents ensuite, notamment à la récupération et au pressing. C'est un peu normal. Mais cela a permis aux Parisiens de pouvoir mieux négocier leur premier et leur second ballon de relance. Nous avons donc eu un coup de moins bien après la pause. Néanmoins, c'est une opération intéressante pour nous contre une équipe qui était encore dans la course. Nous la laissons à 11 points. Mon équioe, même en danger, n'a rien lâché. Nous avons maintenant 60 points et petit à petit nous nous accrochons donc dans le bon wagon. »

Jean-Marc Pilorget (entraîneur du Paris FC) : « La première période de mon équipe ? Ce fut celle de touristes. Nous n'avons eu de l'engagement et de l'envie qu'après la pause. Ce qui me laisse tout de même un goût amer même si nous avons rencontré une formation bien en place et qui sait jouer. Heureusement qu'il y a eu cette réaction de notre part ensuite. Nous avons alors effectué des mouvements qui ressemblaient à quelque chose. On a donc pu museler Angers. Mais franchement, il y avait autre chose à faire si nous avions mieux commencé. »

Clément Pinault (arrière d'Angers) : « Nous sommes un peu déçus car nous avons vraiment réussi à poser le jeu en première période. Ensuite, il faisait très lourd et les jambes n'ont pas trop suivi. Nous avons été un peu surpris et inattentifs sur leur égalisation. »
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Messagepar VICASCO » dim. 08 avr., 2007 12:56 pm

La chance est passée. « Un décapage d'ego allié à une inhabituelle intervention du président Cotret (…) a poussé les Parisiens à retrouver un visage enfin digne du prétendant à la L 2 qu'ils étaient devenus. Avec trois attaquants (rentrée de Ndiefi, remplaçant pour la deuxième semaine de suite), le Paris FC trouve d'abord la transversale sur un jaillissement de Mimpo (53e) avant d'égaliser par Mendy » Laurent PRUNETA - « Le Parisien » du dimanche 08 avril 2007.
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Messagepar lacouture.49 » lun. 09 avr., 2007 8:34 am

Édition du lundi 09 avril 2007


Pierre Planus et les Angevins, avec ce petit point pris dans la capitale, laissent tout de même les Lavallois, quatrièmes, à 4 points de distance. :
Football : Le Sco toujours dans une farandole à quatre
National. Le nul au Paris FC (1-1) permet aux Angevins de rester sur une série de 15 matches sans défaite. Ils restent donc dans la course à l'accession avec Clermont, Boulogne et Laval.
L'an passé, Niort avait été champion de la division avec 70 points. Libourne-St-Seurin, troisième, était monté avec un total de 64. Ces chiffres risquent bien d'être pulvérisés cette saison. Car, à sept étapes de la fin et donc pour 21 points en jeu, Clermont mène la danse avec 63 unités, suivi de Boulogne (61), Angers (60) et Laval (56). Il semble bien maintenant que la lutte finale soit circonscrite à ces quatre clubs, Sète le cinquième accusant un retard de 10 points désormais sur le Sco. Le quatuor mène donc grand train et bien malin qui pourrait prévoir lequel de ses membres restera en rade. Samedi, en terre parisienne, Angers n'a donc pas fait un si mauvais résultat que cela puisque Laval, qui l'a emporté devant Louhans-Cuiseaux, reste tout de même à quatre points. « Nous nous accrochons. » répétait Jean-Louis Garcia dans les couloirs du vétuste stade Dejerine. « Avec 60 points l'an passé, nous aurions été presque sûrs de monter. Là, ce n'est pas le cas. Personne dans le groupe de tête ne lâche. Prendre donc un point à Paris n'est pas une mauvaise opération, même si nous pouvons avoir une petite déception après avoir mené et dominé toute la première période. Mais nous n'avons pas réussi à faire le break, ce qui a permis à l'adversaire de revenir au score. »

Le Paris FC, longtemps ambitieux, est donc totalement exclu maintenant de la farandole. Angers, au contraire, est plus que jamais dans le coup. « Nous restons dans une dynamique positive, appréciait le milieu de terrain, Guy Moussi, même si, ayant mené au score, nous n'avons pas pu ramener trois points. Pourtant, nous étions persuadés que si nous marquions les premiers, nous l'emporterions. Ce ne fut malheureusement pas le cas. » Ce partage dans la capitale est, cependant, beaucoup moins illogique que ceux des déplacements à Châtellerault (égalisation dans le temps additionnel) ou à Romorantin (avec pléthore d'occasions non transformées). Car les Parisiens ont tout de même bousculés les Angevins un peu moins en verve que d'entrée de jeu, durant toute la seconde période. Il reste donc aux hommes de Garcia à trouver un meilleur équilibre encore dans le contenu de leurs efforts sur la durée des débats et ce, dès samedi prochain, avec la réception de Martigues.

J.-F. C.

Le programme de la fin du championnat

Ce sont les Mayennais qui paraissent avoir le menu le plus copieux puisqu'ils affronteront les trois autres équipes de tête alors que Clermont, Boulogne et Angers n'auront chacun qu'un seul duel direct.

Clermont-Ferrand : reçoit Beauvais, va à Laval, reçoit Sète, va à Toulon, reçoit Vannes, va à Cannes, reçoit Raon l'Étape.

Boulogne : reçoit Yzeure, va à Beauvais, reçoit Laval, va à Sète, reçoitToulon, va à Vannes, reçoit Cannes.

Angers : reçoit Martigues, va à Yzeure, reçoit Beauvais, va à Laval, reçoit Sète, va à Toulon, reçoit Vannes.

Laval : va à Sannois-St-Gratien, reçoit Clermont, va à Boulogne, reçoit Angers, va à Châtellerault, reçoit Pau, va à Romorantin.

Beaucoup d'ex à Paris. Deux anciens présidents du Sco, Philippe Doucet et Patrick Norbert, était présents, samedi, porte de Montreuil de même que l'éphémère manager Patrick Glanz. Étaient également présents deux ex-joueurs, Bruce Inkango et Martin Ekani. Autre visage connu, celui de Tomislav Ivic, qui s'occupe maintenant de la formation au Standard de Liège.
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Messagepar VICASCO » mer. 11 avr., 2007 11:21 pm

Tiwy a écrit :Il y a pire comme torchon que France Football...



Oui , "Foot transfert" si un jour tu as eu l'occasion de jeter un oeil Image D'ailleurs Aulas leur fait de la Pub en ce moment :hihi:
L’Olympique Lyonnais tient à démentir fermement la pseudo-information publiée par le magazine Foot Transfert et relayée par différentes dépêches sous le titre « Aulas ouvre le dossier Samir NASRI !!! ».

Quel que puisse être le talent du jeune joueur marseillais, l’Olympique Lyonnais n’a jamais imaginé son éventuel transfert à Lyon.

L’Olympique Lyonnais déplore la publication de ce type d’informations gratuites, infondées et mensongères qui n’ont pour seuls buts que de vendre des journaux et de nuire délibérément au club et à son Président.

L’Olympique Lyonnais qui se réserve la possibilité d’engager des poursuites sur la diffusion de telles informations mensongères pénalisantes pour une société cotée, dément par ailleurs tout autre contact évoqué aujourd’hui par les médias, notamment avec un joueur du P.S.G.
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Messagepar Tranquilou » sam. 14 avr., 2007 7:23 am

Faire simple, c'est parfois compliqué

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Messagepar jourdesco » mar. 17 avr., 2007 7:13 am

L'article d'hier de OF pour ceux qui l'ont raté:
Football : Angers marque donc un temps d'arrêt
National. Le Sco, qui n'a pas su trouver la clé face au verrou martégal, s'est donc fait piéger.

Il marque le pas dans sa course à l'accession.
Voir le dossier sur le SCO
Le goût amer de la défaite, les Angevins ne l'avaient plus connu depuis le 6 décembre dernier avec un revers à Beauvais (1-3), alignant depuis huit victoires et sept nuls. Face à Martigues, le Sco a donc connu son 6e revers de la saison, le second à Jean-Bouin après celui devant le Paris FC (0-2). Ce faux pas relance les Lavallois victorieux à Sannois-St-Gratien (3-1) dans une danse à quatre où Clermont s'est désormais échappé.

Le goût amer de la défaite, les Angevins ne s'attendaient sans doute pas à l'avoir en bouche devant des Martégaux qui jouent le maintien depuis longtemps même si Jean-Louis Garcia était méfiant et circonspect avant ce débat. « C'est inattendu en effet, quoique... Mais il faut accepter le verdict du résultat. Nous avons pourtant tout essayé, même si nous avons manqué de percussion, d'imagination et aussi de lucidité. En fait, à partir du moment où les Provençaux nous ont abandonné le terrain, en évoluant comme une équipe de hand, nous n'avons pas trouvé la clé du problème. Un problème quasi insoluble. » L'entraîneur angevin eut beau faire entrer Sola, puis Zahiri et Biakolo, rien n'y fit. Martigues s'était retranché devant le but de Gibert et défendait son territoire et son avantage d'ailleurs, bec et ongles. « Nous avons eu pas mal de réussite sur ce coup-là. » reconnaissait Patrice Eyraud, expulsé pour protestation après le second jaune infligé à N'Diaye (48'). « Les Angevins nous ont bougés mais nous avons bien défendu. Ils ont sans doute abusé du jeu long. C'est une victoire de la solidarité qui va nous faire beaucoup de bien. »

Menés donc au score après une splendide volée de Mangara (35'), les Angevins ont passé ensuite 42 minutes en supériorité numérique. Ils ont poussé, tenté, mais sans trop de discernement avec en plus des passes ou des centres bien trop approximatifs pour ébrécher l'hermétisme défensif des Provençaux. « Au fil des minutes, il y a eu de la fébrilité devant cette absence de réussite. Nous nous sommes ensuite crispés. Dans le feu de l'action, nous n'avons peut-être pas non plus assimilé toutes les données du problème. C'était un peu un jour sans. » expliquait encore Garcia. Et ce fut aussi un coup gagnant pour Martigues qui espère plus que jamais pouvoir s'en tirer.

Cela dit, même s'il s'agit là d'un coup d'arrêt, les Angevins sont toujours sur le podium. Et ils ont donc encore leur destin entre les mains. « Après ce match un peu spécial tout de même, lançait encore l'entraîneur angevin, nous allons nous remettre debouts. Nous sommes déçus, un peu surpris de la réaction du public à la fin (Ndlr: des sifflets) car nous avons besoin de soutien mais nous allons réagir. N'oublions pas tout ce que nous avons réalisé jusqu'alors. »

Une réaction est donc programmée et attendue. Dès vendredi, chez le dernier, Yzeure.


J.-F. C.

Ouest-France
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Messagepar jourdesco » ven. 20 avr., 2007 6:16 am

Ouest France a écrit :Football : Le Sco ne veut plus se perdre en route
National. Yzeure - Angers Sco, ce soir. Les Angevins ont vu fondre leur avance sur le 4e du classement, Laval. Ils doivent repartir de l'avant.
Il y avait bien longtemps que les observateurs du Sco d'Angers n'avaient plus eu recourt à cette habitude. Alors qu'ils étaient sûrs de leur fait depuis plusieurs semaines, ils ont mouillé leur doigt, hier matin, pour voir si le vent sera favorable aux Angevins en cette fin de saison. Après leur revers inattendu contre Martigues samedi (1-0), ces derniers sentent désormais la moustache de Denis Troch, l'entraîneur du Stade lavallois, les chatouiller dans le cou ce qui, convenons-en, est fort désagréable. Faut-il pour autant craindre les Mayennais ? C'est un peu tôt en réalité pour l'affirmer puisque les Tangos reçoivent Clermont-Ferrand ce soir puis se déplacent à Boulogne avant de rencontrer le Sco. Jean-Louis Garcia, à ce sujet : « Pour moi, les deux journées qui arrivent sont prépondérantes. Nous, on va à Yzeure et on reçoit Beauvais. Ce n'est pas tout à fait pareil. »

Le tacticien angevin était remonté comme une pendule, hier. Il gigotait sur son canapé. « Mon équipe était, compte tenu de ses résultats (15 matches consécutifs sans défaite), légitimement confiante. Mais cette confiance est devenue excessive. Suffisamment pour négliger quelques détails... dans la concentration, l'investissement. S'il faut relativiser la pression liée à notre objectif, il ne faut pas tomber dans l'insouciance, celle qui peut nous amener à préparer des matches par-dessus la jambe. »

Il avait déjà tiré la sonnette d'alarme avant le déplacement à Paris, le 7 avril, montrant du doigt le relâchement de trois ou quatre joueurs. Cette semaine, il les a secoués comme on secoue un pommier. « Je crois que cette semaine, ils ont en effet senti qu'il fallait revenir à des choses plus cohérentes. Les états d'âme et les griefs de chacun seront mis de côté jusqu'à la fin de la saison. » Curieusement, la décompression du groupe ne ressemble pas à l'entraîneur... « Il en va aussi de ma responsabilité. À un moment, j'ai peut-être été moins présent... dans mon intonation, dans mon mode d'intervention. C'est incontestable. Les mecs entendent mais n'écoutent pas forcément, sûrs, par exemple, qu'ils vont taper Martigues et qu'une séance vidéo ne changera pas grand-chose. On a vu le résultat. »

« Une affaire de concentration, de don de soi »

Pierre angulaire du système Garcia, l'assise défensive du bloc sera observée à la loupe à Yzeure. « Aujourd'hui, nous avons la meilleure défense mais ça ne me satisfait pas. Bien défendre, c'est aussi une affaire de concentration, de don de soi. Maintenant, ça suffit. » Le groupe a été pensé en conséquence, avec, notamment, un Teddy Ongoly qui revient aux affaires. Trop conscients qu'ils peuvent passer à côté d'une fin de saison exceptionnelle, les mécanos du Sco ont donc décidé de resserrer les boulons un à un. « Si demain (aujourd'hui), les mecs passent leur temps à éclater de rire et à faire les cons, c'est qu'ils ne comprennent rien. Nous devons être capables d'entrer dans une concentration extrême, dans le calme et la sérénité. Pas dans l'excitation comme je peux le constater depuis quelque temps. C'est aussi cela le haut niveau. On va aller à Yzeure avec des guerriers en bleu de chauffe. »

Pierre Planus, pour finir : « Ça ne passera pas forcément par du beau jeu, mais peu importe. » Cher Pierre, ne vous inquiétez pas : à Yzeure au moins, personne ne vous sifflera pour ça.



Mathieu COUREAU.

Ouest-France

Comment interpréter la dernière phrase? :???:
Croaaaa!!!

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