GROS rectificatif sur cet article complètement erroné....étant présent lors de l'incident, c'est bien Patrick Norbert, le Président du SCO, UN président de club qui a pété les plombs.... il n'y a pas eu d'agressions verbales et encore moins d'agressions physiques (ya surement un pacte norbert-bourrier de l'ouest pour détourner des infos comme celles ci, c'est la propagande norbert !!) PN a été interpellé par un supporter qui lui a seulement dit que son fils n'était pas efficace dans l'équipe....et c'est PN qui a perdu son sang froid et s'il ya eu agressions physiques ce sont les flics qui l'ont matraqué pour le calmer (ya qu'au sco qu'on voit ca !!) ...Monsieur le Président du club, le sco n'est pas un jouet, il faut assumer toutes les critiques, et même les critiques sur votre fils.... la boucle est bouclé...dommage pour l'article qui encore une fois rend responsable toujours les mêmes....Je prend connaissance de l'incident intervenu lors de la rencontre Crétiel-SCO, je trouve cela déplorable, supporters ( si l'on peut appeler ça comma ça) arrètés d'ètre idiot, le président Norbert fait probablement au mieux, mais souvenez vous d'ou l'on vient, laissez le temps à tout ces gens qui font le maxi pour donner de nouvelles couleurs au club, vous réaigissés comme des gamins. Le SCO ne joue pas qu'avec un seul joueur ( L.N) il en reste dix sur le terrain!!!!!. Salut
la presse: O.F.- le C.O.- la N.R. et autres
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Juste un rectificatif; la brève est trop forte!!! Une question: comment se fait-il que la police n'ait pas "embarqué" ou même procédé à un controle des "pseudo-supporters agresseurs" et que ce soit le président qu'ils aient matraqué et mis manu-militari dans sa voiture pour qu'il dégage??? Et que cette même police ainsi que le service de sécurité (présent dès le début de la "pseudo-discussion" présidentielle qui au demeurant a fait son job en essayant de le maitriser avant que la police ne s'en mêle) nous ait même fait part de leur étonnement de savoir que cette personne soit le président du club et qu'ils avaient failli l'embarquer!!! Enfin ,pour ceux qui croient encore qu'il ait voulu discuter, sachez que discuter de manière agressive en bousculant les gens ne me semble être le meilleur gage d'une réelle volonté de dialogue... Et qu'il me semble logique que le ton monte en réponse à ce "pseudo-dialogue agressif" en même temps que ce monsieur pétait les plombs.
Toujours présent et fidèles depuis 92
Citation GROS rectificatif sur cet article complètement erroné....étant présent lors de l'incident, c'est bien Patrick Norbert, le Président du SCO, UN président de club qui a pété les plombs.... il n'y a pas eu d'agressions verbales et encore moins d'agressions physiques (ya surement un pacte norbert-bourrier de l'ouest pour détourner des infos comme celles ci, c'est la propagande norbert !!) Ok sur le fonds, mais faut arrêter aussi d'accuser toujours le CO, alors que là, c'est un article de Ouest France 

SCO : le coup de sang du président Norbert ( 18/10/2004 ) L’après-match a été mouvementé, vendredi soir à l’issue de la rencontre Créteil - Angers SCO, pour le président Patrick Norbert. Pris à partie par une poignée de « supporters » angevins (ou présumés tels) qui lui ont reproché – entre autres – dans des termes peu courtois l’attitude de son fils Ludwig dans « l’affaire Cygan », M. Norbert s’est fâché tout rouge. Rappelons pour mémoire que Thierry Cygan, victime d’une fracture du larynx lors d’une altercation avec Ludwig Norbert dans les vestiaires le 21 septembre dernier – après le match Angers - Niort – n’a pas rejoué depuis. Ce vendredi, le ton est monté entre les détracteurs de la famille Norbert et le patron du SCO, à tel point qu’il a fallu l’intervention des forces de l’ordre pour calmer les esprits. D’autre part, il semble que l’incident entre les deux joueurs a laissé des traces au sein du groupe managé par Noël Tosi. Bref l’ambiance n’est pas au beau fixe et la défaite concédée à Créteil n’a, sans doute, rien arrangé. On peut désormais se demander si le président-propriétaire, qui avait évoqué voilà quelque temps sa « lassitude » face aux critiques et envisagé de revendre le club à l’issue de la saison, ne va pas être conforté dans son envie de laisser le SCO à son (triste) sort… C.G. © Copyright La Nouvelle République 2004
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Tosi sonne la charge ( 22/10/2004 ) Face au promu rémois, ce vendredi soir au stade Jean-Bouin, une révolte angevine est attendue après la contre-performance à Créteil. Angers SCO - Stade de Reims vendredi, 20 h, stade Jean-Bouin. Il était très en colère, Noël Tosi, au terme du match perdu à Créteil. Soucieux de maintenir un bon parcours à l’extérieur parce qu’il sait que son équipe y est plus performante qu’à la maison, l’entraîneur du SCO voit dans cette défaite le signe d’un relâchement coupable. Mais la semaine d’entraînement a quelque peu apaisé le technicien corse, conscient que les nombreuses absences dans son effectif commencent à réduire l’effectif à une bande de combattants un peu trop sollicités depuis deux ou trois rencontres. Il n’empêche : une révolte est attendue ce vendredi soir contre des Rémois promus qui sont partis sur les chapeaux de roue dans le championnat de Ligue 2, mais qui n’ont encore jamais remporté le moindre match à l’extérieur. Une bonne prestation du SCO est donc attendue pour satisfaire le public. Nombreux seront ceux certainement attirés par une affiche qui parlera au cœur des supporters anciens : Reims, c’est tout de même quelque chose, même si le champion du National de la saison dernière n’est qu’au début du chemin pour courir après son prestigieux passé. Un passé dont un certain Raymond Kopa a quelque connaissance… “ Je ne pensais pas avoir si tôt dans la saison autant de blessés ” Reims revient tout de même de loin. C’est-à-dire du CFA 2. Après une courte participation en L 2, ce fut une nouvelle rechute. Cette année, évidemment, l’objectif est le maintien. Un parcours qui n’a finalement pas grand-chose à envier au SCO d’Angers dans l’inconstance. Mais cette saison, les deux équipes ont la volonté ferme de s’accrocher. La victoire face à Nancy (aux tirs aux buts) en coupe de la ligue, suivie d’un succès contre Troyes en championnat, a redonné confiance au groupe rémois. « Nous avons retrouvé de la fraîcheur, c’est bon pour le moral », dit l’entraîneur Ladislas Lozano, qui adoptera néanmoins un dispositif prudent en terre angevine. Quant au SCO, l’entraîneur sonne la charge. A-t-il le groupe pour cela ? C’est une autre question. « Je ne pensais pas avoir si tôt dans la saison autant de blessés et d’absents… » On ne savait toujours pas hier si l’attaquant sénégalais Gomis pourrait être qualifié ce soir et Fauconnier tarde à confirmer le bien que son entraîneur pense de lui. En outre, il a été patraque toute la semaine. Et le SCO sera toujours privé de Cygan, Traoré, Assous, Huck, Djellabi… Le mal du milieu, en somme, privé de joueurs d’expérience. Mais Tosi devra faire avec ce qu’il a, en s’appuyant sur une défense qui reste très solide. « Ce n’est pas simple de composer l’équipe actuellement, il en manque près de la moitié, et certains sont fatigués, comme Grigulo. Mais j’ai vu de bonnes choses cette semaine, nous avons pas mal travaillé les liaisons entre les lignes et j’en attends le résultat sur le terrain. » Il est vrai qu’une nouvelle déconvenue à domicile commencerait vraiment à faire désordre. Michel PATEAU Les équipes - Stade de Reims : Balijon, Delmotte, Stephanopoli, Arnaud, Barbier, Didot, Petitjean, Boutal, Hebbar, DIane, Blayac, Haddadou, Leroy, Viale, Comminges, Dossevi. Angers SCO : Lachuer, Kerhuiel, Ekani, Dussart, Grimaldi, Grigulo, Sonnerat, Obbadi, G. Norbert, Gomis (?), Fauconnier (?), Ikango, Boskovic, Dia, Assouassi. © Copyright La Nouvelle République 2004
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je ne comprends pas, ça fait plusieurs fois que je vais sur le sommaire de L2 de lequipe.fr avant ou après un match, et je constate que le SCO n'est même pas mentionné, ex: http://www.lequipe.fr/Football/HOME_D2.html
vous pouvez m'expliquer cette injustice, pour ne pas dire discimination ?

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Effectivement alors que le site de la ligue et celui de 365football parlent du sco et du carton contre reims il y a meme pas une ligne sur le site l'équipe et c'est la troisième fois que je constate ça, apres une victoire de notre clubBouchemaine a écrit :je ne comprends pas, ça fait plusieurs fois que je vais sur le sommaire de L2 de lequipe.fr avant ou après un match, et je constate que le SCO n'est même pas mentionné, ex: http://www.lequipe.fr/Football/HOME_D2.htmlvous pouvez m'expliquer cette injustice, pour ne pas dire discimination ?

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Je confirme : c'est quasiment systématique depuis le début de la saison. Je ne peux quand meme pas croire que c'est volontaire mais en effet ça pose question. Peut-etre que lorsque l'on sera dans les 3 premiers...Bouchemaine a écrit :je ne comprends pas, ça fait plusieurs fois que je vais sur le sommaire de L2 de lequipe.fr avant ou après un match, et je constate que le SCO n'est même pas mentionné, ex: http://www.lequipe.fr/Football/HOME_D2.htmlvous pouvez m'expliquer cette injustice, pour ne pas dire discimination ?
Que s'est-il passé exactement....??!! Encore un mystère... monsieur Norbert...scomino a écrit :![]()
L'article du Dimanche 17-10-04 par Jean-François CHARRIER. · Le Docteur Anthony Tondut, fils de l'ancien président, ne fait plus partie du staff médical du club. Il y aurait eu un différent entre ce médecin et le président angevin au sujet de la blessure de Thierry Cygan. J.-F. C.(lire le compte rendu en Sports généraux)
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Articles des derniers jours de la Nouvelle République. Retrouvez les informations de la Nouvelle République sur : http://www.nrco.com/ Le docteur Tondut écarté ( 23/10/2004 ) Le trouble provoqué par l’échauffourée entre Ludwig Norbert et Thierry Cygan, à l’issue du match Angers-Niort, n’est pas encore dissipé. Cette « affaire » vient même de faire une victime « collatérale ». Le docteur Anthony Tondut (fils de l’ancien président du SCO, Jacques Tondut), qui intervenait auprès de l’effectif professionnel à titre bénévole, vient d’être écarté par le président Patrick Norbert. C’est lui qui avait examiné Thierry Cygan après la bagarre et diagnostiqué une fracture du larynx. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Tosi : “ Un match référence ” ( 23/10/2004 ) Noël Tosi (entraîneur d’Angers SCO) : « Si ce n’est pas le match référence qui nous manquait à domicile, il faut tout arrêter. Nous avions vu le pire à Créteil, cette fois-ci nous avons su nous montrer entreprenants. Plusieurs joueurs sont en progrès, à l’image de Martin Ekani, qui trouve ses marques en défense, et de Mounir Obbadi, qui a fourni un formidable travail au milieu, aux côtés d’un exceptionnel Guillaume Norbert. Grâce à l’apport de Louis Gomis en attaque, cette équipe n’est plus la même. Il nous sert de point de fixation et permet à ses coéquipiers de vite se débarrasser du ballon, vers l’avant, tout en gênant l’adversaire dans ses relances. Et au bout du compte, le résultat est là ! » Louis Gomis (attaquant d’Angers SCO) : « Je suis bien sûr heureux de gagner mon premier match avec Angers et d’avoir marqué, ce qui va me donner confiance. Mes coéquipiers ont beaucoup joué avec moi, en m’adressant un grand nombre de ballons aériens. J’espère que nous allons poursuivre dans cette voie. J’ai reçu un petit coup derrière la cuisse mais ce n’est heureusement pas trop grave et je vais pouvoir continuer à trouver mes marques ici. » Guillaume Norbert (milieu de terrain d’Angers SCO) : « Gagner sur un tel score à domicile, cela fait évidemment plaisir. C’est bien pour notre public qui attendait un tel match depuis longtemps. L’apport de Louis Gomis est important. Personnellement, je suis heureux de pouvoir centrer vers un joueur capable de reprendre le ballon de la tête. C’est un plus indéniable. » Ladislas Lozano (entraîneur du Stade de Reims) : « Nous avons eu tout faux, sur toute la ligne. Nous avons beaucoup souffert et Angers a mérité sa victoire. Lors de ce match, certains de mes joueurs n’ont pas honoré leur maillot. C’est grave. D’autre part, les changements nous ont été dictés par des blessures, au lieu de s’inscrire dans une réorganisation tactique. Tout s’est passé à contre-sens. Si nous ne sommes pas capables de redresser la barre, les semaines qui viennent seront sombres pour nous. » Propos recueillis par C.G. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Angers pétille, Reims bulle ( 23/10/2004 ) Large victoire angevine hier soir, acquise aux dépens de décevants Rémois qui ont définitivement craqué dès le début de la seconde période. Angers SCO : 3 Stade de Reims : 0 Voilà longtemps que le SCO n’avait pas signé une aussi large victoire à domicile ! En quête de rachat après une série de prestations décevantes, les hommes de Noël Tosi ont fait preuve d’efficacité hier soir, aux dépens de décevants Rémois. Bien sûr, le Stade a été désorganisé par plusieurs sorties sur blessure, mais on attendait tout de même mieux de la bande à Lozano, passée totalement à côté de son sujet. Il faut dire aussi que les Angevins avaient retrouvé ce petit supplément d’âme qui leur manquait depuis plusieurs semaines. En raison des circonstances (infirmerie bien garnie, suspension de Ludwig Norbert), Noël Tosi avait aligné un onze de départ inédit, avec côte à côte en attaque le jeune Guy Moussi, issu de l’équipe des 18 ans, et l’expérimenté Louis Gomis, enfin qualifié. Sur le vert échiquier de la pelouse de Jean-Bouin, les deux entraîneurs s’étaient appliqués à disposer leurs pions de manière à se tenir mutuellement en échec. Face à un adversaire bien regroupé en défense, comme il fallait s’y attendre, Angers peinait donc à s’ouvrir le chemin du but. Sauf lorsque Obbadi adressait un centre puissant à destination de Fauconnier, qui reprenait le ballon de la poitrine, alors que Balijon avait quitté sa cage. Il fallait un sauvetage de Stephanopoli pour empêcher l’ouverture du score (22ème). Partie remise : peu après, à la suite d’un service d’Obbadi – décidément très actif dans l’entrejeu –, ce même Fauconnier bénéficiait d’un contre favorable pour tenter, instantanément, une merveille de reprise de l’extérieur du pied droit, des 20 m. Et cette fois-ci, il faisait mouche, en marquant pour la première fois sous les couleurs d’Angers. De quoi libérer Kerhuiel et ses camarades, plus à l’aise pour prendre la direction des débats en veillant à utiliser toute la largeur du terrain, à l’image du pétillant Guillaume Norbert. Les Rémois souvent pris de vitesse, parvenaient néanmoins à conserver le score en l’état jusqu’à la mi-temps, en dépit de la sortie de leur gardien Balijon, touché à un genou et contraint de céder sa place à son suppléant. Deux buts en deux minutes L’avantage du SCO restait donc fragile, d’autant que les Champenois revenaient sur le terrain animés de meilleures intentions. Lachuer devait ainsi s’employer pour détourner une puissante reprise de volée d’Hebbar (49ème). Dans l’autre camp, la main de Tingry s’avérait moins ferme, au moment de capter une tête de Gomis. Le gardien rémois laissait échapper un ballon brûlant. Mounir Obbadi, au prix d’un sprint énergique, parvenait à s’en saisir pour doubler la mise (51ème). Touché, Reims finissait par couler lorsque Delmotte balançait Guillaume Norbert en pleine surface de réparation. Avec pour conséquence un penalty, que Gomis transformait en force (53ème). En moins de trois minutes, le SCO avait donc définitivement fait pencher la balance de son côté. La donne ne devait plus changer. Angers gérait tranquillement son affaire, Reims se contentant de planter avec plus ou moins de conviction quelques banderilles sans conséquence. Trois buts, trois points, voilà qui fait du bien ! Christophe GENDRY La fiche technique - Mi-temps : 1-0. But pour Angers : Fauconnier (25e), Obbadi (51e), Gomis (53e, s.p.) Arbitre : M. Khendek. Spectateurs : 4.521. LES ÉQUIPES Angers SCO : Lachuer, Ekani, Kerhuiel, Dussart, Grimaldi (puis Grigulo, 28e), Sonnerat, Guillaume Norbert (puis Dia, 76e), Obbadi, Fauconnier (puis Inkango, 79e), Gomis, Moussi. Entraîneur : Noël Tosi. Stade de Reims : Balijon (puis Tingry, 32e), Stephanopoli, Arnaud, Delmotte, Barbier, Hebbar, Boutal, Petitjean (puis Ongoly, 34e, puis Dossevi, 44e), Viale, Diane, Didot. Entraîneur : Ladislas Lozano. - PATRICK NORBERT ABSENT. – Officiellement retenu par ses obligations professionnelles, le président d’Angers SCO, Patrick Norbert, n’a pas assisté au match d’hier soir. Il n’a pas, non plus, souhaité rédiger son traditionnel éditorial dans le programme de la rencontre. A la place, un communiqué mentionnait les « événements survenus à la sortie du match de Créteil, où des individus du groupe de supporters KDLB l’ont agressé verbalement et physiquement ». Drôle d’ambiance ! DOUCET PRÉSIDENT DU FC ROUEN. – Philippe Doucet, l’ancien patron d’Angers SCO, est devenu, cette semaine, le président-délégué du FC Rouen (National).
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article sur la reserve et les club d'anjou trés en réussite en ce moment. http://www.angers.maville.com/actu/Deta ... 4&idCLA=48
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Nous sommes d'origine du limon d'un fleuve maternel.
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Peut-etre que les journalistes de l'Equipe lisent le Forum. En tous les cas, le SCO est cité aujourd'hui sur lequipe.fr.Bouchemaine a écrit :je ne comprends pas, ça fait plusieurs fois que je vais sur le sommaire de L2 de lequipe.fr avant ou après un match, et je constate que le SCO n'est même pas mentionné, ex: http://www.lequipe.fr/Football/HOME_D2.htmlvous pouvez m'expliquer cette injustice, pour ne pas dire discimination ?
?
mais on le devine et tu as raisonLudo29-49 a écrit :INCROYABLE !!!!!On peut lire que Assous aurait été éjecté du groupe pour violence verbale envers ses coéquipiers. Y'a pas de justice
Il y en a un autre que je ne citerais pas (
) qui aurait mérité ça depuis logntemps mais je ne vais pas encore remettre ça surtout sur ce topic...


le SCO redeviendra GRAND
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Sévère sortie de route au Mans ( 02/11/2004 ) Deux buts encaissés et un carton rouge : les Angevins ont craqué dès la première mi-temps d’un derby qui fut ensuite à sens unique. Le Mans : 3 Angers SCO : 0 De notre envoyé spécial Dans ce championnat de Ligue 2, la roue tourne vite ! Auréolés d’un large succès face à Reims (3-0) lors de la précédente journée, les Angevins se présentaient, dimanche, sur la pelouse de leurs voisins sarthois avec quelques ambitions. Des ambitions vite envoyées au cimetière, en ce week-end de Toussaint ! En moins d’une mi-temps, ce derby était, en effet, plié. Réduits à dix après l’expulsion (sévère) de Sonnerat, coupable d’un tacle à retardement sur Fanchone, et distancés au score, les hommes de Noël Tosi ont ensuite vécu une seconde période inconfortable. D’ailleurs, sans un grand match de leur gardien Julien Lachuer, l’addition aurait été beaucoup plus salée… Et pourtant, les vingt premières minutes de la rencontre avaient autorisé quelques espoirs. Le SCO avait alors perturbé son adversaire, en choisissant de jouer très haut. Une option tactique à double tranchant. Car si les premières occasions de la partie étaient angevines (une tête de Fauconnier au-dessus, une lourde frappe des 20 m de G. Norbert repoussée par Pelé), les Manceaux allaient profiter de ce positionnement risqué pour trouver la faille. En l’occurrence, Boutabout servait Matsui dans le dos d’une défense alignée presque à la hauteur du rond central. Le Japonais du MUC n’avait plus qu’à piquer un sprint pour éliminer Lachuer et marquer dans le but vide (21ème). Dans la foulée, Obbadi chipait le ballon à Poulard pour s’offrir un raid dans la surface de réparation sarthoise, ponctué d’une frappe trop enlevée (25ème). « Il est dommage de rater ce genre d’occasion franche, regrettait après-coup un Tosi dépité. D’autant que nous avions besoin d’un déclic pour revenir dans le match. Mais nous étions dans un jour sans. » Une potion amère Le pire restait effectivement à venir. Une nouvelle fois les attaquants locaux allaient prendre la défense angevine de vitesse, en contre. Avec, à l’arrivée, une partie de billard qui permettait à Fanchonne de récupérer un ballon repoussé par Lachuer, pour doubler la mise (33ème). Deux buts donc, puis un carton rouge pour Sonnerat : la potion était amère pour Angers, tout près de craquer encore, juste avant le repos, sur une tentative de Boutabout. La suite ne sera qu’une longue punition pour le SCO. Bien sûr, Fauconnier, servi par Gomis, aurait pu réduire la marque (50ème). Mais hormis cette occasion, la seconde période se résumera à une promenade de santé pour le MUC, auteur d’un troisième but (Deranja, 76ème) à la valeur presque anecdotique. « Nous aurions pu l’emporter plus nettement mais cela ne nous aurait sans doute pas servis, analyse Daniel Jeandupeaux, le coach suisse du MUC 72. Je considère que nous sommes toujours en convalescence. Cela dit, nous avons abordé ce derby comme il le fallait. On s’attendait au pressing d’Angers dès le départ. Cela ne nous a pas déstabilisés. Mais je me demande comment nous aurions réagi si nous avions été menés 1 à 0. » De son côté, Noël Tosi refuse d’accabler ses joueurs. « Je n’ai rien à leur reprocher, assure-t-il. A dix contre onze, ils ont fait preuve de courage. Nous régressons au classement mais il ne faut pas s’affoler. Nous allons travailler pour améliorer notre efficacité offensive, en particulier sur les coups de pied arrêtés. La saison dernière, il s’agissait de notre point fort. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. » La semaine s’annonce donc studieuse du côté de la Baumette, avant le prochain rendez-vous du SCO, également retransmis en direct par Eurosport, lundi prochain à partir de 20 h 15, au stade Jean-Bouin contre le FC Gueugnon. Christophe GENDRY La fiche technique - Mi-temps : 2-0. Arbitre : M. Bonnin. Spectateurs : 7.259. Buts : Matsui (21e), Fanchone (33e), Deranja (75e). Avertissements au Mans : Cerdan (37e), Baradji (87e). À Angers : Dussart (35e), Obbadi (40e), Kerhuiel (43e). Expulsion : Sonnerat (Angers), à la 35e. LES ÉQUIPES Le Mans : Pelé, Bonnart, Lupède, Poulard, Cerdan, Fanchone (puis Comisetti, 73e), F.Thomas, D’Amico (puis Baradji, 78e), Matsui (puis Hautcœur, 63e), Boutabout, Deranja. Entraîneur : Daniel Jeandupeux. Angers SCO : Lachuer, Kerhuiel (puis Ludwig Norbert, 46e), Ekani, Dussart, Cygan (puis Djellabi, 46e), Guillaume Norbert, Obbadi, Moussi, Sonnerat, Gomis, Fauconnier (puis Boskovic, 78e). Entraîneur : Noël Tosi. © Copyright La Nouvelle République 2004