romar a écrit :jjffll a écrit :Pêcheur49 a écrit :Quand je vois la ferveur et l'ambiance dans les autres stades .... je me dis qu'il y a un truc qui cloche.
En ligue 1, à part Troyes et Monaco, on a la ferveur porbablement la plus pourrie (le classement aide pas, mais même en étant dans le ventre mou, ce serait le cas).
quand je regarde en ligue 2, je me demande où on se situerait, mais à moins de jouer les premiers rôles, il y a clairement des villes largement au dessus de nous : Le Havre, Caen, Bastia, Sochaux, ASSE, metz et guingamp.
Alors on reste que Angers, mais dans une ville qui possède 1/3 de sa population étudiante, il y a forcément quelquechose à faire avec les BDE et les facs ou écoles.
Pareil avec les lycées.
les étudiants qui viennent étudier a Angers rentrent chez eux le WE.
Colléges et lycées sont logiquement des cibles commerciales plus appropriés

Les 43000 étudiants d’Angers sont loin de tous rentrer chez eux le week-end ! Il en reste beaucoup sur place !! Mais il faut aller les chercher !!
Bah sur les 43000, y'en a 1 quart qui rentrent chez eux/qui aiment pas le foot,
un autre quart qui viennent d'autres villes ou qui supportent d'autre clubs donc bon le SCO ils s'en contre-carre (ou qui n'aiment pas le foot),
un autre quart qui pourraient venir plus souvent au stade mais les seules personnes avec qui ils y vont, ce sont leurs darons parce qu'ils trouvent personne de leur âge avec qui y aller (ou alors ils aiment pas le foot),
un autre dernier quart qui sort le samedi soir/comate le dimanche/regarde à la TV parce que flemme (ou bien au hasard ils aiment pas le foot).
Les jeunes qui aiment le foot sont en grande majorité dans les quartiers populaires mais ces gens là n'ont que faire d'une équipe qui galère, ça les fait pas rêver, et ça ne fait pas rêver non plus une ville très embourgeoisée comme la notre.
Ajoutez ça au fait que les français n'ont aucune culture club/culture foot en général, jackpot.
Je vais m'arrêter là mais vous allez me forcer à faire un autre essai sur pourquoi on rempli pas le stade, je le sens.