la presse: O.F.- le C.O.- la N.R. et autres

[La Roulette]

Apparemment, dans le OF d'hier, il y a des échos dans lesquels il y ait indiqué l'action du KDLB en début de mathc pour afficher son mécontentement sur l'évolution des prix à Jean-Bouin... Qqun pourrait-il mettre ses échos en ligne?? Merci

[scopunchy]

Humeur "FCNA 108€, Sco 90-130€ : prix de L1 pour club de L2". Les supporters angevins semblent avoir très modérément apprécié la hausse substancielle des tarifs du Sco cette saison. Ils l'ont fait savoir par le biais d'une banderolle très conséquente.

[xafer07]

Humeur "FCNA 108€, Sco 90-130€ : prix de L1 pour club de L2". Les supporters angevins semblent avoir très modérément apprécié la hausse substancielle des tarifs du Sco cette saison. Ils l'ont fait savoir par le biais d'une banderolle très conséquente.

C'était dans un journal, ça ?

[scomino]

L'article du Lundi 16 Août 2004 par Thomas LAVAUD. <Football : Mickaël Tacalfred, le désormais Dijonnais> Mickaël Tacalfred, l'ancien défenseur du Sco Angers, aujourd'hui à Dijon, retrouvera son club précédent mardi soir. Georges Mesnager

[manu49]

Un manque de punch offensif ( 16/08/2004 ) Pour la première apparition d’Angers SCO à domicile cette saison, les presque 7.000 spectateurs réunis au stade Jean-Bouin vendredi soir ont eu droit à un match de L2 « à l’ancienne ». Montpellier a imposé sa puissance physique et son « métier » à des Angevins dépourvus de maîtrise collective du jeu et mentalement trop friables, à l’image d’un Habibou Traoré vite expulsé, pour laisser ses camarades à dix contre onze pendant plus de 70 minutes. Après le « rouge » de Kerhuiel à Châteauroux, le SCO n’a donc pas encore réussi à terminer un match au complet ! Et comme Pascal Bédrossian a dû sortir lui aussi prématurément, victime d’une blessure à la cheville, il est difficile de jauger le véritable potentiel d’un groupe perfectible auquel il manque un attaquant expérimenté. Car pour l’heure, Ludwig Norbert – qui a eu du mal à maîtriser ses nerfs face à Montpellier et a frôlé l’expulsion – peine à retrouver son « rendement » de la fin de saison dernière. Quant au jeune Kasso (20 ans), il n’est pas apparu très convaincant. Il a d’ailleurs été remplacé par Mickael Brisset qui, s’il n’a pas plus réussi à trouver la faille, a au moins fait preuve de plus de volonté. Un Argentin à l’essai Bref, si la défense angevine n’inquiète pas trop en dépit du but « casquette » encaissé ce vendredi, car elle retrouvera bientôt Kerhuiel et Grimaldi, l’animation offensive pose problème. Le club est d’ailleurs à la recherche d’un renfort et a mis à l’essai, hier lors d’un match amical disputé par sa formation réserve, l’attaquant argentin Caneira (24 ans). « Il va vite falloir trouver des solutions car l’abnégation et le courage ne peuvent pas suffire », insiste Thierry Cygan, capitaine face à Montpellier. « Heureusement, notre déplacement, mardi, à Dijon va vite arriver et nous évitera de gamberger. » Battu à Laval en ouverture du championnat (2-1), le promu bourguignon s’est repris en décrochant un joli nul à Troyes (2-2), après avoir mené au score sur la pelouse du stade de l’Aube. Demain soir, le nouveau club d’un certain Mickael Tacalfred disputera son premier match à domicile de la saison. Avec, on s’en doute, la volonté de décrocher les trois points. Si les Angevins parviennent à relever ce défi, ils pourront aborder avec plus de sérénité la réception de Troyes vendredi prochain à Jean-Bouin. L’an passé, le décollage poussif du SCO l’avait contraint à batailler en queue de classement durant toute la saison. Une leçon à ne pas oublier ! Christophe GENDRY - HANOUNA N’EST PLUS LA. – Nommé manager général du SCO au mois de juin par le président Norbert, Mickaël Hanouna ne figure plus aujourd’hui dans l’organigramme du club. L’intéressé est injoignable et le club n’a pas communiqué sur le sujet. Les raisons de ce départ restent donc, pour l’heure, obscures. © Copyright La Nouvelle République 2004

[manu49]

Caristan, des pointes aux crampons (17/08/2004 ) L’ancien champion d’Europe du 110 m haies s’occupe désormais de la préparation physique et mentale des footballeurs professionnels d’Angers SCO. Ce qui ne l’empêchera pas d’être consultant pour Eurosport lors des épreuves d’athlétisme des JO, à partir de mercredi. Il n’a pas fallu longtemps à Stéphane Caristan pour se décider à changer de vie… et de métier. Quelques jours après son premier contact avec Patrick Norbert, le président du SCO, l’ancien champion d’Europe du 110 m haies – c’était en 1986, en 13’’20 à Stuttgart – posait ses valises sur le bord de la Maine, pour prendre en charge la préparation physique et mentale des footballeurs professionnels du club angevin. En laissant derrière lui son job de cadre technique à la Fédération française d’athlétisme et le groupe d’entraînement qu’il animait, à Créteil. Fonctionnaire, il a obtenu une mise en disponibilité pour signer un contrat de deux ans. « Je n’ai pas hésité car depuis un moment, je cherchais à intégrer une structure professionnelle, explique-t-il. J’aurais pu tout aussi bien rejoindre un club de basket ou de handball, voire travailler auprès d’un joueur de tennis. Cela dit, le football est un sport que j’ai toujours suivi de près. » En collaboration avec l’entraîneur principal du SCO, le Suisse Roberto Morinini, Stéphane Caristan a mis en place un programme de préparation pointu, basé sur la VMA (Volume maximal aérobie) et sur la capacité lactique, avec des sprints cours répétés dans le temps, sans trop de récupération. Une méthode inhabituelle pour des joueurs qui rechignent parfois à travailler sans ballon. « Je me suis rendu compte que les footballeurs n’ont pas connu l’apprentissage de la douleur et qu’ils manquent de culture de l’effort, confie Caristan. J’essaie de leur inculquer ces notions et ce sont surtout les plus de 26 ou 27 ans qui se montrent réceptifs. Les autres pensent avant tout au jeu. » Reste que tout le monde est bien obligé d’enfiler le « bleu de chauffe » lors des rudes séances de préparation foncière du début de semaine, la charge de travail physique diminuant à l’approche du match. Des efforts qui semblent porter leurs fruits : vendredi dernier, à 10 contre 11 pendant près de soixante-dix minutes, les Angevins n’ont pas connu de « coup de pompe » en dépit de leur infériorité numérique. A Angers Sébastien Thibault sert de guide à son ancien coéquipier de l’équipe de France À partir de mercredi soir et pendant une dizaine de jours, ils vont devoir allumer leur poste de télévision pour entendre leur mentor. Au lendemain du match de Dijon, Stéphane Caristan va, en effet, mettre le cap sur Athènes pour rejoindre la délégation de la chaîne thématique Eurosport, non sans avoir laissé des consignes précises à respecter en son absence. « Cela fait douze ans que je suis consultant TV pour les épreuves d’athlétisme et il est prévu que je conserve cette activité », explique l’ancien hurdler qui sera un fervent supporter des athlètes tricolores. « Dans la foulée des championnats du monde de Paris, trois ou quatre médailles sont envisageables. » Les JO seront-ils « propres » à son avis, lui qui a tant pourfendu le dopage au cours de sa carrière, quitte à faire grincer quelques dents ? « Les choses sont en train de changer, répond-t-il. Sur ce sujet, j’ai eu quatre ans d’avance en dénonçant haut et fort des pratiques délictueuses. J’ai dit tout haut ce que beaucoup pensaient tout bas et les événements m’ont donné raison. Je pense en particulier à Kenteris. J’avais affirmé que son forfait l’an passé à Paris n’était pas anodin… » À la fin du mois, Stéphane Caristan sera de retour à Angers où il organisera son déménagement définitif. Il peut compter sur les services d’un bon guide pour réussir son adaptation en Anjou : son ami et ancien coéquipier de l’équipe de France, le Bellopratain Sébastien Thibault, autre grand spécialiste du 110 m haies qui réside à Angers. Le monde de l’athlétisme est petit ! Christophe GENDRY © Copyright La Nouvelle République 2004

[manu49]

Angers SCO en appel ( 17/08/2004 ) Parti au petit trot dans le championnat, avec un match nul à Châteauroux puis une défaite à domicile contre Montpellier, Angers SCO a désormais besoin d’une victoire pour lancer sa saison sur de bonnes bases. Dijon-Angers SCO, ce soir à 20 h. « On a coutume de dire que la compétition est longue, mais j’estime que les points pris en début de parcours sont très importants pour la suite », confirme Roberto Morinini. Il en va aussi de la crédibilité du technicien suisse, qu’une série de mauvais résultats ne manquerait pas de fragiliser. En Bourgogne, ses joueurs vont affronter un promu qui a trébuché d’entrée à Laval, avant de se reprendre sur la pelouse de Troyes vendredi dernier (2-2). Ce mardi, on peut compter sur la combativité de l’ex-Angevin Mickaël Tacalfred et de ses camarades, forcément motivés pour leurs débuts à domicile. « Les équipes qui viennent de monter restent souvent sur la dynamique de la fin de saison précédente, prévient Morinini. Lors de leurs premiers matches, elles sont dangereuses et difficiles à manœuvrer. À la longue, certaines limites peuvent apparaître mais dans l’immédiat, nous allons avoir affaire à un adversaire qui fera preuve, devant son public, de beaucoup d’enthousiasme. » Kerhuiel et Grigulo de retour De l’enthousiasme, les Angevins en ont manqué face à Montpellier, du moins pendant la première demi-heure selon leur coach. Il attend, cette fois-ci, que ses protégés mordent dans le match sans la moindre retenue. « Nous devrons, sans attendre, gagner des duels et soigner l’animation du jeu », annonce-t-il. L’expulsion de Traoré, automatiquement suspendu ce soir, mais aussi la blessure à la cheville de Bedrossian l’ont contraint à revoir l’organisation au milieu de terrain. Libéré en défense par le retour de Gilles Kerhuiel, Thierry Cygan montera d’un cran pour jouer un rôle d’organisateur qui lui avait plutôt réussi au printemps dernier. Il sera associé à Grigulo, préféré à Djellabi qui se contentera pour sa part d’un strapontin de remplaçant. En attaque, on retrouvera le tandem Ludwig Norbert-Franck Kasso, qui sera en appel après sa décevante prestation de vendredi dernier. « Devant, il nous manque un joueur puissant et rapide, estime Roberto Morinini. Avec le président Norbert, nous en sommes conscients et nous cherchons à nous renforcer dans les meilleurs délais. » La perle rare ne sera sans doute pas l’Argentin Caneira, mis à l’essai dimanche lors d’un match amical de la réserve. En revanche, le milieu de terrain Marko Filipovic devrait bientôt s’engager avec le SCO. C.G. Les équipes Angers SCO : Lachuer, Dussart, Kerhuiel, Kipré, Akouassaga, Guillaume Norbert, Grigulo, Cygan, Assous, Kasso, Ludwig Norbert. Remplaçants : Lucas (g), Grimaldi, Sonnerat, Djellabi, Brisset. Entraîneur : Roberto Morinini. Dijon : Mouko, Tacalfred, Ba, Braud, Kajima, Grégoire, Larcier, Livramento, Esteves, Laurent, Heitzmann. Remplaçants : Cappone (g), Masson, Benon, Mangione, Diers. Entraîneur : Rudi Garcia. Copyright La Nouvelle République 2004

[manu49]

Infos diverses ( 17/08/2004 ) Dernière journée : 26 buts, 25 buteurs ; 39 cartons jaunes, 2 cartons rouges ; 3 victoires à domicile, 6 victoires à l’extérieur, 1 nul. Meilleurs buteurs : 1. Malm (Grenoble), Dagano (Guingamp), Nivet (Troyes), 3 ; 4. Boulanger, Dissa (Brest), Ab. Cissé, Mansaré (Montpellier), Kroupi (Nancy), S. Michel (Niort), Diané (Reims), Grax (Troyes), 2 ; 12. Kamata, Carole (Châteauroux), 1. Quarante-neuf joueurs classés. Répartition des buts : 1èmer quart d’heure, 6 buts ; 2ème, 3 buts ; 3ème, 3 buts ; 4ème, 3 buts ; 5ème, 5 buts ; 6ème ; 6 buts. Classement du fair-play : 1. Guingamp (0 J, 0 R) ; 2. Niort, Clermont (1 J, 0 R) ; 4. Troyes, Grenoble, Brest (2 J, 0 R) ; 7. Nancy, Lorient, Le Havre, Châteauroux, Sedan (3 J, 0 R) ; 20. Angers (8 J, 2 R). © Copyright La Nouvelle République 2004

[scomino]

L'article du Mardi 17 Août 2004 par Thomas LAVAUD. <Football : Angers espère trouver un juste équilibre Ligue 2 : Dijon FCO - Angers Sco, ce soir, 20 h, stade Gaston-Gérard> Cristiano Grigulo pourrait retrouver le flanc gauche du milieu de terrain d'Angers Sco. Georges Mesnager

[manu49]

LIGUE 2 (3e JOURNÉE) - LE DFCO RECOIT ANGERS Seul le cachet de la gagne fait foi Pour réussir ses débuts à domicile et bonifier le nul obtenu à Troyes, le Dijon FCO a besoin de gagner ce soir. La solidité des Angevins suffira-t-elle à contrer les progrès des Dijonnais ? I l y a des matches qui ont des allures de tournant. L'expression est certes banale et peut paraître idiote car le nombre de journées passées (2 sur 38) suffit pour écarter toute conclusion précipitée et définitive, mais elle n'est pas non plus totalement dénuée de sens car un succès ce soir contre Angers serait le meilleur moyen de valider le point pris à Troyes et de lancer l'opération maintien sur de bons rails. Mais ce rendez-vous d'importance constitue aussi une première à double titre. Premier match de deuxième niveau national au parc des Sports depuis le 4 mai 1991, lorsque le CF Dijon fit ses adieux à ce niveau face à Avignon. Premier match également pour le DFCO chez lui depuis trois mois et un fameux soir de montée contre Romorantin devant 8Ê000 spectateurs aux anges. On n'attend bien sûr pas autant de monde ce soir, mais le stade devrait être bien garni et Rudi Garcia y est sensible : « Les supporters qui sont venus à Troyes, nous les avons entendus, ils nous ont apporté une aide précieuse. Je souhaite que le public du parc des Sports joue lui aussi ce rôle de douzième homme. » Car l'entraîneur dijonnais est clair sur ses intentions : « Je vais dire aux joueurs que l'opération maintien passe d'abord par des victoires à domicile. » Avec quelle méthode ? « Il faut mettre les bons ingrédients, c'est-à-dire avoir l'emprise sur le jeu, être plus entreprenants en attaque, mais ne pas tous se jeter à l'abordage. Il faut faire un match complet. » Ne pas respecter la tradition Reste à savoir quelle opposition se dressera sur la route des Dijonnais. « Les Angevins sont comme nous, ils ont démarré petitement au niveau des points », note Rudi Garcia. Le DFCO a observé les deux premiers matches de son adversaire : « A Châteauroux, ils ont chèrement défendu leur peau, ils ont mis pas mal d'impact athlétique. Contre Montpellier, ils ont été vite menés et réduits à dix. Est-ce que cela leur sera préjudiciable au niveau physique ? Je ne sais pas. » Une partie de la réponse réside sans doute dans les pieds des Dijonnais. Ces deux dernières saisons, le DFCO a connu des débuts à domicile difficiles (nul contre Viry en 2002, défaite contre Bourg en 2003). « Mais le vécu sera cette fois différent avec déjà deux matches derrière nous », tempère son coach. A moins de se faire une montagne de ce premier rendez-vous de la saison à Gaston-Gérard, contre une équipe qui ne fait pas partie des favoris, les trois points semblent accessibles. Philippe CROLY-LABOURDETTE -------------------------------------------------------------------------------- © Copyright Le Bien Public

[manu49]

Asuar qualifié et dans le groupe Les Dijonnais ont procédé à un court dernier entraînement hier soir aux Poussots avant de manger tous ensemble. La séance, prévue au parc des Sports, a été déplacée afin de préserver la pelouse pour ce soir. Rudi Garcia a dirigé hier un effectif de dix-huit joueurs, soit les seize alignés à Troyes vendredi dernier, plus Ludovic Asuar et Grégory Peres. Le coach dijonnais n'a finalement pas retenu ce dernier et a donc annoncé un groupe de dix-sept joueurs, au sein duquel la seule nouveauté est donc la présence éventuelle de l'ex-Sedanais Asuar. Arrivé tardivement, celui-ci n'a pas suivi une préparation complète. Sera-t-il dans les tribunes, sur le banc ou sur le terrain ? Le coach dijonnais n'avait pas décidé hier soir. Il n'avait pas non plus d'indications à donner concernant le système choisi. Continuité par rapport à Troyes ou incorporation d'un joueur offensif supplémentaire pour jouer à domicile ? Réponse ce soir. Du côté des absents, Julien Gibert purge son troisième et dernier match de suspension, tandis que les blessés déjà connus (Jobard, Poisson, Vidalon) continuent à se soigner. A Angers, H. Traoré, expulsé vendredi face à Montpellier, est suspendu, Aït-Kahma (entorse genou) et Bedrossian (coup sur la malléole) sont blessés, Kerhuiel rentre de suspension. Roberto Morinini a fait appel au Brésilien Grigulo, qui rentre de blessure, et à son compatriote, le défenseur suisse Sonnerat, mais a choisi de sortir l'ex-Parisien Obbadi du groupe. -------------------------------------------------------------------------------- © Copyright Le Bien Public

[scomino]

L'article du Mercredi 18 Août 2004 par Christophe MAZOYER. <Football : Le Sco s'est brûlé les ailes Ligue 2 : Angers s'est incliné hier soir à Dijon (1-0)> Les Angevins réduits à dix puis à neuf Dijon - Angers (1-0) Réduit à 10 avant le repos pour la 3e fois en autant de matches, puis à 9, le Sco limita les dégâts avec autorité jusqu'au dernier quart d'heure d'un match électrique. DIJON (de notre envoyé spécial). Le retour de suspension de Kerhuiel ne fut pas sans conséquence sur l'organisation arrière des Angevins, hier en Côte-d'Or. Cygan remonta donc d'un cran au poste de récupérateur, suppléant Traoré, à son tour suspendu, tandis que Grimaldi remplaça finalement Dussart (nez) dans la charnière centrale. Bédrossian convalescent (cheville), Grigulo effectua, lui, sa première apparition de la saison dans le couloir gauche. L'animation offensive demeura confiée au tandem L. Norbert-Kasso, en attendant l'arrivée d'un renfort annoncé. Devant des Bourguignons plutôt tournés vers l'offensive avec leur trio d'attaque, les Angevins furent pourtant les premiers à se distinguer, L. Norbert lançant de la tête Kasso mais l'attaquant du Sco frappa sur le portier dijonnais (3'). Le même Norbert, autrement inspiré que devant Montpellier, faillit encore signer la passe décisive sur cette remise à Assous, dont la frappe tendue échoua sur le poteau droit de Mouko (4'). Mieux organisé, d'où quelques autres coups de semonce comme ce centre de G. Norbert pour son frère dévié en corner par Grégoire (20'), le Sco ne parvint toutefois pas à briser la glace, faute de presser suffisamment haut le promu bourguignon. A tel point qu'Angers passa à quelques centimètres de la correctionnelle lorsque Heitzmann alerta Esteves aux 6 m (30'). Lachuer dut sortir toute sa classe, comme devant la déviation de Laurent (33'). Angers, parti à reculons depuis quelques minutes, crut même partir à vau l'eau sur l'expulsion de Kasso (38'). Pour la 3e fois en autant de matches, le Sco dut donc terminer à 10 contre 11 ! Il manqua pourtant de surprendre les Dijonnais via le tandem des frères Norbert, Ludwig lancé par Assous manquant de peu de lober Mouko qui détourna sur Guillaume dont la tête plongeante se heurta au retour du portier bourguignon (45' + 2). Kipré sorti au repos, Kerhuiel glissa alors à droite tandis que Dussart intégra la charnière aux côtés de Grimaldi. Et la défense angevine fut justement soumise à rude épreuve sous les coups de boutoir d'un secteur offensif dijonnais renforcé par Mangione, Ba quittant la défense locale (53'). Esteves (57', 67'), Mangione (65'), Masson (77') affolèrent tour à tour la défense angevine, Heitzmann plaçant le coup de grâce sur pénalty (81') suite à une faute de Dussart sur Mangione. Issue cruelle pour le Sco, mais logique, avant le dernier coup d'éclat angevin : l'expulsion de Grimaldi (94'). Dijon - Angers : 1-0 (0-0). Buts. Dijon : Heitzmann (81'). Avertissements. Dijon: Tacalfred (38', faute sur Grigulo), Ba (38'), Larcier (82', faute sur Assous), Livramento (88'), Heitzmann (89') ; Angers : Assous (64', tacle sur Braud). Expulsions. Angers : Kasso (38', accrochage avec Ba), Grimaldi (90', obstruction sur Mangione). Arbitre : M. Lamarre. 4 796 spectateurs. DIJON : Mouko - Tacalfred, Ba (Mangione, 53'), Braud, Kajima - Livramento, Larcier, Grégoire - Esteves (74', Masson), Laurent - Heitzmann (89', Benon). Non-entrés en jeu : Diers, Cappone (g). ANGERS : Lachuer - Kipré (Dussart, 46'), Grimaldi, Kerhuiel, Akouassaga (83', Brisset) - G. Norbert, Cygan, Assous, Grigulo - L. Norbert (74', Djellabi), Kasso. Non-entrés en jeu : Lucas (g), Sonnerat. Christophe MAZOYER.

[manu49]

Angers a tenu longtemps… ( 18/08/2004 ) Réduit à 10 après l’expulsion de Kasso avant le repos, Angers est revenu bredouille de son déplacement dans la cité des Ducs. Il a pourtant fallu un penalty pour que Dijon signe sa première victoire en L2. Dijon FCO : 1 Angers SCO : 0 Soucieux de réussir leurs débuts à domicile, les Dijonnais mettaient immédiatement la pression sur le but angevin, mais, sur une interception Kasso sollicitait Mouko (2ème), sans réel danger pour ce dernier toutefois.Le match était bien lancé, Lachuer devant ensuite sortir de sa surface pour dégager dans les pieds de Laurent (4ème). Une passe en retrait malencontreuse de Livramento trouvait Kasso à l’affût et Mouko devait encore intervenir (8ème), les occasions fusaient… Les Angevins s’enhardissaient avec un milieu de terrain qui montait chercher le ballon haut ; de leur côté, les Bourguignons sentaient le danger et serraient quelque peu leur garde, il le fallait car la défense montrait quelques signes de fébrilité. Dijon se faisait d’ailleurs une belle frayeur quand Ba devait pousser en corner un ballon chaud qui roulait devant le but (22ème). Sur l’action suivante, c’était au tour des visiteurs de trembler sur une tête appuyée de Braud. Le public ne s’ennuyait pas avec ce match certes un peu décousu, mais où tout pouvait arriver. Ainsi, Heitzmann servait parfaitement Esteves d’un petit centre en retrait, mais le tir à bout portant de celui-ci trouvait Lachuer à la parade (32ème). Cette fois, Dijon prenait le match à bras le corps et c’était au tour de Laurent d’échouer sur le gardien (34ème). Le match était arrêté quelques minutes après une action très confuse (plusieurs joueurs se retrouvant à terre) et l’arbitre sanctionnait des deux côtés, expulsant surtout Kasso, l’attaquant angevin le plus percutant, apparemment pour une faute sur Ba (40ème). Un vrai coup dur pour l’équipe de Morinini… qui était pourtant tout près d’ouvrir le score, Mouko devant repousser instantanément un tir de Ludwig Norbert et une tête de Guillaume Norbert (45+3). Le jeu reprenait sous la pluie, mais le rythme ne s’en ressentait pas et Dijon se signalait par deux nouvelles tentatives, signées Heitzmann. A dix, Angers réussissait à faire front, malgré l’entrée d’un attaquant dijonnais supplémentaire (Mangione) et s’en sortait encore bien sur une tête de Esteves (59ème). Le but chauffait pourtant, mais Mangione ne parvenait pas non plus à tromper Lachuer de près (68ème), il faut dire que les deux gardiens faisaient bonne garde. Dès son entrée, Masson plaçait un bon tir au ras du poteau gauche (79ème), mais la réussite fuyait toujours les Dijonnais et les minutes s’égrenaient… La délivrance venait quand Mangione était stoppé tout à fait irrégulièrement dans la surface ; c’était le penalty indiscutable et Heitzmann exécutait la sentence, prenant Lachuer à contre-pied (1-0, 82ème). Le score en restait là après une dernière tentative infructueuse de Mangione. La fiche technique - Dijon (parc des Sports). Mi-temps : 0-0. Arbitre : M. Lamarre. 4.796 spectateurs. But pour Dijon : Heitzmann (82e, pen.) Avertissements à Dijon : Ba (40e), Heitzmann (90e). A Angers : Assous (66e) ; carton rouge à Kasso (40e) et Grimaldi (90+3). Dijon.– Mouko ; Kajima, Ba (Mangione, 54e ), Tacalfred, Braud; Larcier, Livramento, Grégoire; Heitzmann (Benon, 90e), Laurent, Esteves (Masson, 74e). Entraîneur : Garcia. Angers. – Lachuer ; Akouassaga (Brisset, 84e), Kerhuiel, Grimaldi, Cygan, Kipre (Dussart, 46e); G. Norbert, Assous, Grigulo ; L. Norbert (Djeballi, 74e), Kasso. Entraîneur : Herbet. - Roberto Morinini : « Ce fut un match équilibré et nous aurions pu prendre l’avantage en première période, mais nous avons mal négocié nos occasions. Ensuite, il y eut l’expulsion, je n’ai pas vu la faute, mais il semble que ce soit un coup de tête de notre joueur. A 10, la consigne était de continuer à jouer et nous avons encore eu quelques bons mouvements offensifs. Sans ce penalty, je pense que le score en serait resté à 0-0 ». © Copyright La Nouvelle République 2004

[scomino]

Les articles du Jeudi 19 Août 2004 par Christophe MAZOYER et Cyrille CALMETS Un avant centre à l'essai. Le SCO a mis à l'essai depuis hier après-midi l'avant centre Brésilien Ferreira Rudison (21 ans). A l'OEK Belgrade la saison dernière, il a été formé et a effectué tout le début de sa carrière à Sao-Paulo, dans son pays d'origine. "Il m'a été recommandé par Michel Hidalgo, dévoile Patrick Norbert. Il croît beaucoup en ce joueur,mais il faut d'abord le remettre à niveau physiquement". <Football : L'avenir angevin de Morinini en suspens> Roberto Morinini - Patrick Norbert : le couple à la tête du Sco depuis début juillet pourrait être contraint et forcé de divorcer dans les prochaines heures. <Football : Cette fois, le rouge est mis !> Comme Traoré face à Montpellier, le Sco croule sous les cartons rouges en ce début de saison. Les Angevins vont devoir se ressaisir au plus vite. Philippe Renault. <Football : L'attaque comme leitmotiv>

[manu49]

SCO : joueront-ils enfin à onze ? ( 19/08/2004 ) Un départ « cata », avec deux défaites consécutives et pas moins de quatre expulsions. Le moins que l’on puisse dire est que les Angevins ont raté leurs débuts. Comme entrée en matière, on peut sûrement mieux faire. Après le nul prometteur obtenu à Châteauroux pour l’entame du championnat – sans compter une préparation laissant une bonne impression d’ensemble – le SCO d’Angers a enchaîné avec deux défaites et pas moins de quatre expulsions depuis la première journée : Kerhuiel, puis Traoré, avant que le rouge soit brandi à nouveau face à Kasso et Grimaldi. Ce qui fait tout de même beaucoup. « Il faut que cela s’arrête : depuis le début de la saison, on a passé plus de temps à dix qu’à onze sur le terrain. On ne peut pas continuer comme ça » s’est lamenté Guillaume Norbert. Quant à Morinini, ses débuts dans le club angevin s’avèrent pour le moins périlleux : « On ne peut s’en prendre qu’à nous-mêmes » confie le technicien suisse après une défaite bien mal venue en Bourgogne. Inutile de dire qu’un nouveau faux pas à domicile vendredi soir contre Troyes serait pour le moins préoccupant. D’autant que de l’avis unanime, la victoire était largement à la portée des joueurs mardi soir. De là à dire qu’il y a du boulot pour le préparateur « mental », un certain Stéphane Caristan, il n’y a qu’un pas… L’entraîneur du SCO attend du coup avec impatience une nouvelle recrue sur le front de l’attaque, qui ne tourne pas bien rond pour l’instant, Kasso ne semblant pas encore convaincre. Un attaquant brésilien à l’essai On sait que Patrick Norbert est à la recherche d’une bonne pointure devant. Un joueur brésilien est actuellement à l’essai. Il s’agit de Ferreira Redison, avant-centre âgé de 21 ans, formé à Sao-Paulo, qui a évolué la saison dernière à l’OEK Belgrade. Sera-t-il l’homme providentiel pour débloquer le compteur ? En tout cas, l’équipe de Troyes est déjà à pie d’œuvre depuis hier en terre angevine. Battue 2-1 la veille à Laval, la formation de l’Aube a préféré rester dans le secteur. Michel PATEAU - Pour le match Angers SCO-Troyes de vendredi soir, 20 h, la location aux guichets du stade Jean Bouin aura lieu aujourd’hui jeudi, de 18 h à 20 h, ainsi que dans les magasins Super U. Ouverture des guichets à 18 h 30 le soir du match, ouverture des portes à 18 h 30 le soir du match. Prix des places : présidentielle, 25 € (12 € 50 demi-tarif) ; première Jean Bouin, 16 €(8 €) ; honneur Saint-Léonard, 20 € (10 €) ; seconde Saint-Léonard, 12 € (6 €) ; populaire Colombier, 8 € (4 €), populaire Coubertin, 5 € (2 € 50). Demi-tarif pour les enfants de 10 à 16 ans en place assise, personnes invalides de 50 à 79 %. © Copyright La Nouvelle République 2004

[SCOMANO]

http://www.mulhousefoot.net/images/ferreira.htm VOICI LA FICHE DU JOUEUR MIS A L'ESSAI..

[SCOMANO]

http://www.mulhousefoot.net/article70.htm

[petitfute]

L'Equipe de ce jour : _ ANGERS : TOSI REMPLACE MORININI. – L’UNECATEF, le syndicat des entraîneurs, ayant mis en demeure Angers (L 2) de se séparer de son entraîneur suisse, Roberto Morinini, Noël Tosi va reprendre les rênes du club pour la réception de Troyes, vendredi. « Roberto Morinini possède un diplôme européen qui ne l’autorise pas à entraîner en France », a expliqué Patrick Norbert, le président angevin. Ce dernier avait pourtant fait appel à Yves Herbet, détenteur du DEPF. Mais la loi n’autorise ce recours à un « prête-nom » que lorsque l’entraîneur « principal » est en « cursus d’apprentissage ». Or, Morinini ne possède aucune équivalence en France et n’est inscrit à aucune préparation pour un diplôme d’entraîneur. Depuis deux mois, Morinini se trouve donc en situation d’usurpation de poste. Les sanctions peuvent aller jusqu’à 15 000 euros d’amende et deux ans de prison, selon l’UNECATEF. M. Norbert rencontrera ce matin l’entraîneur suisse et Yves Herbet pour trouver un terrain d’entente. Quant à Noël Tosi, qui était jusqu’alors entraîneur du Racing (N), il assure « être heureux de revenir ici, car je suis dans une situation précaire ». En février dernier, il avait déjà remplacé Jacky Bonnevay, alors limogé d’Angers. – L. J.

[manu49]

http://www.mulhousefoot.net/images/ferreira.htm VOICI LA FICHE DU JOUEUR MIS A L'ESSAI..

il est pas pour nous, il prend pas de carton.........................................

[scomino]

L'article du Vendredi 20 Août 2004 par Christophe MAZOYER <Football : Noël Tosi de retour au chevet du Sco> Après avoir sauvé in extremis le club angevin de la relégation la saison dernière, Noël Tosi doit cette fois le mettre sur les bons rails dès le premier mois de compétition. Pour y parvenir, il retrouvera Jean-Marc Nobilo à ses côtés. Georges Mesnager

[manu49]

Noël Tosi, le retour ! (20/08/2004) L’absence de diplôme a été fatale à Roberto Morinini, remercié par le président Patrick Norbert. Et qui revoilà aux commandes d’Angers SCO ? Noël Tosi. Un retour presque gag sur toile de fond de mauvais résultats. Le jovial et charismatique entraîneur de la fin de saison dernière, Noël Tosi, sera dès ce matin de nouveau sur la pelouse de la Baumette, afin de composer son groupe pour recevoir Troyes. Comment en est-on arrivé là ? En début de semaine, le président du SCO recevait une lettre recommandée du conseil d’avocats de l’Union nationale des entraîneurs et éducateurs de football, l’Unecatef. Le syndicat des entraîneurs y exprime son intention d’attenter un procès au club angevin pour usage illégal du métier d’entraîneur s’il persiste à employer Roberto Morinini, sujet suisse qui n’a pas le diplôme requis, le prête-nom utilisé par le SCO en la personne d’Yves Herbet ne suffisant pas à régler le problème : les qualifications du coach suisse ne sont en effet pas valables en France, même si elles sont reconnues par l’Uefa. « Nous n’avons pas voulu faire le bras de fer avec l’Unecatef, le SCO a d’autres combats autrement importants à mener » explique Patrick Norbert, le président angevin, amer toutefois de constater que dans le championnat de France, le syndicat des entraîneurs ne bronche pas pour d’autres situations, comme celle de Didier Deschamps à Monaco. « Il y a deux poids, deux mesures. Le diplôme de Morinini est reconnu partout en Europe, sauf en France. Mais qu’importe, il nous faut tourner la page. » Et tourner la page, cela signifie se séparer d’un homme engagé dans l’inter-saison et qui devait assurer au club l’assise qui lui manque pour se maintenir en Ligue 2. Un coup pour rien. “ À la croisée des chemins ” « J’ai vu Roberto aujourd’hui, dans un climat de grande loyauté pour exprimer ces difficultés, nous a assurés hier Patrick Norbert. Nous avons convenu de résilier son contrat afin de mettre un terme à sa fonction d’entraîneur. Il a reconnu que notre décision n’était en rien prise contre lui. Nous nous sommes mis d’accord sur des indemnités. Ses trois prochains mois de salaire lui seront versés, il s’en est contenté. » Revoici donc Noël Tosi. Le pompier de service qui ne savait trop sur quel pied danser avec le Racing Club de France (National) reprend du service au SCO d’Angers avec un contrat de deux saisons. Pourquoi d’ailleurs avait-il été remercié en fin de saison dernière malgré son évident succès ? Le président Norbert reste vague. On sait que l’entraîneur corse – doté lui du fameux diplôme requis par le syndicat – ne tenait pas à cohabiter à Angers avec Mickaël Hanouna, nommé manager général. Alors exit Hanouna. Un nom sur lequel le président n’a pas trop envie de s’attarder : « C’est un non événement », dit-il, lapidaire. Quant au successeur de Roberto Morinini, que les anciens de l’exercice précédent connaissent bien, « son travail était très difficile au Racing, dit Patrick Norbert. Il était disponible. Quand j’ai appris qu’il s’était libéré de son poste en Mauritanie, j’avais déjà pris une autre direction avec Roberto. À nouveau, nous nous retrouvons ensemble à la croisée des chemins… » Et Herbet, le prête-nom ? Il n’a plus d’utilité pour le club et son contrat était conditionné à cette question de diplôme. Exit lui aussi ? On le saura plus tard. A propos des mauvais résultats et des quatre expulsions, le président met tout cela sur le compte d’une « envie de trop bien faire de la part de joueurs qui ont du mal à exprimer leurs talents ». Les intéressés ont été, paraît-il, « sévèrement recadrés ». On efface tout et on recommence. Et pas plus tard que ce soir à Jean Bouin. Michel PATEAU © Copyright La Nouvelle République 2004

[manu49]

Des Troyens remontés ( 20/08/2004 ) Angers SCO - Troyes ce vendredi, 20 h, stade Jean Bouin Avec tout cela, on en avait presque oublié qu’il y a un match à disputer ce vendredi soir, où le SCO reçoit l’équipe de Troyes. Un groupe du SCO dont nous ignorons la composition, le « revenant » Noël Tosi devant le constituer à l’issue de l’entraînement ce matin. Sans Grimaldi et sans Kasso, victimes d’un carton rouge à Dijon. Quoi qu’il en soit, on devine que les consignes seront de stopper la spirale de l’échec avant qu’elle devienne alarmante. Les Angevins se retrouveront (en espérant qu’ils finiront le match à onze, contrairement à leurs mauvaises habitudes) face à des Troyens bien remontés après leur échec (2-1) à Laval. « Tout le monde a été accaparé par la survie du club à l’intersaison, déclare l’entraîneur Jean-Marc Furlan. Nous avons un nouveau président depuis trois semaines et le recrutement a été limité. Notre objectif est de bâtir un projet pour nous maintenir en Ligue 2. » En attendant, le club de l’Aube entend redresser la barre contre le SCO. Parce que la force de Troyes, affirme l’ex technicien de Libourne, c’est l’attaque. Avec déjà sept réalisations, le SCO sait à quoi s’en tenir, lui pour qui le secteur offensif pose encore un problème. À ce sujet, le président Patrick Norbert avoue qu’il est toujours à la recherche des perles rares. L’avant-centre brésilien Ferreira Rudison est toujours à l’essai, rien n’est décidé à son sujet. « Il est difficile pour l’instant de le juger, il doit avant tout retrouver sa condition physique, mais nous comptons encore sur le recrutement de trois ou quatre joueurs. » © Copyright La Nouvelle République 2004

[tiopépé]

ouest france du 21/08/2004 Actualité sportive samedi 21 août 2004 Football : Pas malheureux du tout, les Angevins ont décroché leur premier succès de la saison aux dépens de Troyens pourtant supérieurs dans la maîtrise du ballon. Le Sco s'est refait un semblant de santé hier soir. Sans véritablement convaincre devant des Troyens globalement mieux organisés. « Mais seules deux choses comptaient ce soir : gagner et terminer à 11 », souligna Thierry Cygan. Le capitaine angevin put donc souffler sur le coup de 22 h : le contrat fut rempli sur toute la ligne. Bien plus à l'aise que devant Montpellier, lors de sa première sortie à Jean-Bouin, le Sco ne marqua pourtant pas d'une empreinte indélébile des débats globalement ennuyeux. « On est tombé sur une équipe de Troyes plus forte que nous, reconnut tout de go Noël Tosi. Nous n'avons pas encore le même potentiel, mais nous devrions bénéficier d'une bien meilleure stabilité quand nous disposerons de deux attaquants supplémentaires, ce qui devrait intervenir sous les 10 jours, même si Patrick Norbert et moi-même ne devons pas dormir jusque-là. » En attendant, l'effet Tosi n'a pas tardé à se faire ressentir. « Pourtant, je n'ai pas de recette miracle et je n'ai pas fait grand-chose. J'ai eu 7 minutes d'entraînement ce matin (ndlr : hier matin) pour cerner un peu le groupe. J'ai mis en place ce que j'ai pu. J'ai surtout expliqué aux joueurs que je ne pouvais pas grand-chose pour eux ce soir sur le plan technique et que le succès, il le décrocherait surtout en faisant preuve d'un mental irréprochable. » Sourire jaune à Troyes Du côté aubois, la soupe à la grimace était finalement bien légitime, les deux buts angevins intervenant sur des erreurs troyennes. « Il est vraiment difficile de digérer ce match, souffla Jean-Marc Furlan. C'est un peu le même que celui que nous signons à Laval mardi, et nous avions perdu sur le même score. En fait, c'est nous qui nous battons. Dans le contenu et la percussion, je suis assez satisfait de notre jeu, mais les joueurs ont connu de tels déboires ces derniers mois qu'ils manquent de confiance. » Le Sco remis en partie sur les rails, Noël Tosi put donc savourer sa 3e victoire en 6 jours (il s'était imposé à deux reprises dans la semaine avec le Racing). Peut-être le début d'une nouvelle série pour lui, et Angers. « Mais il faut impérativement compléter notre effectif », martèle le messie corse. Christophe MAZOYER.

[scomino]

L'article du Vendredi 20 Août 2004 par Christophe MAZOYER <Football :>

[petitfute]

L'Equipe Samedi 21 Aout ANGERS - TROYES : 2-1 (1-1) Temps pluvieux. Pelouse grasse. 3 781 spec- tateurs. Arbitre : M. Djouzi. Buts. – ANGERS : Dia (36 e ), Tourenne (65 e c.s.c.) ; TROYES : Amzine (33 e ). Avertissements. – Angers : Kipré (38 e , faute sur Dallet), Assous (59 e , faute sur C. Faivre) ; Troyes : Montero (44 e , tacle dan- gereux sur Grigulo), Liron (78 e , tacle dange- reux sur G. Norbert), Tourenne (90 e , charge sur Brisset). ANGERS : J. Lachuer – Kipré, Dussart, T. Cygan (cap.), Akouassaga – G. Norbert, H. Traoré, Assous, Grigulo (Obbadi, 46 e )–Dia (Bédrossian, 66 e ), L. Norbert (Brisset, 82 e ). Entraîneur : N. Tosi. TROYES : Grandel – Montero, Perquis, F. Adam, Liron – C. Faivre (I. Bangoura, 71 e ), Tourenne (cap.), Nivet, Amzine – Grax, Dallet. Entraîneur : J.-M. Furlan. ON NE SAIT si cela provient du fameux « choc psychologique » lié au remplace- ment de Roberto Morinini par Noël Tosi à la veille de cette rencontre, mais les Angevins ont signé hier soir un premier succès mérité. Pourtant, après une occasion manquée par Grigulo (31 e ), c’était Troyes qui ouvrait la marque, Amzine concluant un joli mouve- ment collectif (33 e ). Mais les Angevins réa- gissaient aussitôt et Dia profitait d’une bévuede Grandelpourégaliser(36 e ). Angers attaquait la deuxième période sur le même rythme soutenu, contraignant les Troyens à subir. Et, sur un corner de L. Norbert, Cygan voyait son coup de tête dévié dans les filets par le tibia de Tourenne (65 e ). Le SCO tenait ses trois points. _ Noël TOSI (entraîneur d’Angers) : «Je n ’ai pu que travailler,en gros,sept minutes avec mes joueurs ce matin et je ne pouvais rienfairetactiquement.Mais,mentalement, ils ont été très forts.Il nous faudrait deux attaquants supplémentaires pour réaliser une bonne saison.» _ Jean-Marc FURLAN (entraîneur de Troyes) : «Je ne suis pas inquiet pour mon équipe,car elle sait construire du jeu.Il y a évidemment des progrès à faire dans le jeu défensif.La preuve,on s ’estquasiment mar- qué deux buts nous-mêmes.»–L.J. A noter aussi : FERREIRA À L’ESSAI À ANGERS. – Rudison Ferreira, un attaquant brésilien de vingt et un ans, formé à Sao Paulo et qui évo- luaitdepuisdeux saisonsàl’OFKBel- grade (36 matches, 22 buts), est actuellement à l’essai à Angers (L 2). –L.J.

[scomino]

L'article du dimanche 22 Août 2004 par Christophe MAZOYER <Football : Comme un nouveau départ pour les Angevins > Jonathan Assous et Pascal Bédrossian, les deux techniciens du Sco, ont décoincé une formation angevine empruntée dans la première demi-heure de jeu. Georges Mesnager.

[scomino]

L'article du Lundi 23 Août 2004 par Thomas LAVAUD <Football : Tosi et Angers, récit d'une belle soirée d'été> Noël Tosi, tout sourire, à l'issue de la rencontre remportée vendredi face à Troyes. Georges Mesnager

[Cisco]

Article du jour de la Nouvelle République, par Michel Pateau. Retrouvez les informations de la Nouvelle République sur : http://www.nrco.com/ SCO : ça décoince enfin ( 23/08/2004 ) Le sursaut du club angevin vendredi soir et le retour aux commandes du charismatique Noël Tosi ne sont sans doute pas qu’une coïncidence. Mais le problème reste entier : il faut recruter au moins deux attaquants. Cela se fait peut-être malgré lui, mais Noël Tosi irradie. Sa seule présence dans les vestiaires du stade Jean-Bouin suffit à inonder l’espace d’une bonne humeur solaire. Le public ne l’a pas encore senti, qui a pas mal déserté les gradins : moitié moins d’affluence qu’il y a quinze jours. Une sanction immédiate au mauvais match contre Montpellier. Mais c’est comme si on effaçait tout, avec le retour du Corse salué par une victoire. Oh, certes pas brillantissime, mais sonnante et trébuchante. Du coup, le salon du président, qui avait surpris tout le monde il y a quinze jours, s’est transformé en salle de presse et le sourire est revenu sur les visages du personnel. L’effet Tosi ? L’intéressé ne s’en défend pas : « Il n’y a pas de recette, je pense avoir trouvé les mots, voilà tout. Je ne suis peut-être pas un grand entraîneur, mais sûrement un bon préparateur psy… » Le technicien corse, visiblement, est aux anges, à humer la pelouse de Jean-Bouin comme s’il ne l’avait jamais vraiment quittée. Des ambitions ? « La saison dernière, on a fini treizième, là on va essayer douzième », ironise-t-il joyeusement. La faiblesse de l’attaque, qu’il a de nouveau constatée ? « Évidemment, on ne pourra pas compter sur le seul Patrick Norbert pendant tout le championnat, et je ne souhaite pas revivre le stress permanent de la saison dernière. Quand les pièces manquantes seront là, nous pourrons construire quelque chose. » “ Noël Tosi c’est un peu le héros qui revient ” Les pièces manquantes, bien entendu, ce sont les attaquants toujours recherchés activement par Patrick Norbert. Et là-dessus, Noël Tosi n’entend pas tergiverser : « Je ne veux plus de joueurs à l’essai, ça doit être du sûr. » Du coup, l’ami Franck Dia a quelque souci à se faire. Il est du reste conscient d’avoir marqué un but assez chanceux – un confrère a trouvé un mot curieux pour le définir, parlant de « tir de rouge-gorge », ce qui est tout de même exagéré quand on voit le beau physique athlétique du monsieur – : « Je voulais mettre le ballon à l’opposé, et j’ai eu de la chance, c’est vrai. Mais bon. Il ne fallait surtout pas revenir aux vestiaires avec une défaite. Quant à moi, je vais continuer à travailler, la concurrence ne me fait pas peur, au contraire. » Un sourire communicatif s’affiche sur le visage de Dia, content lui aussi du retour de l’ancien coach. Tout comme Julien Lachuer, qui n’aura finalement pas eu beaucoup de boulot à faire contre Troyes. Mais le gardien angevin a une petite pensée pour Roberto Morinini, parti discrètement par la petite porte, victime d’une cabale corporatiste du milieu des entraîneurs : « Nous sommes tous conscients de ce que Roberto nous a apportés, et cette victoire est un juste retour des choses. Évidemment, Noël Tosi, c’est un peu le héros qui revient et personne n’y est insensible. Il nous a recadrés à la mi-temps et nous sommes passés à trois milieux défensifs. Cette victoire, on va maintenant la déguster. » On aura aussi constaté l’efficacité des coups de pieds arrêtés, marque de fabrique d’un revenant plus conquérant que jamais. Marquer son entrée en fonction par une victoire n’est jamais vraiment anodin. Du coup, oubliées les deux défaites consécutives et les quatre expulsions, que Patrick Norbert analysait avec un certain lyrisme dans le petit livret distribué avant match : « Le SCO ne peut s’en prendre qu’à lui-même. Il n’y a aucune excuse à chercher, sinon de faire le constat lucide que nous sommes les forgerons de nos propres chaînes… » Le président est de ce point de vue un peu rassuré. Reste que son ami Noël ne lui permettra sans doute aucun faux-pas dans le recrutement. Et maintenant, ça urge. Michel PATEAU ------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Niort et Angers se redressent ( 23/08/2004 ) Tandis que Châteauroux continue de s’engluer en bas du classement, Niort et Angers sortent la tête de l’eau. Reims s’installe en leader. De notre rédaction d’Angers Les Rémois se retrouvent désormais seuls aux commandes, devançant d’un petit point Brest et Sedan qui ont tous deux trébuché. Une équipe de Sedan justement étrillée par des Niortais opportunément remontés. Avec trois réalisations contre un sérieux client, les Deux-Sévriens n’auront pas fait de détail. En revanche, Grenoble, dont le début de parcours n’avait pas manqué d’étonner, a chuté sévèrement contre Clermont sur le score fleuve de 5-0. Comme quoi, la mise en route de ce cru 2004-2005 de Ligue 2 laisse présager une saison aussi chaotique qu’inattendue. On ne s’en plaindra pas. Châteauroux a fait les frais d’un réveil attendu de Guingamp après des débuts difficiles (premier succès des Bretons) et pointe en dernière place en compagnie d’une formation mancelle qui n’a toujours pas retrouvé ses marques après sa relégation. La Berri tarde à confirmer les espoirs mis sur elle en début de saison. En colère, Victor Zvunka : « encore une fois, ce sont des buts cadeaux. Rien ne nous sourit. » Autant dire qu’un sursaut est attendu. Montpellier n’a pas confirmé non plus après son succès aux dépens d’Angers. La bande à Nicollin est ressortie vaincue de Nancy. Grâce à qui ? Un certain Kroupi, qui n’arrête pas de marquer après un séjour totalement catastrophique la saison dernière, justement à Angers. Allez comprendre… Une victoire signée Tosi Mais les Angevins ont, eux aussi, montré le bout du nez, en signant leur première victoire (2-1) au terme d’un match passablement laborieux (du moins en première période) contre une fringante équipe de Troyes. « Et cette fois, nous avons terminé à onze ! » ironisait Ludwig Norbert, très actif sur le front de l’attaque vendredi soir. Le succès a reposé sur une frappe de Cygan détournée dans le but par une chaussure troyenne et un tir plutôt heureux de Dia. Mais trois points, n’est-ce pas, ce sont trois points. Après une mauvaise entame de championnat, et pas moins de quatre expulsions, le SCO d’Angers retrouve le sourire avant un délicat déplacement à Laval, l’« ennemi héréditaire ». Mais il faudra renforcer d’urgence le secteur offensif. C’est bien l’avis de l’entraîneur Noël Tosi, revenu aux commandes de l’équipe angevine après une éclipse assez incompréhensible. Un retour salué en fanfare sur les bords de la Maine. Michel PATEAU

[Baxter]

Article du jour de la Nouvelle République, par Michel Pateau. La faiblesse de l’attaque, qu’il a de nouveau constatée ? « Évidemment, on ne pourra pas compter sur le seul Patrick Norbert pendant tout le championnat....

C'est clair Un scoop !!! Un nouvel attaquant : un 3ème Norbert dans l'équipe

[Baxter]

Sur l'affluence en ligue 2 : http://www.footpro.fr/ligue2/detail_art ... sp?id=3309