Chirac au Salon de l'Agriculture
Une grosse cohue s'est produite au salon de l'Agriculture lors de l'arrivée de l'ancien président Jacques Chirac, qui a été aussitôt entouré d'une nuée de photographes et cameramen et abordé par de nombreux badauds.
"Merci d'être venu M. le Président", "Chirac, Chirac", entendait-on fréquemment, tandis que l'ancien président et ancien ministre de l'Agriculture, affirmait: "pour moi, c'est le grand moment de l'année".
M. Chirac a commencé sa visite en s'arrêtant à tous les stands d'éleveurs bovins, s'attardant longuement à celui des vaches du Limousin, son ancien fief électoral.
Source: AFP
je met cette info simplement car j'ai toujours adoré Chirac au salon de l'Agriculture. J'aime bien ce mec
Nous ne sommes pas de Carrare, mais d'ardoises fragiles.
Nous sommes d'origine du limon d'un fleuve maternel.
jourdesco a écrit :J'aime bien la réponse: soit je m'augmente de XXX% soit mon salaire reste opaque...
Un choix cornélien!
Jamais il n'arrivera à justifier son augmentation alors que les français ne voient rien venir.
Sarko veut dire que si il avait demandé 25 000 € en restant sur l'ancien système par exemple, personne ne serait monté au créneau, personne n'en aurait parlé. Mais le fait de rendre le truc transparent ça a choqué tout le monde qui n'a vu que "+ 140 %".
Je ne trouve pas son explication très claire.
De plus quand son entourage justifiait l'augementation au moment ou elle a eu lieu, il n'expliquait pas du tout cela mais indiquait que par rapport aux autres présidents des pays européens, la France était en retard. Alors ?
Chirac au Salon de l'Agriculture
Une grosse cohue s'est produite au salon de l'Agriculture lors de l'arrivée de l'ancien président Jacques Chirac, qui a été aussitôt entouré d'une nuée de photographes et cameramen et abordé par de nombreux badauds.
"Merci d'être venu M. le Président", "Chirac, Chirac", entendait-on fréquemment, tandis que l'ancien président et ancien ministre de l'Agriculture, affirmait: "pour moi, c'est le grand moment de l'année".
M. Chirac a commencé sa visite en s'arrêtant à tous les stands d'éleveurs bovins, s'attardant longuement à celui des vaches du Limousin, son ancien fief électoral.
Source: AFP
je met cette info simplement car j'ai toujours adoré Chirac au salon de l'Agriculture. J'aime bien ce mec
avec tous les cadeaux qu'il a fait aux agriculteurs
de source
avec nos impôts on verse chaque année en moyenne 16 000 euros par agriculteur sans conditions de revenus et cela rien que pour la PAC et sans compter sur tous les régimes préférentiels comme l'absence de taxe professionnelle un contrôle fiscal tous les 130 ans contre tous les 8 ans pour les salariés
MERCI QUI messieurs les agriculteurs,ça vaut bien un bon verre à sa santé
MERCI CHIRAC
jourdesco a écrit :
Jamais il n'arrivera à justifier son augmentation alors que les français ne voient rien venir.
au moins un point de vue
ou je suis d'accord avec toi
cela est honteux ,surtout qu'il dit que la france n'a pas d'argent pour augmenter les salariés ,lui ne sait pas gêné pour le sien
je sais bien que charité bien ordonnée commence par soi- même,mais bon la y'a abus de pouvoir
La mission pédagogique qui devait réfléchir au parrainage d'un élève de CM2 d'un enfant français victime de la Shoah s'est réunie mercredi au Ministère de l'Education. Résultat : le principe de ce parrainage est abandonné et laisse la place à d'autres pistes de réflexion.
Ce qui est dommage, c'est que Sarko part d'une bonne idée. Le devoir de mémoire est important.
Il est regrettable qu'il ne fasse pas davantage d'étude avant de balancer ses idée à l'état brut sur la place publique.
Nous ne sommes pas de Carrare, mais d'ardoises fragiles.
Nous sommes d'origine du limon d'un fleuve maternel.
Zikaz a écrit :Ce qui est dommage, c'est que Sarko part d'une bonne idée. Le devoir de mémoire est important.
Il est regrettable qu'il ne fasse pas davantage d'étude avant de balancer ses idée à l'état brut sur la place publique.
Zikaz a écrit :Ce qui est dommage, c'est que Sarko part d'une bonne idée. Le devoir de mémoire est important.
Il est regrettable qu'il ne fasse pas davantage d'étude avant de balancer ses idée à l'état brut sur la place publique.
Ce qui est regrettable c'est que Sarko soit le Président de la République française.
Rien qu'en le disant je trouve que le personnage ne correspond pas à la fonction. J'ai même l'impression de dire une vulgarité
sco rocks a écrit :andy doit être tout fou et trouver ça génial..
ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je trouve ça génial la réplique de sarko
c'est une réponse approprié
à une réaction humaine,instantané ,adapté voire répartie au niveau intellectuel de ce bougre
l'autre lui dit (ah non, touche-moi pas, Tu me salis)pourquoi il était la alors auprès de sarko ,pour faire de la provocation surement , c'est un manque de respect envers le president,d'ailleurs quand tu n'aimes pas quelqu'un tu ne vas pas le voir pour le narguer
mais bon c'était sans doute un bon paysans qui avait surement bu un coup de trop,et qui se croyait encore dans son champ
et comme la gauche s'ennuie ça les occupes un peu , il sont tellement triste sans les vannes de sarko,et bizarrement comme des chiens en chaleur on les entends tous aboyés à qui de mieux
Les insultes de Sarkozy commencent quand le membre du public dit "touche moi pas". Pas vraiment le pire des insultes. Ce n'est seulement apres le "casse-toi" de NS que le membre du public repond "tu me salis". Mais dans tous les cas, comme tout le monde l'a dit, un President devrait etre au dessus de ca. J'aime bien les exemples de Jourdesco, qui montre que l'actuel n'a vraiment pas la carrure pour le boulot. Je crois serieusement que ceci nuit a la position de la France dans le monde, car l'actuel president doit etre la risee de ses homologues etrangers.
Un polémiste de droite pour alimenter les débats du forum, je ne partage pas forcément ses analyses mais son article a le mérite de bousculer un peu "le tout venant".
Cela ne devrait pas laisser indifférents Manosolo et Chris 49.
Entre Sarkozy et Besancenot, que reste-t-il ?
26/11/2007
L’analyse d’Eric Zemmour, grand reporter au service Politique du Figaro.
Nous sommes favorables à l’alignement des régimes spéciaux sur les quarante ans de cotisations, mais... Nous sommes partisans de l’autonomie des universités, mais... Nous sommes pour la réforme de la carte judiciaire, mais... Nous approuvons la fusion entre ANPE et Unedic et celle des services des impôts, mais... Nous ratifierons le minitraité européen, mais...
Le «oui mais» est devenu la marque de fabrique des socialistes. Jadis, l’opposition était adepte du «non, parce que». Le «oui, mais» était réservé à l’allié turbulent, comme Giscard pendant les années 1960. C’est sans doute ça, la politique moderne. Les socialistes sont d’accord sur les principes de l’action gouvernementale. Ils en contestent seulement les modalités. François Hollande reproche violemment au gouvernement de perdre deux jours pour négocier avec les syndicats de cheminots. Arnaud Montebourg affirme avec véhémence que Rachida Dati est brutale.
Les socialistes nous avaient habitués à faire leur Bad-Godesberg au pouvoir. Désormais, ils le font aussi dans l’opposition. Sur presque tous les sujets du jour, ils s’alignent sur les positions de la droite libérale. Cette tendance vient de loin. Les socialistes n’ont guère insisté à propos du scandale des ventes d’actions d’EADS ; c’étaient en effet Dominique Strauss-Kahn et Lionel Jospin qui avaient donné les clefs de l’avionneur à Jean-Luc Lagardère. Les socialistes se sont donc contentés de réclamer une moralisation des stock-options, une posture morale que pouvait reprendre à son compte la droite sarkozyste.
Ce confusionnisme idéologique a été accéléré par la campagne de Ségolène Royal. Il est rendu inéluctable à partir du moment où les dirigeants socialistes voteront le minitraité européen, qui est une reprise, dans sa quasi-intégralité, de la Constitution rejetée par référendum en 2005. La célèbre phrase de Philippe Séguin sera plus que jamais d’actualité : «Droite et gauche sont deux détaillants qui vont se fournir au même grossiste : l’Europe.»
Dans ces conditions, les socialistes d’ouverture ne sont pas des traîtres, mais des éclaireurs. Ils ne se renient pas, ils mettent en œuvre leurs convictions. D’autant plus que Nicolas Sarkozy, depuis son élection, n’a pas poussé son avantage. Il impose l’autonomie des universités, mais renonce à la sélection. Il lâche beaucoup de lest dans la négociation sur les régimes spéciaux. Il allège les contraintes du service minimum dans les transports en cas de grève. Il édulcore les mesures de restriction de l’immigration. Il tonne contre Trichet, l’euro fort, réclame la préférence communautaire, mais n’obtient rien de Bruxelles et de Berlin.
Paradoxe sarkozyste : il a été élu sur une ligne de droite populaire, un mélange savant de bonapartisme, de gaullo-pompidolisme, et une once de bushisme. Mais une fois élu, pour la politique intérieure, et plus encore pour la politique étrangère, il met ses pas dans ceux de Tony Blair, sans passer par la case Thatcher. Sa campagne accouchait d’une thématique de nation et d’ordre, qui semblait sortie des cartons du Parti républicain américain. Mais gouverne comme un président démocrate.
Cette transhumance idéologique de Sarkozy rencontre celle des dirigeants du Parti socialiste qui, sans le dire, sous la pression des intellectuels modernistes comme B.-Henri Lévy, ravaudent eux aussi leur vieille maison aux couleurs libérales du Parti démocrate américain. Tous démocrates, y compris François Bayrou, avec son MoDem ! S’ensuit uniformisation et confusion.
À la droite de Sarkozy, un espace politique alors se libère. Mais Nicolas Dupont-Aignan ou Paul-Marie Couteaux ont du mal à faire entendre leur critique souverainiste ; et le Front national est entré dans les affres de la succession du vieux chef.
À gauche, cette évolution fait le bonheur d’Olivier Besancenot. Seule personnalité charismatique à la gauche du PS. Seul à refuser l’alignement à quarante ans, ou l’autonomie des universités, ou le minitraité européen. Besancenot applique sans le savoir la maxime de Chateaubriand : s’opposer, c’est s’opposer systématiquement.
En Allemagne, on voit déjà les effets de cette évolution. Il y a quelques années, Oskar Lafontaine quittait le SPD par hostilité aux réformes libérales de Schröder. Aujourd’hui, c’est le SPD qui court après le Linksparteï de Lafontaine, et les nombreux électeurs qui l’ont rejoint.
Un Linksparteï à la française, Mélenchon l’a rêvé, Fabius aurait pu le créer après la victoire du non au référendum ; mais il n’a pas osé. Entre Sarkozy et Besancenot, il n’y a plus rien, pourraient clamer, farauds, les chantres de l’UMP, à la manière de Malraux qui, dans les années 1960, claironnait : «Entre les communistes et nous, il n’y a rien.»
À l’époque, les socialistes, et les démocrates-chrétiens (auxquels on ajoutera aujourd’hui les derniers élus communistes) cultivaient un modeste socialisme municipal. Seul Mitterrand les avait arrachés à ce prosaïsme borné. Il y a mis vingt ans.
Eric Zemmour
J'ai écouté plus d'une fois ce mec. Il n'a aucune crédibilité à mes yeux. J'ai rarement vu un mec aussi macho basant presque toute ses reflexions sur le postulat de la femme au foyer.
Il faut vraiment l'écouter pour se rendre compte de la connerie de ce type !
Pris sur wiki :
ce mec est pour l' Antilibéralisme, l'Anti-« droits-de-l'hommisme », Antiféminisme. Au moins, je lui trouve une qualité. Il ne s'en cache pas et "tente" d'argumenter autour de ses positions.
Nous ne sommes pas de Carrare, mais d'ardoises fragiles.
Nous sommes d'origine du limon d'un fleuve maternel.
Zikaz a écrit :Eric Zemmour
J'ai écouté plus d'une fois ce mec. Il n'a aucune crédibilité à mes yeux. J'ai rarement vu un mec aussi macho basant presque toute ses reflexions sur le postulat de la femme au foyer.
Il faut vraiment l'écouter pour se rendre compte de la connerie de ce type !
Pris sur wiki :
ce mec est pour l' Antilibéralisme, l'Anti-« droits-de-l'hommisme », Antiféminisme. Au moins, je lui trouve une qualité. Il ne s'en cache pas et "tente" d'argumenter autour de ses positions.
Cela étant, vous ne réagissez pas sur le fond de l'article (en réalité un édito) qui s'appuie -ne vous en déplaise- sur un point de vue précis (Quelle est la posture politique des socialistes français aujourd'hui ?)
Je précise que pour ma part, je ne partage pas vraiment l'analyse de Zeimour.( un peu binaire selon moi mais c'est toujours le risque d'un édito).
La prochaine fois, je vous balancerai ses théories sur 68 ou le féminisme, histoire de vous tourmenter un peu plus !
Pour la première fois depuis des semaines, un sondage annonce une remontée de deux points de la popularité du président, 41% des Français étant favorables à son action.
Pour la première fois depuis des semaines, Nicolas Sarkozy voit sa popularité remonter, avec 2 points de plus d'opinions "favorables" sur son action (41% en mars, contre 39% en février), selon le baromètre Ipsos-Le Point à paraître jeudi mais dont les résultats ont été publiés lundi 3 mars.
chose promise...voici donc l'edito évoqué plus haut
Nicolas Sarkozy ou le soixante-huitard malgré lui
Eric Zemmour
En finir avec l’esprit de Mai 68. Nicolas Sarkozy avait achevé sa campagne électorale sur cette promesse. Il adoptait alors une posture gaullo-pompidolienne autour de l’ordre, l’effort et la patrie, tandis que Ségolène Royal rassemblait ses partisans à Charléty. Back to the future…
Six mois plus tard, Mai 68 est partout, presque obsessionnel. Jusque dans l’usage du mot Grenelle, mis à toutes les sauces, même par l’Américain Al Gore. Pour l’environnement d’abord, autre héritage du mois de mai. C’est en effet au sein des groupuscules soixante-huitards que s’opéra la grande transmutation d’une idée portée jadis par la droite réactionnaire, la protection de la nature, en une thématique d’extrême gauche : l’écologie. Quarante ans plus tard, on retrouve la même utopie de la croissance zéro, alors que le monde – Union européenne, Chine, Inde, Russie, Brésil, etc. – croît et pollue à un rythme vertigineux. Habilement, la majorité sarkozyste a chevauché à cru ce cheval si moderne, si flatteur médiatiquement, recherchant à tout prix le consensus, tout en sanctuarisant le nucléaire, jadis abcès de fixation majeur. Il est vrai que cette opération de canalisation efficace des idées de Mai 68 n’a pu réussir que sur les décombres de l’expression politique de l’écologie – les Verts nés dans les années 1980 – tandis que cette mouvance en revenait à l’anomie associative des années 1960.
Mais Nicolas Sarkozy ne s’en tire pas toujours à si bon compte. Lors de l’examen de la loi sur l’immigration, le feu a pris autour de l’ADN. Un incendie soudain et passionnel, qui relevait davantage du phantasme historique que de l’argumentation rationnelle. On invoqua l’eugénisme, les nazis, même le sénateur Charles Pasqua crut revenu le temps de sa jeunesse, en 1944. On rejoua l’éternel tube de Mai 68 : CRS-SS. La Seconde Guerre mondiale, comme horizon indépassable, l’État républicain assimilé jusqu’à la nausée au régime hitlérien, le ministre Hortefeux contraint de vider l’amendement de sa substance et de son intérêt.
Enfin, Cécilia vint. Et Mai 68 vainquit. Le personnage de la « femme libre », exaltée par les journaux féminins, une sorte de Madame Bovary qui préfère le divorce au suicide, est typiquement issu de l’univers légué par le féminisme post-soixante-huitard. Jamais une première dame de France n’aurait dit, à propos des exigences de sa position : « Ça me rase », même lorsque, pour Mmes Pompidou ou Giscard d’Estaing, c’était le cas. Un rien de respect et de patriotisme peut-être les retenait. Jamais un président de la République n’avait divorcé depuis… Napoléon. D’ailleurs, cette période historique du Directoire, celle des incroyables et des merveilleuses – au cours de laquelle Bonaparte rencontra Joséphine – n’est pas sans analogie avec celle ouverte par Mai 68.
Pendant la campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy avait vilipendé 68 comme matrice du capitalisme le plus immoral. Son propos avait étonné. Pourtant, il reprenait là une thèse devenue classique selon laquelle les libertaires de Mai 68, en détruisant la famille, le mariage, l’État, la nation, la culture classique, avaient livré l’individu atomisé à la domination absolue du marché.
Le paradoxe n’était pas là, mais plutôt, comme le note Jean-Claude Michéa, dans son dernier livre, L’Empire du moindre mal, « dans cette droite incohérente qui vénère le marché tout en vomissant la culture qu’il génère ». Comme si Nicolas Sarkozy résumait en sa personne toutes les contradictions de la droite française. Comme s’il incarnait, selon le mot de Régis Debray, « l’esprit du temps sur Nike ».
Puis, il y eut L’Arche de Zoé. Fille indigne du droit d’ingérence du docteur Kouchner, inauguré pendant la guerre du Biafra en… 1967. Pour sauver un être humain, et plus encore un enfant, tout est permis, les souverainetés des États ne doivent plus être respectées, avait décrété Kouchner ; principe mis en application par le gourou de L’Arche de Zoé, et même étendu jusqu’aux parents eux-mêmes sommés de s’effacer. Ce néocolonialisme humanitaire, qui prouve une fois encore, selon le mot de Chesterton, que « le monde est plein d’idées chrétiennes devenues folles » , a laissé sans voix son père spirituel, le ministre des Affaires étrangères, B. Kouchner.
C’est tout le paradoxe de Nicolas Sarkozy. Élu pour éradiquer l’esprit de Mai 68, après avoir eu des mots très durs pour les « droits-de-l’hommistes », il installa au Quai d’Orsay un de ses représentants les plus flamboyants, après avoir espéré – en vain, comme nous l’apprend le dernier livre de B.-Henri Lévy – le soutien de son intellectuel le plus médiatique.
Vieille histoire française. Dans les Mémoires d’outre-tombe, Chateaubriand raconte quelle ne fut pas sa surprise à la Restauration de voir les anciens Conventionnels, jacobins blanchis sous le harnais impérial, tenir le haut du pavé du nouveau régime. L’ouverture déjà. Et, la semaine dernière, les étudiants appelaient à bloquer les gares, afin de rejoindre les travailleurs en lutte. Souvenirs, souvenirs…
Bon et puis comme Manosolo est sympa, la prochaine fois, ça sera un spécial Besancenot.
Y'en aura pour tout le monde, Zemmour c'est comme Blier dans les Tontons Flingueurs, ça disperse dans tous les sens avec la puissance de feu d'un croiseur.
manosolo49 a écrit :Sauf que je vois pas l'intérêt de mettre plein de textes comme ça. Si tout le monde fait ça, le topic devient illisible et perd de son intérêt.
J'essaie de rendre les post lisibles sur la forme mais je conviens avec toi qu'il ne faut pas abuser du procédé.
Sur le fond, je trouve les positions de tel ou tel auteur toujours intéressante à évoquer.
Je préfère copier-coller un texte pour en débattre sur le forum, plutôt que de mal le rapporter par mon interprétation.
Pour que cela reste lisible, je pourrais couper certains passages mais cela peut déformer le propos de l'auteur en faisant fi du contexte. Donc je me contente de souligner certaines phrases clés...avec le risque d'alourdir la page.
Mais quand on raccourcit trop, on ne discute plus, on argumente moins et les posts se limitent à des échanges de slogans ou de postures péremptoires. Je sais que l'air du temps est au zapping des idées mais je ne suis pas adepte.
Pas facile d'équilibrer tout ça, c'est vrai Manosolo.
Il y a un article dans le Figaro de vendredi qui nous fait remarquer ô combien, les temps sont durs.
retraite moyenne pour les femmes de 60 à 85 ans 750€, pour les hommes 1535€ foyer fiscal 2285€ toutes carrières confondues (il faut comprendre avec ou sans le nombre de trimestre pour prétendre a une retraites pleines)
Ces chiffres s'entendent hors pension de reversion et bonus pour enfant bien sur.
Mais il s'agit d'une moyenne!!
Les catégories d'age nous donnent plus d'éléments
Pour les femmes à 85 ans la retraite est de 601€, à 64 ans de 1073 € pour toutes carrières confondues.
Pour les hommes à 85 ans 1452€, et à 64 ans 1603€ carrières confondues
Foyers fiscal moyen à 85 ans 2053€
Foyers fiscal moyen à 64 ans 2676€
les catégories d'ages sont 60-64ans, 64-69ans, 69-74ans, 74-79ans, 79-84ans, 85et+.
Les progressions de retraites d'une catégorie a l'autre sont respectivement de : +4%, +6%, +6%, +13.5% et de 34% pour les 60-64ans
bizarre non!
Pour les hommes cela fait des progressions plus mitigés entre les catégories de 85 ans à 84ans +4% puis de 84 à 79ans 0% puis 0% puis de 70 à 65 +5% et de 65 à 60ans 0%!!!bizarre non
Pour les 2 bizarreries, il y a une explication pour les femmes elles ont plus de trimestre (30 glorieuses) travaillé et pour les hommes de 60 ans bcp se sont parmi de partir en vacances définitive car ils en avaient assez de travailler!! et aussi assez ammassé dans leur poche avec en bonus les primes de départ et autre retraites anticipés...
Pour les retraites pleines le spectacle est encore plus grandiose
la moyenne des femmes est de 1006€ et de 1600€ pour les hommes soit 2606€ en moyenne pour le foyers.
Mais comble de malchance!!il y a deux cases non renseignées, ce sont les retraites que touchent les 60-64 ans chez les hommes, mais aussi chez les femmes!!!!bizarre non
On peut donc supposer que les 2606€ de moyenne sont allègrement plus en réalité!!
Il y a des disparités me direz vous. Certes, mais n'y en aura t-il pas plus encore pour nous? Et ne serait-ce pas normal que la génération dorée se prennent enfin en charge et comble un peu les miséreux, plutôt que de faire payer ceux qui voudrait travailler plus pour gagner plus, et non cotiser plus!!
Les effectifs de retraités augmentent, mais la moyenne de leurs revenus augmentent aussi!!Ce doit être le niveau de vie des français, ce doit être la tendance générale!!
On apprend aussi que ces chiffres (qui se lisent hors pension de reversion et bonus pour enfants), sont à augmenter de 15%, quand on y impute les revenus du patrimoine et des loyers "économisés" car cette population est propriètaire.
La moyenne fiscal (hors babys boom) est alors de 3000€ par mois.
On peut donc comprendre pourquoi ils sont dans la rue pour pester après la revalorisation des retraites en 2008 qu'ils jugent inssuffisante!!
Mais quand va t-on arrêter de les gaver!! le babyboom est un boulet national
sanders a écrit :Il y a un article dans le Figaro de vendredi qui nous fait remarquer ô combien, les temps sont durs.
retraite moyenne pour les femmes de 60 à 85 ans 750€, pour les hommes 1535€ foyer fiscal 2285€ toutes carrières confondues (il faut comprendre avec ou sans le nombre de trimestre pour prétendre a une retraites pleines)
Ces chiffres s'entendent hors pension de reversion et bonus pour enfant bien sur.
Mais il s'agit d'une moyenne!!
Les catégories d'age nous donnent plus d'éléments
Pour les femmes à 85 ans la retraite est de 601€, à 64 ans de 1073 € pour toutes carrières confondues.
Pour les hommes à 85 ans 1452€, et à 64 ans 1603€ carrières confondues
Foyers fiscal moyen à 85 ans 2053€
Foyers fiscal moyen à 64 ans 2676€
les catégories d'ages sont 60-64ans, 64-69ans, 69-74ans, 74-79ans, 79-84ans, 85et+.
Les progressions de retraites d'une catégorie a l'autre sont respectivement de : +4%, +6%, +6%, +13.5% et de 34% pour les 60-64ans
bizarre non!
Pour les hommes cela fait des progressions plus mitigés entre les catégories de 85 ans à 84ans +4% puis de 84 à 79ans 0% puis 0% puis de 70 à 65 +5% et de 65 à 60ans 0%!!!bizarre non
Pour les 2 bizarreries, il y a une explication pour les femmes elles ont plus de trimestre (30 glorieuses) travaillé et pour les hommes de 60 ans bcp se sont parmi de partir en vacances définitive car ils en avaient assez de travailler!! et aussi assez ammassé dans leur poche avec en bonus les primes de départ et autre retraites anticipés...
Pour les retraites pleines le spectacle est encore plus grandiose
la moyenne des femmes est de 1006€ et de 1600€ pour les hommes soit 2606€ en moyenne pour le foyers.
Mais comble de malchance!!il y a deux cases non renseignées, ce sont les retraites que touchent les 60-64 ans chez les hommes, mais aussi chez les femmes!!!!bizarre non
On peut donc supposer que les 2606€ de moyenne sont allègrement plus en réalité!!
Il y a des disparités me direz vous. Certes, mais n'y en aura t-il pas plus encore pour nous? Et ne serait-ce pas normal que la génération dorée se prennent enfin en charge et comble un peu les miséreux, plutôt que de faire payer ceux qui voudrait travailler plus pour gagner plus, et non cotiser plus!!
Les effectifs de retraités augmentent, mais la moyenne de leurs revenus augmentent aussi!!Ce doit être le niveau de vie des français, ce doit être la tendance générale!!
On apprend aussi que ces chiffres (qui se lisent hors pension de reversion et bonus pour enfants), sont à augmenter de 15%, quand on y impute les revenus du patrimoine et des loyers "économisés" car cette population est propriètaire.
La moyenne fiscal (hors babys boom) est alors de 3000€ par mois.
On peut donc comprendre pourquoi ils sont dans la rue pour pester après la revalorisation des retraites en 2008 qu'ils jugent inssuffisante!!
Mais quand va t-on arrêter de les gaver!! le babyboom est un boulet national
J'aimerais bien les avoir les 2606 euros dans mon foyer. C'est très loin d'être le cas.
sanders a écrit :Il y a un article dans le Figaro de vendredi qui nous fait remarquer ô combien, les temps sont durs.
retraite moyenne pour les femmes de 60 à 85 ans 750€, pour les hommes 1535€ foyer fiscal 2285€ toutes carrières confondues (il faut comprendre avec ou sans le nombre de trimestre pour prétendre a une retraites pleines)
Ces chiffres s'entendent hors pension de reversion et bonus pour enfant bien sur.
Mais il s'agit d'une moyenne!!
Les catégories d'age nous donnent plus d'éléments
Pour les femmes à 85 ans la retraite est de 601€, à 64 ans de 1073 € pour toutes carrières confondues.
Pour les hommes à 85 ans 1452€, et à 64 ans 1603€ carrières confondues
Foyers fiscal moyen à 85 ans 2053€
Foyers fiscal moyen à 64 ans 2676€
les catégories d'ages sont 60-64ans, 64-69ans, 69-74ans, 74-79ans, 79-84ans, 85et+.
Les progressions de retraites d'une catégorie a l'autre sont respectivement de : +4%, +6%, +6%, +13.5% et de 34% pour les 60-64ans
bizarre non!
Pour les hommes cela fait des progressions plus mitigés entre les catégories de 85 ans à 84ans +4% puis de 84 à 79ans 0% puis 0% puis de 70 à 65 +5% et de 65 à 60ans 0%!!!bizarre non
Pour les 2 bizarreries, il y a une explication pour les femmes elles ont plus de trimestre (30 glorieuses) travaillé et pour les hommes de 60 ans bcp se sont parmi de partir en vacances définitive car ils en avaient assez de travailler!! et aussi assez ammassé dans leur poche avec en bonus les primes de départ et autre retraites anticipés...
Pour les retraites pleines le spectacle est encore plus grandiose
la moyenne des femmes est de 1006€ et de 1600€ pour les hommes soit 2606€ en moyenne pour le foyers.
Mais comble de malchance!!il y a deux cases non renseignées, ce sont les retraites que touchent les 60-64 ans chez les hommes, mais aussi chez les femmes!!!!bizarre non
On peut donc supposer que les 2606€ de moyenne sont allègrement plus en réalité!!
Il y a des disparités me direz vous. Certes, mais n'y en aura t-il pas plus encore pour nous? Et ne serait-ce pas normal que la génération dorée se prennent enfin en charge et comble un peu les miséreux, plutôt que de faire payer ceux qui voudrait travailler plus pour gagner plus, et non cotiser plus!!
Les effectifs de retraités augmentent, mais la moyenne de leurs revenus augmentent aussi!!Ce doit être le niveau de vie des français, ce doit être la tendance générale!!
On apprend aussi que ces chiffres (qui se lisent hors pension de reversion et bonus pour enfants), sont à augmenter de 15%, quand on y impute les revenus du patrimoine et des loyers "économisés" car cette population est propriètaire.
La moyenne fiscal (hors babys boom) est alors de 3000€ par mois.
On peut donc comprendre pourquoi ils sont dans la rue pour pester après la revalorisation des retraites en 2008 qu'ils jugent inssuffisante!!
Mais quand va t-on arrêter de les gaver!! le babyboom est un boulet national
J'aimerais bien les avoir les 2606 euros dans mon foyer. C'est très loin d'être le cas.
Enfin au moins 3000€ tu veux dire tout bien compté et encore moins les deductions fiscales et autres avantages...
manosolo49 a écrit :Sanders, en, gros, tu repproches à des personnes d'être nés pendant le baby boom?
Non il n'y sont pour rien, mes reproches, je les adresse aux gourvernements successifs en quête de pouvoir et de séduction auprès de cet electorat de masse, par conséquent a qui ont a tout donné, en présentant la note aux générations suivante!!
Le repproche que je leur fais maintenant, c'est d'être en greve pour une revalo, je crois que cela devient indescant.
Toi qui parle de partage de travail, comment se fait-il que tu n'es pas de commentaite à faire sur cette génération qui travaille à la carte!!
manosolo49 a écrit :Sanders, en, gros, tu repproches à des personnes d'être nés pendant le baby boom?
Non il n'y sont pour rien, mes reproches, je les adresse aux gourvernements successifs en quête de pouvoir et de séduction auprès de cet electorat de masse, par conséquent a qui ont a tout donné, en présentant la note aux générations suivante!!
Le repproche que je leur fais maintenant, c'est d'être en greve pour une revalo, je crois que cela devient indescant.
Toi qui parle de partage de travail, comment se fait-il que tu n'es pas de commentaite à faire sur cette génération qui travaille à la carte!!
Je n'ai pas répondu car je ne comprends pas ta question. Tu cibles tes attaques sur une génération. Le problème n'est à mon avis pas là du tout. Il y a des retraites qui sont dérisoires. Le minimum vieillesse c'est 650€ par mois, comment vivre avec ça? De plus l'allongement de la durée de cotisation n'a pas incité les gens à travailler plus longtemps, ils partent toujours à peu près aux même ages (aux alentours de 57 ans) en retraite mais avec une retraite moins importante.
Ma question est simple
il y a ceux qui sont partis et ceux qui restent, mais à ton avis, ceux qui restent sont ceux qui souffrent au travail?? puisque tu dis toi même que l'incitation ne marche pas!!
Je veux donc savoir ce que tu penses de ceux qui detiennent les postes clés et qui souvent travaillent avec un agenda à la carte, et qui bloquent l'ascenseur!!
je suis en partie d'accord avec sanders sur la génération dorée du baby boom, qui a, je trouve, grillé beaucoup de cartouches sans trop penser aux lendemains... Au niveau de l'écologie et du libéralisme notamment.. Mais ceux dont on parle ne sont pas à 650 E de retraite par mois...
C'est assez difficile d'en parler je trouve...
manosolo49 a écrit : Le minimum vieillesse c'est 650€ par mois, comment vivre avec ça? De plus l'allongement de la durée de cotisation n'a pas incité les gens à travailler plus longtemps, ils partent toujours à peu près aux même ages (aux alentours de 57 ans) en retraite mais avec une retraite moins importante.
manosolo49 a écrit :En gros tu estimes qu'il y en a qui ont de bons postes qu'ils ne veulent pas lâcher? Qu'ils ne veulent pas laisser la place aux jeunes?
çà me parait clair non? Tu dois donc avoir une petite idée là dessus puisque tu prône le partage des richesses et du temps de travail...
xafer07 a écrit :Il y a une minorité de retraités qui vivent avec 650€ par mois, on peut penser à eux, même s'il y a une majorité qui vit décemment.
Je pense tout de même qu'il y a plus de retraités pauvres que l'on ne croit dans les campagnes profondes par exemple mais ces derniers vivent humblement comme ils ont toujours vécu, c'est-à-dire se privant de pas mal de choses mais sans jamais se plaindre...
Mais il est vrai qu'une grande partie vie bien voir très bien...
Un remaniement dès le 18 mars ?
Le remaniement aura "sûrement lieu avant le conseil des ministres" suivant le second tour des municipales, confie-t-on à l’Elysée. Panorama des changements prévus ou possibles.
Le remaniement aura "sûrement lieu avant le conseil des ministres", confie-t-on à l’Elysée. Donc, vraisemblablement le mardi suivant le deuxième tour des élections municipales, soit le 18 mars. Le 6 mars 2008, dans le Figaro Nicolas Sarkozy avait affirmé qu’il n’y aurait pas de "grand remaniement". Il y a deux raisons à cela. Un, nombre de ministres sont en plein au milieu du gué, notamment en ce qui concerne la révision des politiques publiques. Deux dans le cadre de la présidence française de l’Union européenne, chaque ministre reçoit ses homologues dans sa région. Les agendas ont été calés, les hôtels réservés… Il semble donc difficile, à la fois en terme d’image et compte tenu de ces contingences de trop bouleverser l’architecture du gouvernement.
Pour lancer les grands chantiers prévus en 2008, le chef de l’Etat voudrait conserver les poids lourds de son équipe. Christine Lagarde, Jean-Louis Borloo, Michèle Alliot-Marie, Xavier Bertrand. Ce dernier récupérant les questions d’emploi. La ministre des Finances n’ayant pas réussi à bien communiquer sur la baisse du chômage. Interrogation concernant Rachida Dati. Il avait été envisagé de la propulser dans un autre ministère, compte tenu du mauvais climat à la Justice, mais ce changement peut attendre le grand remaniement que le chef de l’Etat envisage après la présidence française de l'UE.
Suspens concernant la nomination de Claude Allègre à la tête d’une sorte de Miti, regroupant la Recherche, l’Enseignement supérieur et l’Industrie. "En cas de bérézina au second tour des municipales, en gros si on perd Marseille, Toulouse et une vingtaine de villes, les députés UMP seront très remontés et ce sera difficile d’imposer un nouveau ministre d’ouverture", pronostique un conseiller du président de l’Assemblée nationale. "Il n’y aura pas de problème en cas de nomination d’Allègre", tempère-t-on au siège de l’UMP, dans l’entourage de Patrick Devedjian,
Si l’ancien ministre de Jospin entre au gouvernement, il est probable qu’Hervé Novelli, secrétaire d’Etat aux Entreprises et au Commerce extérieur, lui , perdra son portefeuille. "De toutes façons, il est fait pour réfléchir, impulser des idées, il n’est pas fait pour être ministre, il ne sait pas se mettre en avant", commente un proche de Nicolas Sarkozy.
L’entrée d’Allègre poserait un problème épineux : que faire de Valérie Pécresse considérée comme l’une des femmes les plus compétentes du gouvernement. Si elle n’a pas entièrement convaincu le président sur les questions de la recherche et de l’enseignement, elle est réputée excellente sur les questions sociales, sur la Santé. D’où l’idée de faire un switch avec Roselyne Bachelot qui, elle, serait nommée à la Culture, Christine Albanel étant jugée trop terne pour ce poste où il est bon de savoir vibrionner.
Exit l’idée de faire entrer Philippe de Villiers. Il ne représente pas une force de nuisance, à l’inverse de Christine Boutin, si elle était renvoyée du gouvernement ! Dilemme. Et d’une manière générale, le chef de l’Etat cherche des femmes désespérément. On parle beaucoup de l’entrée de Marie-Jo Zimmermann, député de Moselle, une lorraine très… à droite. Elle est jugée plus fiable que Nadine Morano et permettrait de donner des gages aux conservateurs de l’UMP.
Côté hommes, le président voudrait promouvoir des jeunes, pour préparer la relève. Il est beaucoup question de Frédécric Lefèbvre, l’ancien attaché parlementaire de Nicolas Sarkozy devenu député des Hauts-de-Seine, qui s’est positionné sur les questions économiques. On parle également de Thierry Solère, responsable de la fédération numérique de l’UMP, pour s’occuper des nouvelles technologies. Et puis il faudra pourvoir le maroquin abandonné par Christian Estrosi qui a promis de se consacrer à Nice.
Deux autres ministres font débat. Michel Barnier, à l’Agriculture, jugé insuffisamment présent. Et à la défense, Hervé Morin. Si le président s’en séparait, il lui faudrait alors nommer un autre ministre incarnant le Nouveau Centre. On parlait beaucoup, avant les municipales, de l’ancien bras droit de François Bayrou , Michel Mercier, sénateur, président du conseil général du Rhône, qui a démissionné du Modem, car il représentait un atout pour conquérir Lyon. Lyon étant perdu, Mercier n’est plus indispensable ! Morin se dit serein