Les médias parlent du SCO

[yohann]

Coooooooool !

[scoinho]

ca fait plaisir on va pouvoir suivre le match en integralite derrier le transistor pendant que nos troupes vont s'efforcer de ramener une qualif franchement je serai grave decu d'une defaite ca serait vraiment du gachis!!!!!

[Ben]

vive RHA et Segré!!!

[darude]

tant mieux car autrement je n'aurai pas pu suivre le match

[Cisco]

vendredi 18 février 2005 Angers au pied de la montagne Guy Moussi (au centre) et les Angevins savent la difficulté de la tâche qui les attend pour le maintien. Débarrassés de la Coupe de France, Ils commencent leur quête de points en championnat, ce soir, face à Guingamp.Georges Mesnager Ligue 2 : Angers reçoit Guingamp, ce soir à Jean-Bouin (20 h) Débarrassés de la Coupe de France, Gourvennec et les siens ont eu ce qu'ils voulaient : le championnat, rien que le championnat. 18e au classement, ils s'attaquent, dès ce soir face à Guingamp, à une ascension périlleuse, celle qui doit les mener au maintien. Celui-ci culmine à environ 43 points d'altitude. « Pas la mer à boire », selon Tosi. Décidément, Noël Tosi n'est pas un entraîneur chanceux depuis une semaine. Déjà, en Coupe de France, samedi dernier à Albi, il avait été obligé de revoir ses plans au dernier moment, avec la non-qualification de Rami et le départ prématuré de Grimaldi en Anjou, ce dernier souhaitant assister à l'accouchement de son épouse. Même si cela n'explique tout, on a vu ce que cela avait donné : une fessée et un claqué, Ognjenovic, trop court physiquement pour espérer autre chose que la blessure. Cette semaine, rebelotte : outre les absences de Norbert, Aït-Khama, Traoré, Djellabi et Ognjenovic, l'entraîneur angevin devra se passer des services de Marcin Adamski, le solide défenseur polonais, cloué au lit à cause d'une vilaine gastro. Tosi : « Les joueurs ont l'habitude » Tosi a d'autant plus de regrets qu'il avouait, hier, à l'issue de l'entraînement : « Ce garçon est vraiment très bon. C'est un roc, doué dans la relance. » Du coup, à cause de ce forfait de dernière minute, le tacticien a dû repenser sa défense pour la venue de l'En Avant. Il a trouvé la solution : « J'ai essayé plusieurs trucs, mais finalement, on va revenir à une formule classique. » Entendez un 4-4-2 avec Dussart et Grimaldi dans l'axe. Au-delà de ces petites contrariétés liées à l'effectif, la semaine écoulée aura été celle d'une replongée psychologique dans le championnat pour les partenaires de Gourvennec. « Après Albi, j'avais deux solutions : soit exiger deux entraînements par jour et faire la gueule ; soit faire jouer les gars au ballon et leur regonfler le moral. J'ai choisi la seconde. » Noël Tosi ne cachait pas sa satisfaction, hier, de n'avoir plus que le championnat à son agenda. Le Sco est donc désormais au pied de la montagne. Au pied du mont Championnat. « Je dirais plutôt que nous sommes dos au mur. Mais cette équipe aime bien cette position. Les joueurs ont l'habitude. » De là à dire que l'ascension sera aisée, il ne faut pas pousser. Elle sera longue et périlleuse et il conviendra pour la mener à bien de se retrousser les manches, de sortir les piolets et surtout les mousquetons pour ne pas se laisser décrocher de la paroi. Glissante, la paroi. « Il faut gagner pour ne pas lâcher les équipes contre qui nous allons nous battre jusqu'à la dernière journée. On ne doit pas craquer. » Surtout pas devant des Guingampais qui ne se sont jamais imposés à l'extérieur cette saison. Noël Tosi sait une chose : « Nous sommes maîtres de notre destin. Gagner six ou sept matches sur les 13 derniers, ce n'est pas la mer à boire. » Il sait aussi garder le moral. Mathieu COUREAU. ------------------------------------------------------------------------------------------------------ Les équipes Angers : Lucas - Sonnerat, Dussart, Grimaldi, Cygan - Obbadi, Moussi, Stassin, Gourvennec - Théreau, Rami. Remplaçants : Lachuer (G), Assous, Traoré, Inkango. Entraîneur : Noël Tosi. Guingamp (sous réserve) : Carrasso - Bridonneau, Flachez (?), Sikimic, Kouassi - Michel (cap.), Bah, Jouffre, Abriel - Fauré, Dagano. Remplaçants : Debès, Bourhani, Le Roux, Robert, Rivière. Entraîneur : Y. Pouliquen. Arbitre : M. Brocas. • Portillo n'est pas prêt. Le défenseur argentin a « du retard à l'allumage » expliquait Noël Tosi, hier, à l'issu de l'entraînement. « Il sera certainement prêt pour le déplacement à Niort, mais pour le moment, je préfère le laisser au repos. » Le coach, par ailleurs, ne tarissait pas d'éloge au sujet de Portillo disant qu'il est excellent technicien. • Le cas Ognjenovic, suite et fin. Le claquage de l'attaquant serbo-monténégrin Périca Ognjenovic à Albi, est toujours un sujet de discussion. Noël Tosi déclarait hier : « C'est la tuile quand on voit ce qu'il nous a apporté à Albi au moment où il est entré en jeu. Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu un attaquant comme ça, capable de faire la différence à tout moment. » Ognjenovic sera vraisemblablement remis de son claquage pour la venue d'Amiens à Jean-Bouin, vendredi 4 mars.

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Articles du jour de la Nouvelle République, par Michel Pateau Retrouvez les informations de la Nouvelle République sur : http://www.nrco.com/ Retour au charbon pour le SCO ( 18/02/2005 ) Des matches au couteau, c’est ce qui attend Obbadi, ici à la lutte pour la conquête du cuir, et ses coéquipiers, dans la course au maintien (Photo corr. NR, Michel Durigneux) La déception d’Albi passée, les Angevins se remettent au labeur dès ce soir, avec la réception de Guingamp. Une formation pas spécialement performante à l’extérieur, mais trouver le chemin des filets reste le problème numéro un du SCO. L’opération maintien est à ce prix. Angers SCO - En Avant Guingamp, vendredi 20 h, stade Jean-Bouin A Albi, dit Noël Tosi, tout s’est ligué contre nous. C’était bien le traquenard redouté. Et pour comble de malchance, Ognjenovic s’est blessé… La nouvelle recrue yougoslave, pourtant, aurait été un renfort bougrement précieux ce soir contre Guingamp. Mais bon. Il faudra faire sans. L’entraîneur angevin, qui ne pourra compter non plus sur Adamski, souffrant d’une gastro-entérite, devra revoir une nouvelle fois ses plans. Et il ne faut plus du tout perdre de temps dans l’opération sauvetage du SCO, qui se trouve de nouveau en mauvaise posture à la fin de l’hiver. Les Guingampais eux non plus ne sont pas au mieux, qui ont dû en rabattre de leur prétention de remontée au fil d’un parcours pour le moins chaotique. Surtout à l’extérieur : neuf victoires, six nuls, et dix défaites dont sept sur terrain adverse. Ce qui fait enrager Yvon Pouliquen, l’homme de l’ombrageux Le Graët. A Dijon, l’entraîneur breton a laissé des plumes et ne cesse de pester contre l’arbitrage, laissant passer une égalisation particulièrement douloureuse dans les arrêts de jeu. « A Angers, il faudra rectifier le tir », affirme un Pouliquen remonté, qui recherche désespérément le déclic propre à ramener enfin les trois points d’un déplacement. Pourtant, ce ne sont pas les arguments offensifs qui manquent avec les Fauré, Dagano et autres Rivière… « Prendre trois points à Dijon nous aurait mis en meilleure posture pour nous rendre à Angers », soupire Christophe Le Roux. Autant dire que le combat s’annonce rude pour aller chercher les points ce soir à Jean-Bouin. Les débuts de Rami Des points, il en faut évidemment pour aider le SCO à s’extirper de la zone rouge. On nous dit à la Baumette qu’Albi est désormais oublié. Qu’on va se consacrer exclusivement au championnat. Que d’autres formations de Ligue 2 encore en campagne de coupes pourraient bien en faire les frais tôt ou tard… Propos de dépit ou de circonstance ? Certainement un peu les deux. Parce que le SCO court de déception en déception. Pour débloquer le compteur, Tosi misera sur Rami, qui fera ses débuts sur la pelouse du stade Jean-Bouin. Marquer, enfin : telle est l’obsession chez des Angevins singulièrement muets dans les derniers mètres. Air connu, malheureusement, et depuis trop longtemps. Air connu aussi que le discours de Noël Tosi : « Il ne s’agit pas de se faire décrocher du groupe de milieu de tableau. On ne doit pas craquer. L’équipe a aujourd’hui le dos au mur, mais après tout, c’est une situation qu’elle connaît bien pour l’avoir vécue la saison dernière, et qui lui a plutôt réussi… » Mouais. Il faudra quand même gagner six ou sept matches sur treize pour s’en sortir. Et des matches au couteau, l’entraîneur angevin le sait. « Ce n’est pas la mer à boire, dit-il. Nous serons prêts, physiquement et mentalement. L’équipe avait besoin de renforts, c’est fait. Elle est plus forte que l’an dernier. » À prouver dès ce soir contre les Bretons d’En Avant. Michel PATEAU Les équipes Angers SCO : Lucas, Lachuer - Cygan, Dussart, Grimaldi, Sonnerat - Obbadi, Stassin, Moussi, Gourvennec, Djellabi, Assous, Traoré - Inkango, Théreau, Rami. Entraîneur : Noël Tosi. Guingamp : Carrasso, Debès - Bridonneau, Kouassi, Flachez, Sikimic, Joseph-Reinette - Bah, Le Roux, Michel, Abriel, Robert, Jouffre - Dagano, Fauré, Bourhani, Rivière. Entraîneur : Yvon Pouliquen.

[gregsco]

samedi 19 février 2005 Football : Une victoire très précieuse pour les Angevins Michel et Jouffre ont laissé échappé la victoire aux Angevins de Stéphane Stassin (à droite), en seconde période.Franck Dubray Le Sco a renoué avec le succès devant les Bretons. Et c'était indispensable pour une équipe qui continue à flirter avec la zone rouge mais qui engrange là trois points qui lui permettent de rester au contact du peloton des non relégables. Ce ne fut pas facile d'arracher cette victoire. Mais cela peut relancer la mécanique. Noël Tosi (entraîneur d'Angers) : « Nous avons évolué avec deux attaquants et un vrai numéro 10 puisque nous en avons un et un vrai. Nous avons peut-être été un peu laborieux, nous avons eu du mal à nous trouver mais c'est un peu le propre des équipes qui sont dans l'obligation de l'emporter. En fait, si l'on regarde bien, nous n'avons pas non plus tremblé trop. En seconde période, il est normal que nous ayons un peu subi puisque Guingamp pressait. Sur leurs ballons longs, nous étions bien obligés, de plus, d'être présents. Nous avons 27 points maintenant. Nous n'en avions que 21 l'an passé. Le Sco n'est donc pas mort et n'est pas encore en National. » Jérôme Sonnerat (arrière d'Angers) : « Elle fait vraiment du bien au moral, celle-là ! Nous l'avons mérité car nous nous sommes arrachés pour aller la chercher. Le coach nous avait dit que cela se jouerait très vraisemblablement sur des détails. C'est ce qui s'est produit. La chance au moins nous a un peu souris pour une fois. » Habibou Traoré (milieu d'Angers) : « Nous avons fait, je le pense, un bon match. Nous avons tout de même su bien gérer la situation. Les consignes ont été respectées. Et pour moi, c'est très bien d'être rentré à mon poste au milieu, celui que je préfère. » Stéphane Stassin (capitaine d'Angers) : « Il nous reste donc cinq matches à gagner maintenant. C'est une belle victoire pour le moral. Ça fait du bien. Nous avons souffert, c'est vrai, en seconde mi-temps, mais nous étions bien organisés. C'est un peu normal car Guingamp alors poussait vraiment. » Yvon Pouliquen (entraîneur de Guingamp) : « Cette défaite n'est pas méritée. En première période on a gâché des situations favorables, en seconde on a la possibilité de faire le break, mais une fois encore on n'est pas arrivé à tuer le match. À l'extérieur, la série noire continue mais sur le plan de l'état d'esprit je n'ai pas grand chose à reprocher aux joueurs, sur le plan du jeu aussi il y a eu des phases avec de la qualité. Ce soir il ne faut pas évoquer la fatigue du match de Dijon. On va se battre encore, il reste douze matches pour continuer à produire du jeu à la maison et à l'extérieur il faudra s'inspirer de des derniers déplacements en faisant preuve de plus de réalisme. Ca va finir par payer. Jusqu'à présent je n'ai pas eu à me plaindre de l'état d'esprit du groupe. » Recueilli par J.-F. C. et E.H.(lire aussi en Sports généraux)

[gregsco]

Football / Ligue 2 Papa Grimaldi est aux anges, il vient d’offrir à ses partenaires un but précieux. (Photos corr. NR, Michel Durigneux) Petite victoire, grand soulagement ( 19/02/2005 ) Réaliste sans être brillant, Angers SCO est parvenu, hier soir, à empocher trois précieux points face à une équipe de Guingamp sans génie. Une victoire capitale dans l’optique du maintien. SCO Angers : 1 En Avant Guingamp : 0 Albi est oublié. Mais Angers ne doit pas pavoiser. En s’imposant devant Guingamp, le SCO a grimpé une marche. Mais l’escalier qui mène au maintien est encore long et glissant… Avec Momo Dagano en tribune, plus Bertrand Robert et Christophe Le Roux sur le banc, l’entraîneur breton Yvon Pouliquen a surpris son monde. Il en faut plus pour inquiéter Noël Tosi, toujours aussi débonnaire avant le coup d’envoi. Une sérénité communicative. D’entrée de jeu, le SCO veut s’amuser. Mais Sikimic, sous la menace de Cristian Rami, le « petit » nouveau (1,87 m), dégage en corner (3ème). Théreau voit ensuite son but justement refusé pour hors-jeu (9ème). L’habile Argentin Rami sème de nouveau le trouble dans l’arrière-garde bretonne. Surpris, les Guingampais ne répliquent que sur des contres sporadiques. Le jeune Jouffre manque d’en profiter (18ème). La faute à Lucas, qui repousse. Une minute plus tard, Gourvennec, servi par Rami en bout de course, rate une belle occasion en ouvrant trop son pied. Sous l’impulsion d’un Rami aussi perforant qu’insaisissable, le SCO maintient son emprise. Après un coup franc de Gourvennec dévié par le mur (26ème), Grimaldi puis Rami sont à deux doigts de trouver les filets sur corner (32ème). Passé dix minutes de flottement, Théreau hérite d’une balle perdue, évite Sikimic et frappe. Mais Carasso veille au grain (41ème). La délivrance survient avec Grimaldi Sans Moussi émoussé mais avec un Habibou Traoré retrouvé, le SCO repart animé de bonnes intentions après les citrons. La reprise de Gourvennec, sur un centre d’Obbadi, échoue dans les bras de Carasso (47ème). Dans la foulée, la patte gauche de Jouffre manque le cadre de Lucas. Sur un service de « Coco » Michel, Bourhani, seul dans la surface, hérite de la meilleure opportunité bretonne. Mais le pied gauche de Lucas sauve le SCO (51ème). Visiblement secoués par leur coach dans les vestiaires, les Guingampais offrent un bien meilleur visage. Ce n’est pas cette frappe trop molle et déviée de Sonnerat qui surprend Carasso (57ème). La délivrance survient peu après l’heure de jeu. Gourvennec dépose le ballon sur la tête de Grimaldi, le jeune papa, qui smashe le ballon pour trouer les filets bretons (62ème). L’En Avant fait un pas en arrière. Un but en forme d’aubaine pour un SCO plus laborieux. Petit à petit, l’oiseau breton refait son nid dans le camp angevin. En contre, Rami se fait la malle. Sa course est stoppée (irrégulièrement ?) dans la surface par Bridonneau. Une éclaircie dans le combat engagé depuis l’ouverture du score. Tout comme cette frappe du petit Robert, de près de 25 m. Surpris, Lucas peine à lire la trajectoire. Il s’étend et dévie le ballon… sur sa barre transversale (83ème) ! Le SCO a eu chaud. Et malgré cinq minutes tendues de temps additionnel, Angers empoche trois points qui font vraiment du bien. Frédéric MICHEL La fiche technique - Mi-temps : 0-0 3.600 spectateurs. Arbitre : M. Brocas assisté de MM. Lefebvre et Rossignol. But pour le SCO : Grimaldi (62). Avertissements : Abriel (31), Sikimic (67), Fauré (73) pour Guingamp. Angers SCO : Lucas – Grimaldi, Dussart, T. Cygan – Obbadi, Stassin (cap.), Moussi (Traoré, 46), Sonnerat – Gourvennec – Thereau (Inkango, 86), Rami. Ent. : Noël Tosi. EA Guingamp : Carrasso – Bridonneau, Flachez, Kouassi, Sikimic – C. Michel (cap.), Jouffre (Le Roux, 76), Bah (Robert, 70) – Abriel – Fauré (Rivière, 78), Bourhani. Ent. : Yvon Pouliquen. Tosi : “ Le SCO n’est pas mort ” Noël Tosi (entraîneur du SCO) : « On a 27 points aujourd’hui, je suis vraiment heureux. Pour une fois, j’ai pu aligner deux véritables attaquants, avec un vrai numéro 10 en soutien. On devrait faire encore plus fort dans quelque temps, quand Ognjenovic aura récupéré de son élongation. C’est un championnat de fou furieux, mais le SCO n’est pas mort et n’est pas encore en National. Il faut laisser le temps au temps, le championnat se jouera comme d’habitude en mars-avril. » Yvon Pouliquen (entraîneur de Guingamp) : « On a gâché trop de situations favorables en première mi-temps et on a fait des cadeaux à Angers. Après, on ne parvient pas à marquer et on prend un but sur coup de pied arrêté. On a fait des efforts, on touche la barre… La série noire continue à l’extérieur. » - GUILLAUME NORBERT À JEAN-BOUIN. – L’ex-Angevin et désormais Nantais Guillaume Norbert est venu soutenir ses anciens coéquipiers hier soir. Il a pu suivre le match dans la tribune d’honneur en compagnie de son frère Ludwig, victime d’une tendinite au genou et de son père Patrick, président du SCO.

[Cisco]

Articles du jour de la Nouvelle République, par Frédéric Michel Retrouvez les informations de la Nouvelle République sur : http://www.nrco.com/ La route est encore longue ( 21/02/2005 ) Combatif et adroit, Cristian Rami a effectué des débuts prometteurs sous le maillot angevin, vendredi, devant Guingamp. (Photo corr. NR, Michel Durigneux) Avec un Rami convaincant, le SCO a fait le nécessaire vendredi, face à Guingamp (1-0). Il reste cependant un long chemin à parcourir pour décrocher le maintien. Le SCO n’est pas mort : du Tosi dans le texte. Non seulement le club angevin n’est pas à l’agonie, mais il s’est découvert, vendredi soir, un attaquant bien vivant en la personne de Cristian Rami. Motivé, disponible et habile techniquement, le jeune Argentin a fait étalage de ses qualités pour sa première apparition sous le maillot blanc et noir. « On ne s’est pas trompé, se réjouissait le coach. Cristian Rami est un joueur taillé pour la Ligue 2. Il est très costaud, il a une bonne technique et une super couverture de balle. Ce serait vraiment dommage de ne pas construire l’équipe autour de lui. » S’il n’a pas (encore) marqué, le nouveau venu a donc marqué des points dans l’esprit de son coach. Et du public de Jean-Bouin, en mal de bons attaquants, qui n’a pas manqué de scander son nom en seconde période. La lune de miel appelle toutefois confirmation sur la durée. Autre motif de satisfaction, la complicité née de l’association Rami-Théreau, avec Gourvennec au soutien. Même si le meneur de jeu n’a pas disputé son meilleur match depuis son arrivée en Anjou, l’organisation en 3-5-2 étrennée par Tosi paraît adaptée à ses qualités. « Pour une fois, j’ai pu aligner deux attaquants spécifiques avec un milieu offensif juste derrière, s’explique le technicien scoïste. Je suis heureux que ce système se soit montré performant. Nous sommes l’un des rares clubs en France à avoir un vrai numéro 10. Ce serait dommage de ne pas en profiter. » Stassin : “ Il nous reste au moins cinq matches à gagner ” Derrière son enthousiasme quasi-permanent, Tosi n’est pas pourtant pas dupe. Oui, le SCO a gagné. Oui, Angers a parfois séduit. Mais non, rien n’est dans la poche pour autant. « Quand on est obligé de gagner, l’équipe est un peu plus laborieuse, admet-il. On a joué plus bas en deuxième période, mais c’est logique, car il faut s’adapter au comportement de l’adversaire. Et tout cela ne nous a pas empêchés de nous créer de belles occasions. » Bien, peut mieux faire. L’analyse du capitaine Stassin reflète aussi ce sentiment : « Cette victoire fait beaucoup de bien, même si on a souffert en deuxième mi-temps. Après l’ouverture du score, on a pressé un peu moins haut. Avant le match, on savait qu’il fallait gagner encore six matches pour se maintenir. Il nous en reste au moins cinq à gagner. » Selon la théorie rendue célèbre par Guy Roux, et repris à leur compte par le président et le coach angevins, le maintien se gagne à 42 points dans un championnat à 20 équipes. Aujourd’hui, le SCO en a 27, « six de plus que l’an passé à la même époque », fait remarquer Tosi. Avec 15 points de plus, soit cinq victoires sur les douze dernières rencontres, le Graal sera atteint. CQFD. Seulement voilà, le football a ses raisons que la raison ignore. Vu le grain de folie qui s’est emparé de la Ligue 2 cette saison, chacun peut perdre et gagner n’importe où. Pas sûr alors que 42 unités suffisent en bout de course… L’avenir dira si le théorème du Nostradamus auxerrois tient encore la route. Une chose est sûre, celle du SCO est encore longue et semée d’embûches. « Ce qui est bien, c’est qu’il y a des équipes qui rigolent moins aujourd’hui. Lorient ou Amiens, par exemple, sont moins habitués que nous à lutter pour le maintien, évoque Arnauld Lucas, impeccable dans son but vendredi. Contre Guingamp, la réussite était avec nous, il ne faut surtout pas s’enflammer. Le chemin est encore très long, mais si on continue comme ça, on pourra voyager loin. » Le court déplacement chez la lanterne rouge niortaise, vendredi soir, ne sera sûrement pas l’étape la moins périlleuse de ce périple. Frédéric MICHEL

[darude]

merci pour les infos

[scomino]

Les echos du SCO... Lundi 21 février 2005 Rami déjà adopté par le public ! - Grosse sensation vendredi soir à Angers avec la première apparition de Christian Rami. L'argentin a beaucoup apporté à l'équipe et le public angevin semble avoir adopté l'ancien joueur de Cordoba. Djellabi sur le banc - Après un mois de blessure, le défenseur du SCO a retrouvé sa place dans les 16. Auteur d'une magnifique partie début janvier à Marseille, il n'est toutefois pas rentré vendredi face à Guingamp. Djellabli a en revanche joué avec l'équipe réserve. Le retour de William Huck - Touché aux ligaments, William Huck a fait son grand retour sur les terrains avec l'équipe réserve. Huck a joué en latéral gauche. L'équipe réserve à battu samedi Montaigu sur le score de 1 but à 0. 20 ans pour Jérôme Sonnerat - Jérôme Sonnerat a fêté samedi ses 20ans ! De la part de toute l'équipe du SCO nous lui souhaitons un très bon anniversaire ! Rudison Ferreira à Angers... - Du fait de quelques problèmes administratifs liés à son prêt au Gazélec d'Ajaccio, Rudison Ferreira était présent aujourd'hui à Angers afin de rencontrer les dirigeants angevins. Vincent Le Borloch

[scomino]

L'article du 23 Février 2005 <L'horizon du Sco s'éclaircit encore> mercredi 23 février 2005 Football : L'horizon du Sco s'éclaircit encore DH : Segré battu, Saumur accroché En s'imposant face à Montaigu (1-0) pendant que tous ses poursuivants, à l'exception de La Chapelle-des-Marais, lâchaient des points, le Sco a encore accru son avance au classement. Partageant désormais la deuxième place avec les Briérons, Saumur, tenu en échec par Saint-Dolay (0-0), est ainsi relégué à 12 longueurs. Deux points devant des Segréens cueillis à froid par La Châtaigneraie (0-1). 14 points d'avance à 10 journées du baisser de rideau ! Le Sco a beau gardé un oeil attentif dans son rétroviseur, il n'y voit plus que de lointains poursuivants. Autant dire que la montée en CFA 2 est en très bonne voie. « C'est vrai que cela se présente bien, il ne faut pas le cacher, confie Jean-Marc Nobilo. Toutefois, nous nous devons de garder un maximum de respect vis-à-vis de nos adversaires. Tous les matches sont difficiles. Face à Montaigu, nous avons ainsi dû attendre le dernier quart d'heure pour faire la différence. » Et l'entraîneur angevin s'attend à de nouvelles rudes joutes dans les semaines à venir. Avec tout d'abord un déplacement au Poiré-sur-Vie, suivi de la réception de Rezé, puis de deux escapades chez des mal classés (Vertou et Nort-sur-Erdre). « Nous serons, à chaque fois, attendus au coin du bois, prévient Jean-Marc Nobilo. A l'issue de ces quatre matches, nous verrons où nous en sommes. Mais il est certain que notre statut de leader est une source de motivation supplémentaire pour l'adversaire. » Tout comme doit l'être la belle aventure des Saumurois en Coupe de France. En tout cas, dimanche, les Olympiens ont dû se contenter du partage des points face à Saint-Dolay. « Nous n'avons pas fait un bon match, déplore Patrice Sauvaget. Nous avons surtout eu beaucoup trop de déchets techniques. » Et si Wallace Das Merces et ses partenaires ont, tout de même, réussi à se procurer quelques occasions, le score final apparaît logique. « Au vu de notre production, nous ne méritions pas gagner », enchaîne ainsi l'entraîneur saumurois. « C'est certes dommage compte tenu des autres résultats, mais, dans une saison, il y a toujours un moment où chaque équipe laisse des plumes. J'espère maintenant que nous saurons retrouver notre jeu pour une très délicate rencontre, à La Châtaigneraie. » La formation vendéenne vient d'ailleurs de créer la surprise, en s'imposant sur le terrain de Segré. Les Haut-Angevins ont payé cash une entame de match poussive, et quittent ainsi le podium. A eux de se reprendre ce week-end avec un déplacement chez la nouvelle lanterne rouge, la réserve de La Roche VF. E. E.

[scomino]

L'article du 24 Février 2005 <Football : La mauvaise série des Chamois> Ligue 2 : Angers Sco se déplace à Niort, demain (20 h) Au match aller, Cygan et les Angevins s'étaient inclinés 2-1 à Jean-Bouin, contre les Chamois. Mais forts de leur récente victoire face à Guingamp, Ils tenteront de poursuivre leur remontée au classement, demain soir, chez la lanterne rouge du championnat.Georges Mesnager. Les Chamois niortais sont dans le trou, comprenez installés dans les bas-fonds du classement. Ils n'ont pas gagné en championnat depuis le 12 novembre. Le changement d'entraîneur opéré en début d'année par les dirigeants n'a pas eu l'effet escompté pour le moment. Noël Tosi et sa troupe se rendent demain dans les Deux-Sèvres, à Niort, à l'occasion de la 27e journée du championnat. Les Chamois, ils s'en souviennent. Ce sont eux qui leur avaient volé la vedette à Jean-Bouin, en septembre dernier, montant dans le bus du retour avec trois points dans les poches (1-2). Chez qui les Angevins vont-ils mettre les pieds, cinq mois plus tard ? Il n'est pas évident de faire le tour de la question. Commençons par les statistiques. Si l'on se réfère uniquement aux chiffres, on peut dire sans se tromper que les Chamois sont dans de sales draps. Derniers au classement avec 24 points, ces derniers n'ont pas goûté à la victoire depuis le 12 novembre. Autant dire une éternité. Première personne à avoir fait les frais de résultats chaotiques, l'entraîneur, évidemment. Vincent Dufour a été remplacé, le 12 janvier dernier, par le directeur du centre de formation et entraîneur de la réserve, Pascal Gastien, au soir d'une lourde défaite à Grenoble (5-1). Celle de trop pour les dirigeants. Depuis ? Les Chamois n'ont pas sorti la tête de l'eau. Point de choc psychologique dans les Deux-Sèvres. Tout juste cinq matches nuls et une défaite sur les six dernières journées. Seulement deux buts marqués. C'est peu. Pourtant, le coach niortais peut s'appuyer sur quelques bases intéressantes avant la venue d'Angers. Par exemple, la dernière sortie en championnat, qui fut loin d'être ridicule. Ils sont revenus de Troyes, 2e au classement, avec le point du match nul (1-1) ce qui n'est pas un petit résultat. Bien sûr, en d'autres temps, ce nul aurait été une excellente opération. Avec un classement défavorable et des concurrents directs au maintien qui gagnent (Le Havre, Angers), Gastien et les siens n'ont pas vraiment profité de ce bon point. N'empêche. L'entraîneur niortais : « Par rapport à ce que nous montrons en ce moment, je pense que nous méritons mieux que notre classement actuel. Maintenant, il s'agit de gagner. » Autre base de travail intéressante : les recrues du mercato. Le club a décroché la signature de James Obiorah, international nigérian, attaquant de pointe, prêté pour six mois par le Lokomotiv Moscou. Un autre international nigérian s'est engagé pour trois ans et demi avec le club : Femi Opabunmi, milieu offensif, venu en renfort suite au départ de Darbelet à Clermont. Reste à savoir si ces renforts suffiront à remonter la pente d'ici à la fin de l'exercice. Le groupe niortais (sous réserve) : Marichez, Foulon, Joseph-Augustin, Couturier, Ferrier, Azzopardi (cap), Féret, Jallet, Opabunmi, S. Michel, Obiorah, Allibert (g), Deschamps, Ducloux, N'Da, Brouard. Du côté d'Angers Sco · Trois retours. Noël Tosi enregistre trois retours dans le groupe pour le déplacement à Niort : Bédrossian, remis de son élongation à la cuisse ; Adamski, guéri de sa gastro-entérite, et Portillo, enfin qualifié et opérationnel. Par ailleurs, l'attaquant Cristian Rami, touché à la cheville face à Guingamp, devrait tenir sa place, demain soir. · Déplacements. Les Angevins partiront à Niort en car, demain à 9 h 30, pour rejoindre les Deux-Sèvres. · Le groupe angevin : Lucas, Lachuer, Sonnerat, Dussart, Grimaldi, Cygan, Obbadi, Moussi, Stassin, Gourvennec, Théreau, Rami, Assous, Traoré, Inkango, Bédrossian, Adamski, Portillo.

[Cisco]

Articles du jour de la Nouvelle République, par Frédéric Michel Retrouvez les informations de la Nouvelle République sur : http://www.nrco.com/ Arnauld Lucas incertain ( 24/02/2005 ) A la veille d’affronter les Chamois Niortais, Noël Tosi devrait s’appuyer sur le groupe qui a battu Guingamp vendredi dernier. Julien Lachuer pourrait toutefois retrouver sa place dans les cages au détriment d’Arnauld Lucas, qui souffre de la cuisse. Ce dernier s’est contenté de trottiner ces derniers jours et fera un test aujourd’hui pour voir s’il peut tenir sa place. En outre, Adamski, Portillo, Djellabi (qui a joué avec la réserve dimanche) et Bédrossian s’entraînent normalement et pourraient faire partie des seize, au contraire de L. Norbert, remis de sa tendinite au genou mais suspendu. Kerhuiel (tendon d’achille) et Ognjenovic (cuisse) sont coincés à l’infirmerie. Le Breton pour une longue durée, alors que le Serbo-Monténégrin sera de retour pour le match contre Amiens (4 mars), ou plus sûrement à Clermont (11 mars). Par ailleurs, le prêt de Rudison Ferreira au Gazélec d’Ajaccio (National) a bel et bien capoté, le club corse ayant trop tardé à remplir les formalités administratives. Le Brésilien est donc revenu en Anjou, mais avec un contrat amateur, car le club a déjà atteint le quota autorisé en Ligue 2 de deux joueurs professionnels hors Union Européenne (Ognjenovic et Portillo). --------------------------------------------------------------------------------------------------- Deux Camerounais bientôt à Angers ( 24/02/2005 ) Rami, Portillo, Ognjenovic et Adamski ne seront pas les seuls renforts du SCO en ce début d’année 2005. Comme annoncé dans une précédente édition, deux internationaux espoirs camerounais vont également rejoindre prochainement les bords de Maine. En fin de semaine au mieux, la semaine prochaine au plus tard, B. NGom (21 ans) et Ande Dona NDoh dit Dona (18 ans, 1,83 m), qui ont paraphé leur contrat avant la date de clôture des transferts le 31 janvier, auront obtenu leur visa après trois semaines de patience. Il reste cependant quelques détails à régler. « Les derniers documents voyagent actuellement entre la France et le Cameroun par valise diplomatique, explique Manuel Gigot, l’un des responsables de la société de conseil sportif belge qui gère les intérêts des deux joueurs (ainsi que ceux de Stéphane Stassin, le capitaine du SCO). Les choses sont allées assez vite, mais tout a été fait dans les règles de l’art. Tous les accords sportifs existent de la part des clubs et des joueurs. » Une information confirmée par le président angevin Patrick Norbert : « Cela a demandé pas mal d’énergie, mais ils devraient arriver au plus tard en début de semaine prochaine ». En provenance du Sable de Batié, club de première division camerounaise, B. NGom est un milieu très offensif, sorte de neuf et demi plus passeur que buteur. Son frère aîné Daniel évolue déjà en Europe, à Getafe (Ligue 1 espagnole). Elu meilleur espoir du Cameroun en 2002 et 2003, il connaît déjà la France pour avoir participé au tournoi de Montaigu (Vendée). Dona NDoh est lui issu d’un centre de formation camerounais au statut d’ONG qui dispose également d’une équipe en première division camerounaise. « C’est l’avant-centre le plus recherché du Cameroun », dit de lui Manuel Gigot. Si tout se passe bien, les deux jeunes joueurs, engagés pour au moins deux saisons, pourraient être à la disposition de Noël Tosi pour le difficile mois de mars qui attend le SCO. F.M. ---------------------------------------------------------------------------------------------------- “ Un match couperet nous attend ” ( 24/02/2005 ) Pour abandonner la 20e et dernière place et revenir sur Angers (18e), trois points devant, les Niortais n’ont plus le choix. “ Si on se loupe demain soir, ça va devenir terriblement compliqué ”, reconnaît le défenseur Jérôme Foulon. Niort - Angers, vendredi, à 20 heures Le bon nul obtenu à Troyes (1-1), vendredi dernier, n’a pas pesé lourd au regard des résultats positifs de la plupart de vos adversaires directs. Cela doit vous décevoir ? Jérôme Foulon : « Oui, parce que l’écart a grandi entre eux et nous et la satisfaction d’avoir réussi une bonne performance dans l’Aube a été suivie d’une grosse déception. Derrière, il y a maintenant ce match hyper important contre Angers. De deux choses l’une, soit on le gagne et on revient sur les Angevins, soit on se loupe et on donne raison à ceux pour qui nous avons déjà un pied en National. On est conscient qu’un match couperet nous attend demain. » L’enjeu est énorme pour une équipe niortaise qui n’a jamais renoncé, ne perd plus mais ne gagne pas et c’est là son gros problème ? J.F. : « Il y a eu une période où on a mis en exergue notre incapacité à faire des nuls. Maintenant, il y en a trop. Le groupe n’a jamais abdiqué jusqu’à présent parce qu’on a toujours été au contact. Il n’y avait pas de raisons de baisser les bras. Aujourd’hui, il faut faire plus, c’est-à-dire confirmer tout le travail très sérieux accompli chaque semaine et ce qu’on a démontré en jeu à Sedan et à Troyes. A l’extérieur, on prendra des points ; j’en suis convaincu. Pour atteindre la barre des 42 points sans doute synonyme de sauvetage (NDLR : Niort possède actuellement 24 points), il nous faut six victoires à accrocher majoritairement chez nous, sachant qu’on reçoit 7 fois pour 5 déplacements. » Donc, il est plus que temps de tout donner ? J.F. : « Devant un gros public annoncé, il va falloir rentrer dans le match avec un état d’esprit conquérant. Notre destin, on l’a dans les pieds. A nous de jouer. Et peu importe la marque. Les trois points avant tout. Il nous faut cette victoire qui, j’en suis persuadé, nous relancerait et nous remotiverait. » Philippe BIAIS Sans Coulibaly ni Lalaoui Se plaignant d’une cuisse, David Coulibaly a passé un examen hier (IRM) qui pourrait diagnostiquer une origine sciatique. Une chose est sûre, le milieu gaucher est à court d’entraînement et est donc forfait. Absence également de Stéphane Lalaoui (mollet), alors que Damian Facciuto (blessé et suspendu à Troyes) repassera a priori par la réserve. Cette semaine, Pascal Gastien a travaillé avec un groupe large (27 joueurs) composé d’éléments qui « expriment un réel dynamisme » et « tirent tous dans le même sens ». L’entraîneur a quand même fait son choix et a retenu seize individualités : Marichez, - Foulon, Vincelot, N’Da, Joseph-Augustin, Couturier, Ferrier, Bouard, Jallet, Azzopardi, Féret, Michel, Deschamps, Dissa, Opabunmi et Obiorah. Angers : quel gardien ? Touché à une cuisse, le portier angevin Lucas pourrait être suppléé par sa doublure, Lachuer. Il est acquis que Ludwig Norbert (suspendu) restera en Anjou, alors que trois rentrées sont annoncées au SCO : Portillo (ex-Servette de Genève), le Polonais Adamski et Bédrossian, de retour de blessures. Noël Tosi arrêtera son équipe à l’issue de l’entraînement prévu ce matin.

[yohann]

Quelqu'un aurait il le magazine "l'Expansion" en version angevine, ou Patrick Norbert a sa photo sur la couverture ? Si oui, est il possible de scanner/recopier la partie parlant de Patrick Norbert ?

[scomino]

L'article du 25 Février 2005 <Football : Angers s'attend à un dur combat> L'attaquant argentin Cristian Rami, très accrocheur et batailleur face à Guingamp il y a une semaine, devrait être aligné par Noël Tosi, ce soir, à Niort. A condition que sa cheville le fasse moins souffrir.Georges Mesnager Le déplacement dans les Deux-Sèvres, ce soir, pour le compte de la 27e journée du championnat, s'annonce comme un match capital dans la course au maintien. Les Chamois, bons derniers du classement, promettent aux Angevins, pas franchement mieux lotis, une rude bataille. « On nous a même promis l'enfer », confie Tosi. Les Angevins sont partis en car, ce matin, dans les Deux-Sèvres, après un réveil musculaire à la Baumette, à l'heure où le froid mord les joues. Leur centre d'entraînement, ils l'avaient d'ailleurs mis de côté ces jours derniers. Faisait trop froid. Pelouse gelée. Vive le terrain stabilisé de Monplaisir. Noël Tosi : « C'est vraiment un outil merveilleux ce terrain. Nous avons beaucoup de chance. Cela dit, j'ai été obligé de revoir un peu le programme des entraînements car la récupération est plus difficile sur ce genre de sol. Il provoque des problèmes tendineux. » Commençons par l'infirmerie justement. Mercredi, Noël Tosi était heureux de voir revenir dans son groupe les garçons que sont Adamski, Bédrossian et Portillo. Hier, il y ajoutait le retour de Djellabi. Ludwig Norbert, lui, est suspendu. Mais comme rien ne se passe comme prévu dans la vie d'un entraîneur, Rami, qui avait pris un coup à la cheville contre Guingamp, est toujours incertain. Arnaud Lucas également, apprenait-on hier. « Mis à part ces deux incertitudes, je ne m'interdis rien quant à l'équipe que je vais aligner à Niort. » Ce qui signifie que Noël Tosi fait partie de ces entraîneurs qui gardent secret, jusqu'au coup d'envoi, leur onze de départ. « Ça fait 20 ans que je fonctionne comme ça. C'est une manière de piéger les adversaires. » Les paris sont donc lancés. On imagine que le tacticien donnera enfin sa chance à Marcin Adamski, recrue du mercato, en défense, celui-ci étant remis d'une vilaine gastro. Pascal Bédrossian, qui souffrait d'une élongation, devrait jouer en équipe réserve. Et, pourquoi ne pas envisager la présence de Portillo sur le banc. À moins que, concernant ce « brillant technicien », il ne souhaite pas le mettre d'entrée de jeu à l'épreuve de Niortais à la dent dure. Niort n'a pas gagné depuis trois mois Noël Tosi : « On entend dire tout et n'importe quoi. Qu'ils vont nous rentrer dedans, nous mettre des coups. On nous a même promis l'enfer », dit-il calmement. L'enfer du Niort. « Et bien ça m'est égal. Nous, on aime ça. » Faut dire que Niort n'a pas gagné en championnat depuis le 12 novembre. Une éternité en football, qui a valu à Vincent Dufour d'être remercié puis remplacé par Pascal Gastien, directeur du centre de formation, mi-janvier. Depuis l'arrivée de Gastien (soit six matches), les Chamois ont enchaîné cinq nuls et une défaite, ont marqué deux buts seulement. Pascal Gastien justement : « Nous ne serons surtout pas belliqueux. Si ça doit passer, ce sera par le jeu. Mais après tout, chacun motive ses joueurs comme il veut. » À l'aller, les Chamois l'avait emporté 2-1 à Jean-Bouin. Mais depuis le mercato, les deux équipes ont changé de visage.

[jourdesco]

Quelqu'un aurait il le magazine "l'Expansion" en version angevine, ou Patrick Norbert a sa photo sur la couverture ? Si oui, est il possible de scanner/recopier la partie parlant de Patrick Norbert ?

Moi je l'ai mais pas ici... Je vais essayer de recopier ça ce WE.

[Gérard Lambert]

L'article sur PN dans l'Expension,spécial Angers: Patrick Norbert le supporter cinéphile d'Angers: Producteur de cinéma parisien,Patrick Norbert s'est pris de passion pour l'équipe de football angevine en 2003,alors qu'elle venait de remonter en Lique 2.Le Sporting club de l'Ouest vient de connaitre son heure de gloire en mettant en echec l'OLympique de Marseille en coupe de France.Le club reste pourtant traversé par des crises à répétition.A l'image d'un Robert Louis Dreyfus à Marseille,Patrick Norbert n'en finit pas de racapitaliser le club (il y a engloutit 600 000 euros et controle 75% du capital).Ses deux fils,evoluent au SCO d'Angers,l'un d'eux ayant même décroché l'an dernier le titre de meilleur buteur de l'équipe. L'expansion/mars 2005/numéro 695

[Cmoiiiii]

J'espère qu'en conclusion ils vont mettre un truc du genre : Une aide sera-t-elle apportée par le club à ses fidèls spectateurs en vue du déplacement au Vélodrome le 08 janvier prochain? On peut rêver

Ouai c'est net je suis daccord

[Max]

T'es à la bourre cmoiiiiiiiiiiii

[Zikaz]

ça sent la paysanne ça

[Cmoiiiii]

N'empeche que je suis préssé de le voir !! Vivement jeudi!

[Foulque-nerra]

petit rappel : sujet lancé le: Mar Déc 14, 2004 2:40 pm

[Rusty]

[scomino]

L'article du 28 Février 2005 <Football : Le Sco a trouvé la bonne formule> LIGUE 2. Angers. Noël Tosi et ses joueurs ont pris quatre points sur six lors des deux dernières rencontres. L'opération maintien débute bien. Jocelyn Gourvennec et les Angevins sont en bonne voie pour le maintien.Georges Mesnager Avant la réception de Guingamp, il y a une semaine, à Jean-Bouin, nous disions du Sco qu'il était au pied de la montagne, c'est-à-dire à l'aube d'une série de matches importants dans la course au maintien. Depuis la victoire obtenue devant En Avant et le résultat nul à Niort, vendredi, on peut dire que l'ascension a bien commencé. Noël Tosi s'est fixé un total de 42-43 points pour s'assurer d'une nouvelle saison en Ligue 2. Les mauvaises langues diront que ramener un seul point des Deux-Sèvres n'est pas franchement une bonne opération. Mieux, que la bande à Tosi est toujours scotchée à la 18e place du classement, synonyme de relégation. Certes, mais voilà : dans le vestiaire, vendredi, à l'issue du match, régnait une atmosphère tranchant radicalement d'une équipe de bas de tableau. Sébastien Grimaldi : « Depuis un moment, le Sco revit. » Si un dessinateur avait dû le caricaturer, il aurait simplement esquissé une casquette et un sourire fendu jusqu'aux oreilles. Pendant plusieurs minutes, le jeune papa loua les qualités de la défense angevine. Il avait raison. Le trio Adamski-Dussart-Grimaldi eut de quoi rassurer Noël Tosi, surtout quand il tint bon la barre face aux bourrasques niortaises. Des Chamois loin d'être ridicules en seconde mi-temps, d'ailleurs. « Si le règlement le permettait, j'aurais donné trois points à chaque équipe », disait Tosi, jamais avare de bonnes phrases. Quand les observateurs lui parlaient de sa nouvelle organisation défensive, il analysait les choses ainsi : « Avec les monstres que nous avons derrière, je n'ai pas eu peur du réveil niortais. » C'est donc cela qui a changé sensiblement depuis la déroute à Albi, en coupe de France : une confiance retrouvée en défense. Marcin Adamski, le Polonais arrivé à la fin du mercato et prêté jusqu'à la fin de l'exercice, y est pour beaucoup. « C'est un mur », confie le tacticien angevin. IIl fit preuve de rigueur dans ses relances. Là où le Sco pêche encore, finalement, c'est « dans le domaine de la confiance », disait Jocelyn Gourvennec. « Nous ne sommes pas encore assez bien pour tuer ce genre de match. » Le meneur de jeu scoïste et Cristian Rami doivent encore regretter leurs occasions en tout début de match où ils se présentèrent seuls devant Marichez à quelques minutes d'intervalle. Passons. En parlant de l'attaquant Argentin, il a confirmé les qualités entrevues contre Guingamp, une semaine plus tôt, et s'avérera précieux en attaque pour la fin du championnat. Cette semaine, Noël Tosi continuera de pousser ses joueurs dans le sens du maintien. Il en est persuadé : le Sco ne jouera pas en National l'été prochain. Il le martèle. L'ascension a bien commencé. Mathieu COUREAU.

[Cisco]

[quote="Cisco"]Articles du jour de la Nouvelle République, par Michel Pateau Retrouvez les informations de la Nouvelle République sur : http://www.nrco.com/ Un bon point pour Angers SCO ( 28/02/2005 ) Noël Tosi était satisfait de son nouveau système, avec Cygan en récupérateur. Le résultat nul obtenu vendredi, à Niort, est un signe positif, de l’avis unanime chez les Angevins, dans la course au maintien. A condition de s’imposer à domicile vendredi. Si le score final de 0-0 plonge à nouveau nos voisins Niortais dans les affres du doute, il rassure plutôt les Angevins pour la suite des événements. Et au-delà du match nul, Noël Tosi voit aussi, et surtout, la manière dont il a été obtenu : « On aurait pu gagner. En tout cas, ce qui est bon signe, c’est qu’on n’a jamais reculé. Avec les monstres dont on dispose derrière, on ne peut avoir peur. » C’est en tout cas la première fois depuis longtemps que le SCO parvient à enchaîner un bon résultat après une victoire à domicile. On verra vendredi prochain contre Amiens, au stade Jean-Bouin, si l’embellie est réelle, ce qui serait fort encourageant dans la rude course au maintien engagée depuis la fin de la trêve hivernale. D’autant plus que les Chamois – et c’est Noël Tosi, jamais avare d’un hommage, qui le dit – sont une curieuse lanterne rouge, qui parvient tout de même à réunir un peu plus de 7.500 spectateurs. Ce qui fait dire aux observateurs que les Deux-Sévriens ne sont pas vraiment à leur place dans ce championnat dont l’issue est encore totalement imprévisible. Il reste qu’il faut poursuivre l’effort à un rythme soutenu : réception d’Amiens le 4 mars, déplacement à Clermont le 11, visite de Créteil le 18. « Ce pourrait bien être la période où certaines équipes vont baisser leurs performances, et d’autres se retrouver en forme. Attention aux surprises… » pronostique depuis un certain temps le coach angevin. Pour le SCO, il était grand temps. Avant le match à Niort, les Angevins restaient en effet sur quatre revers consécutifs à l’extérieur : défaites à Brest, Montpellier, Troyes et Nancy. Par un certain hasard, le dernier succès d’Angers en voyage, c’était contre Amiens le 25 septembre (0-2). « Nous avons résisté, nous avons même tout donné pour conserver ce résultat nul, c’est un très bon point », disait Thierry Cygan dans les vestiaires de Niort. Jocelyn Gourvennec, qui n’a réalisé qu’une mi-temps à Niort, veut aussi voir une nette amélioration sur les prestations prédédentes (il n’avait lui-même pas été au mieux contre Guingamp) : « Nous ne sommes peut-être pas encore en confiance pour remporter ce genre de matches. Mais c’est une bonne performance, qui reste à confirmer devant Amiens à domicile. Je crois que nous avons trouvé la bonne formule défensive. » Cette même défense qui a plu à l’entraîneur, comme s’il avait retrouvé les vertus un peu oubliées ces temps derniers d’un SCO costaud derrière. Noël Tosi : “ C’est bon pour la suite ” Les positions d’Adamski en défense centrale et de Cygan en milieu récupérateur semblent intéressantes. « Nous avons été prudents, bien placés défensivement. Dommage que nos contres n’ont pas porté leurs fruits, mais nous n’avons aucun regret à avoir », commente le milieu défensif et capitaine Stéphane Stassin, victime d’une béquille dès la deuxième minute de jeu et contraint de céder la place à Traoré après la pause. Noël Tosi est également satisfait de ses attaquants. Enfin, pourrait-on dire : « Théreau et Rami ont posé beaucoup de problèmes aux Niortais, ce qui avait déjà été le cas contre Guingamp. C’est bon pour la suite. » Il reste que le SCO a tout de même pas mal souffert en deuxième mi-temps, où Niort était tout prêt de mettre la balle au fond des filets sans un impeccable Julien Lachuer. « C’est vrai que nous avons reculé, dit Tosi. Nous avons peut-être joué un peu trop haut, ce qui nous a obligés à des courses trop longues pour revenir défendre. » Mais bon. Un point, c’est un point. Et contre un concurrent direct pour le maintien, c’est encore meilleur. Michel PATEAU ------------------------------------------------------------------------------------------------------- Angers maintient Niort à distance 26/02/2005 Yaya Dissa faisait sa rentrée côté droit, et se fait subtiliser ici un ballon par Sonnerat, sous le regard de Cygan. Le SCO, hier soir, a contraint Niort de partager les points. C’est, pour les Chamois, le troisième 0-0 à domicile de suite ! Niort : 0 Angers : 0 C’est un miracle, s’est extasié l’entraîneur angevin Noël Tosi, en surveillant l’échauffement des siens. Je suis passé à René-Gaillard à 13 h, la pelouse était injouable. Ce soir, c’est parfait ! Les Niortais, tout également contents de se produire malgré les importantes chutes de neige de la matinée, attendaient eux aussi une heureuse surprise, sous forme d’une victoire qui les fuit depuis le 12 novembre ! Ce match des cancres, des mal classés, suait déjà la crainte de mal faire, de se « planter » une nouvelle fois. Un enjeu énorme qui était peut-être mieux négocié par les Angevins à l’entame, Le SCO avait finalement intégré le Polonais Adamski dans le « onze » titulaire et se procurait les deux meilleures occasions par Rami (4ème, frappe un poil trop croisée), et Gourvennec (11ème, frappe finalement trop molle devant Marichez). Les Chamois, c’est une évidence, étaient terriblement crispés. Craigant le châtiment immédiat d’un contre toujours possible de Théreau ou de Rami. Niort était à la recherche de décontraction et de fluidité, et un face à face entre Obiorah (servi par Michel, 26ème) et Lachuer, aurait pu ouvrir une brèche. L’international nigérian prêté par le Lokomotiv Moscou eut ensuite une occasion unique de lancer définitivement ses couleurs, manquant son contrôle sur ballon offert par Féret et ne pouvant armer sa frappe aux 6 m, seul face à Lachuer (38ème). Une grosse opportunité qui s’envolait. Niort ne marque plus Revenus sur la pelouse sans leur capitaine Stassin blessé, les Angevins croyaient toujours en leur chance, témoin cette action conjuguée de Théreau et de Rami (49ème) qui affolaient complètement la défense niortaise avant que Marichez ne s’en sorte. Les débats ne montèrent pas plus haut. On tombait même dans des approximations redoutables avant que Féret ne réveille le match en deux occasions juste après l’heure de jeu, ses débordements et ses centres précis trouvant Azzopardi puis Michel pour des reprises à chaque fois juste au-dessus de la transversale. Mais sans but, pas de victoire, et Niort a la fâcheuse tendance de ne plus trouver le chemin des filets. Avant la venue du SCO, Marichez et ses camarades avaient déjà buté à domicile avec un score vierge sur Châteauroux puis Dijon. Nouvelle déception hier soir dans le camp deux-sévrien dans une formation où Gastien lançait en fin de match de nouvelles cartouches offensives avec le deuxième Nigérian Opabunmi et Deschamps. Rien n’y fit, même pas cette reprise acrobatique d’Obiorah (90ème), les Angevins repartaient avec le bénéfice d’un nul qui a le mérite de maintenir Niort à distance. Pas d’assurance précise encore sur un maintien pour le SCO, mais un petit pas de fait en maîtrisant un adversaire qui se rapproche petit à petit du National. C’est infiniment dommage, mais les Chamois, décidément, n’arrivent plus à trouver l’ouverture, et se mettent dans une position de plus en plus périlleuse. Comment peuvent-ils encore s’en sortir ? Christian BONNIN ------------------------------------------------------------------------------------------------------- Les Chamois s’interrogent 28/02/2005 Toujours sans victoire depuis le 12 novembre, Niort n’a pu venir à bout d’Angers dans le derby et reste dernier. Châteauroux, grâce à un match nul à Reims, est encore au contact du podium pour l’accession en Ligue 1. Les statistiques commencent à se montrer vraiment cruelles avec les Chamois niortais. Outre la dernière place dont ils n’arrivent pas à s’extirper, ils possèdent le triste privilège d’un avant-dernier rang au classement des attaques et de l’antépénultième à celui des défenses. Ils n’ont pas marqué un but autre que sur penalty, coup franc ou résultant immédiat de coup franc depuis le 29 octobre à Amiens. Pas gagné à domicile depuis le 15 octobre (contre Guingamp) et plus triomphé à l’extérieur depuis le 12 novembre à Créteil ! Autant dire qu’à onze journées de la fin, après un nouveau nul vierge (le troisième consécutif à René-Gaillard), cette fois contre Angers, l’avenir s’assombrit terriblement pour les Chamois. « Une nouvelle fois, on est déçus, a commenté Pascal Gastien. Les joueurs étaient tétanisés par l’enjeu. Il nous faut à tout prix une victoire déclic, et gagner six fois avant la clôture du championnat. Je suis sûr que cela reste encore possible ». Noël Tosi, « même si une victoire des Angevins n’aurait nullement été usurpée », était lui heureux. D’abord que son SCO ait pu se produire à Niort, ce qui n’était pas du tout évident dans la matinée puisque 10 centimètres de neige recouvraient la pelouse, ensuite parce que le point pris permet de garder Niort à distance (3 points) à une heure où seuls Le Havre (2-1 contre Grenoble) et Amiens (3-2 face à Troyes) ont fait les bonnes opérations du jour. La tête prend froid C’est en tête que les surprises ont été les plus généreuses. Le leader Nancy, chez lui, s’est vraiment enrhumé en s’inclinant devant Laval. Marcel-Picot n’avait plus vécu un tel cauchemar depuis la 2ème journée et une victoire de Sedan, 1-2 ! Les Ardennais, justement, ont subi la loi du Mans (un net 3-0), et ont dû descendre de leur piédestal qui consistait jusqu’à présent en une troisième place sur le podium accessible. Un endroit où les Troyens, on l’a vu plus haut, ont eux aussi été ébranlés, l’ESTAC nourrissant le singulier paradoxe de posséder l’attaque la plus incisive (45 buts) pour la défense la plus perméable (37) ! Si bien que ceux qui ne font pas trop de bruit peuvent encore espérer. Ainsi, Gueugnon, qui passe par un trou de souris et un but de N’Zigou contre Brest. Mais également Châteauroux, qui signe un 1-1 comme à l’aller à Reims. « Nous avions certes une ambition de victoire, a déclaré Victor Zvunka, mais au moins nous avons eu le mérite de revenir au score et de rester au contact du groupe de tête ». Christian BONNIN

[darude]

merci

[sco75]

merci bcp

[scomino]

L'article du 03-Mars 2005 <Football : « Amiens est en pleine transition »> Ligue 2 : trois questions à Alex Dupont, entraîneur d'Amiens Alex Dupont, entraîneur d'Amiens qui rencontrera Angers Sco, vendredi, à Jean-Bouin : « Les joueurs de Noël Tosi nous avaient faits très mal à la maison, lors du match aller. Cette équipe sera difficile à manoeuvrer chez elle. »David Ademas. Après un intérim au Stade lavallois en fin de saison dernière, Alex Dupont a posé ses valises à Amiens, l'été dernier. Son équipe pointe actuellement à la 14e place du classement, cinq points devant les Angevins et affiche un bilan, à l'extérieur, de 3 victoires, six nuls et cinq défaites. Elle sera à Jean-Bouin vendredi soir. À quoi ressemble Amiens version Alex Dupont ? Nous avons fait un début de championnat correct. Ici, en Picardie, nous avons une équipe à rebâtir. Nous sommes en pleine période de transition. Je dispose d'un groupe renouvelé en grande partie. Notre but est de découvrir de jeunes talents, de les aider, de les former et de les faire évoluer avec des joueurs expérimentés. Un exemple à ce sujet : en ce moment, nous évoluons avec deux très jeunes attaquants que sont Dia et Baldé. Je les associe à Titi Camara. Concernant notre saison, deux périodes se dégagent clairement. Jusqu'à la trêve, nous étions dans de bonnes dispositions. Le seul non-match que nous avions disputé, c'était justement contre les Angevins. Je ne me l'explique toujours pas, d'ailleurs. Ensuite, nous avons eu des blessures en nombre, avec, entre autres, la rupture des ligaments croisés de Fernando Casartelli, notre défenseur central. Ça a été la tuile. Début 2005, les résultats sont devenus catastrophiques et nous sommes redescendus dans la seconde moitié du classement. Il n'y a jamais eu de mauvaises intentions dans le jeu, mais un manque d'envie. Quel regard portez-vous sur cet exercice 2004-2005 ? Les grosses équipes n'étaient pas en place en début de saison. Elles ont mis du temps à trouver leur rythme de croisière. Cela explique peut-être le resserrement au classement de beaucoup de clubs. Mais à mon avis, il y aura peu de surprise quant à ceux qui rejoindront la Ligue 1 : on pourra compter sur Troyes, Sedan et Nancy. Une bonne moitié doit encore se battre pour le maintien. Amiens et Angers en font partie. Nous, si l'on doit s'en sortir, ce sera par le jeu. Pour cela, nous devons nous bonifier. Que vous inspire l'équipe d'Angers Sco ? Les joueurs de Noël Tosi nous avaient faits très mal à la maison, lors du match aller. Angers s'est bien renforcé durant le mercato. Cette équipe sera donc encore plus difficile à manoeuvrer sur sa pelouse. Nous allons nous battre contre un adversaire direct pour le maintien. C'est donc un match important. Recueilli parMathieu COUREAU

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Articles du jour de la Nouvelle République, par Michel Pateau Retrouvez les informations de la Nouvelle République sur : http://www.nrco.com/ Le SCO veut repasser le plat ( 04/03/2005 ) Stéphane Stassin, auteur d’une belle mi-temps à Niort, sera encore un pilier de l’entrejeu face à Amiens. (Photo corr. NR, Michel Durigneux). Requinqué par deux dernières sorties réussies, Angers SCO doit enchaîner par une nouvelle victoire ce soir, face à Amiens. Une tâche délicate, mais un passage obligé sur la route du maintien. Angers SCO - Amiens SC, ce soir 20 h, stade Jean-Bouin Prendre une équipe mal en point. Modifier son système défensif, pimenter son attaque avec un nouvel ingrédient argentin et la débarrasser d’une aventure en coupe de France difficile à digérer. Saupoudrer le tout d’une pincée de réussite… Voilà la recette pour une relance vitale en championnat. Après plus de trois mois de vaches maigres (7 points en douze matches de championnat), voilà le SCO du cuistot Tosi en train de reprendre de l’appétit (4 points sur les deux dernières rencontres, zéro but encaissé). « Comme l’an passé, on arrive dans la période décisive, confie le technicien angevin. Ce soir, ça va encore se jouer sur un coup de dé. On n’est pas là pour faire du beau jeu mais pour gagner. Alors on va jouer à dix derrière, plus la mallette à pharmacie. » Inimitable Tosi, qui ajoute aussitôt : « On va aussi attaquer tous ensemble. C’est l’équipe qui en voudra le plus qui gagnera. » L’équipe qui commettra le moins de faute, également. « Le système à trois défenseurs me semble solide, on n’a pas pris de but depuis deux matches, poursuit le coach, qui aime s’appuyer sur des grands gabarits. En plus, la présence de Cygan au milieu est intéressante. » Portillo a envie de jouer L’entraîneur du SCO devrait aussi intégrer en cours de match une nouvelle recrue en la personne de Miguel Portillo, enfin qualifié. Le défenseur polyvalent piaffe d’impatience : « J’ai très envie de jouer. C’est embêtant de s’entraîner sans pouvoir être aligné en match. Physiquement, tout va bien, avec le groupe aussi. Même si c’est en défense que je me sens le mieux, je suis prêt à jouer partout. Ce sera au coach de décider. » Malgré l’absence de Moussi, qui continuera à souffler avec la réserve en compagnie de Bédrossian, ainsi que d’Ognjenovic (déchirure à la cuisse), qui ne sera pas de retour avant le match de Créteil, Tosi compte sur ses joueurs pour cultiver la confiance née de la victoire contre Guingamp (1-0) et du nul ramené de Niort (0-0). Et ce même si la semaine d’entraînement a été mouvementée en raison de la piètre météo. « On a fait ce qu’on a pu, souffle le coach scoïste, c’est-à-dire le minimum syndical. Mardi, un entraînement physique a remplacé la séance technique prévue. Aujourd’hui (hier, NDLR), on s’entraîne de nouveau sur stabilisé à Monplaisir, entre midi et 14 heures. J’espère que l’on pourra jouer contre Amiens, car je n’aime pas les matches reportés. » Également victimes des intempéries et abonné à la pelouse synthétique cette semaine, les Amiénois d’Alex Dupont voudront effacer le faux pas de l’aller (0-2). Victorieux de Troyes (3-2) vendredi dernier, les Picards n’en restent pas moins des rivaux dans la course au maintien (33 points contre 28 pour le SCO). Un point satisferait amplement Amiens ce soir. Angers, en revanche, est presque condamné à l’emporter. Sous peine de s’offrir une nouvelle indigestion. Les équipes Angers SCO : Lachuer - Adamski, Dussart, Grimaldi - Obbadi, Stassin (cap.), T. Cygan, Sonnerat - Gourvennec - Rami, Théreau. Portillo (ou Assous), Djellabi, Traoré, L. Norbert, Lucas (g.). Ent. : Noël Tosi. Amiens SC : Merville - Lebrun (cap.), Abalo, Sami, Bouzin - M. Leroy, Colleau, Chabert - I. Dia - A. Baldé, T. Camara. Celdran, Ben Khalfallah, Ewolo, A. Clément, Tchomogo. Ent. : Alex Dupont. Division d’honneur : La Châtaigneraie - Saumur dimanche à 15 h La rencontre du championnat honneur entre La Châtaigneraie et Saumur, prévue le week-end dernier, et reportée en raison des conditions météo, aura finalement lieu dimanche à 15 h. Si le mauvais temps persistant le permet… Frédéric MICHEL