[Basket] Equipe de France, NBA, ...
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Pour tous ceux qui s'intéresse un peu au basket francais : Limoges, le club le plus titré de France risque de disparaitre si le club ne récolte pas les 300.000 euros demandé. Plus d'info sur : http://www.yellowboys.fr.st/
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- joker
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[quote="popov49"] Mais bon, l'abc toucherait alors plus de subventions que prévus et donc le Sco un peu moins. [quote] Non pourquoi. Il n'y a pas d'enveloppe globale pour le sport de Haut niveau. Lundi au conseil municipal d'Angers a été voté une subvention pour l'ABC inferieur à l'an passé, compte tenu de sa relégation. Ce n'est pas pour çà que les autres sports (Hand, hockey, tennis de table, foot) ont touché plus. Ainsi si nous passons de 16 à 18 clubs en pro B et que l'ABC voit sont maintient confirmé la Mairie sera obligée de complèter sa subvention.
Sérieux c'est vraiment dommage .... enfin bon ... L équipe : Neuf fois champion de France, 8 Coupes de France, 3 Coupes Korac, 1 Coupe Saporta, 1 Coupe d'Europe des clubs Champions...Le CSP Limoges, club le plus titré du basket français et l'un des plus prolifiques du sport hexagonal, n'est plus. Les Dacoury, Collins, Murphy, Senegal, Young et autres Forte ou Bonato, acteurs principaux de la grandeur de ce club, verront sûrement d'un oeil triste la disparition, dans un certain anonymat, de ce club cher à leur coeur. Les heures de gloire C'est en 1929 que le cercle Saint Pierre voit le jour. Evoluant aux étages inférieurs pendant de nombreuses années, le CSP atteint l'élite du basket national en 1978, avec l'arrivée d'un certain Richard Dacoury. Il lui faudra attendre 4 ans pour ouvrir son palmarès avec une coupe Korac. Le "Dac", bien entouré par l'Américain Ed Murphy et le meneur Jean-Michel Senegal, écrit alors sans le savoir la première ligne de ce qui sera l'un des plus beaux palmarès du sport français. Limoges remporte à nouveau la Korac en 1983 et devient champion de France pour la première fois de son histoire. Mais pas la dernière... Le CSP, toujours sous la houlette du trio d'enfer Murphy - Dacoury - Senegal, est sacré les 2 années suivantes. S'en suit alors un nouveau triplé en 1988 (avec, à la clé, une Coupe d'Europe des vainqueurs de Coupe), 1989 et 1990 (et un premier Final Four en Coupe des clubs champions, Limoges terminera 3e). 1993 sera l'année la plus riche du basket limougeaud, et français. Le CSP remporte la Coupe d'Europe des clubs champions, la seule qui manquait à son déjà riche palmarès, en battant le grand Real Madrid en demi-finale puis le Benetton Trevise d'un certain Toni Kukoc en finale. C'est d'ailleurs sur l'immense ailier que le meneur Fred Forte réussira l'interception mémorable et décisive à quelques secondes de la fin du match. Pour la fine bouche, le CSP est également sacré champion de France. Limoges est encore au sommet du basket hexagonal l'année suivante, en remportant le doublé Coupe-Championnat. 2000 restera sans doute l'année charnière pour le club. Menacé par des problèmes financiers importants (un passif de 20 millions de francs), le club est au bord du dépôt de bilan. Yann Bonato, le capitaine, et ses coéquipiers acceptent alors une baisse de salaire pour sauver le club qui remporte au final le Championnat, la coupe de France et la coupe Korac. Un vrai conte de fées... Le début de la fin Ce triplé mémorable n'empêchera toutefois pas le CSP d'être rétrogradé en Pro B à l'issue de la saison à cause de ses ennuis financiers. Une relégation sans grande conséquence puisque le club est sacré dès sa première saison Champion de Pro B, un des seuls titres qui lui manquait ... Limoges retrouve donc l'élite en 2002 mais avec un budget limité, plan de redressement oblige. Après une ... place, le CSP termine dernier de la saison 2003-2004 et se retrouve donc sportivement relégué. Les problèmes financiers du club ne l'autorisent pas à recommencer en Pro B. Le club est dans l'impossibilité de fournir les garanties financières exigées par la Ligue, qui lui refuse donc son engagement en Pro B. Le passif est estimé à 300 000 euros. Une somme bien ridicule dans le football d'aujourd'hui. Mais les possibles investisseurs font la sourde oreille. Qui pourrait penser voir un jour mourir l'Olympique de Marseille pour 300 000 euros alors que les budgets se chiffrent en dizaines de millions d'euros ? Mais le basket n'est pas le foot et le CSP n'est pas l'OM. Le dernier tour de clé à Beaublanc marquera donc la fin d'un mythe. C'est le coeur lourd et la tête pleine de souvenirs que le superbe public limougeaud, fidèle et bruyant aux plus grandes heures du club comme aux plus sombres, regardera l'ogre s'endormir et tournera, à contre-coeur, une immense page de l'histoire du sport. Comme tous les vrais amoureux de la balle orange.
Modifié en dernier par DJPi le jeu. 08 juil., 2004 12:02 pm, modifié 1 fois.
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ce sont les habitants de cette ville qu'il faut plaindre, car à part le basket, il y a vraiment que dal ....
Modifié en dernier par Foulque-nerra le jeu. 08 juil., 2004 7:23 pm, modifié 1 fois.
Angers city http://www.youtube.com/watch?v=qJJdTh3UBfU
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eheh, ils ont ENCORE perdu avec leur équipe de star de la NBA face à la Lituani. J'y connait rien au bascket, ils sont fort les lituanien ??
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Re: Les Americains savent-ils encore jouer au basket ball ??
Vu comment tu l'écris tu dois pas y connaitre grand chose en effetZ!K4Z a écrit :eheh, ils ont ENCORE perdu avec leur équipe de star de la NBA face à la Lituani. J'y connait rien au bascket, ils sont fort les lituanien ??
Re: Les Americains savent-ils encore jouer au basket ball ??
mdr !!!! c'est bien le parissco commence a ma ressembler c'est chouette mais bon tu es qd meme assez loin de moiparissco a écrit :Vu comment tu l'écris tu dois pas y connaitre grand chose en effetZ!K4Z a écrit :eheh, ils ont ENCORE perdu avec leur équipe de star de la NBA face à la Lituani. J'y connait rien au bascket, ils sont fort les lituanien ??
Gérard Holtz avait dit " un affrontement entre les 2 meilleures équipes du monde". Donc la Lituanie n'est pas mauvaise ! Elle est forte : la peuve elle a battu les USA. Aussi, j'ai entendu que les Américains n'ont fait que six matchs ( avant les JO ) avec les nouvelles règles ! Ca ne fait pas beaucoup de temps pour s'adapter !
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coupe de france :: basket ::
surprise en coupe de france, l'ABC a été battre valence (N1) cher lui 84-88, bon selon les division c'est logique mais vu l'état actuel de l'abc aller battre valence c'est pas si mal
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Re: coupe de france :: basket ::
C'est une tres bonne nouvelle pour l'ABC, et de toute façon cette saison sera transitoire : on devrait se maintenir nottament si le dépot de bilan de besançon se confirme et repartir mieux préparé la saison prochainefreeman a écrit :surprise en coupe de france, l'ABC a été battre valence (N1) cher lui 84-88, bon selon les division c'est logique mais vu l'état actuel de l'abc aller battre valence c'est pas si mal
BRAVO PARKER
Champions ! Les San Antonio Spurs ont remporté le titre de champions NBA en dominant Detroit (81-74) lors du septième match décisif, jeudi au SBC Center. A 23 ans seulement, Tony Parker rentre dans le cercle fermé des doubles vainqueurs du trophée Larry O'Brien. Par Guillaume Loisy Le match de la nuit : Rien ne vaut un septième match décisif de finales NBA. Les Spurs et les Pistons l’ont encore prouvé, jeudi soir au SBC Center. Auteurs d’un combat au suspense et à l’intensité rares, les deux derniers champions se sont rendus coup pour coup, à l’image des six derniers matches, pour se départager lors du dernier round. Et le challenger a finalement eu raison du tenant du titre. Deux ans après son dernier succès, San Antonio a remporté le trophée de champion en dominant Detroit dans le 7e match des finales gagné 81-74 par les coéquipiers de Tony Parker. Arrivé dans le Texas en 2001, le Français ajoute un deuxième trophée à son palmarès à seulement 23 ans. Élu MVP des finales pour la troisième fois, Tim Duncan et le coach emblématique des Spurs, Gregg Popovich remportent, eux, leur troisième trophée Larry O’Brien. Jeudi, San Antonio a souffert jusqu’au bout pour venir à bout de Pistons qui auront fait preuve d’un cœur énorme tout au long de ces finales. Au coude à coude pendant toute la partie (57-57 à l’issue du troisième quart-temps), les deux meilleures équipes de la Ligue devaient finalement en découdre dans les dernières minutes. Et face au collectif sans faille des protégés de Larry Brown (6 joueurs à 9 points et plus), les Texans s’en sont remis à leur Franchise Player, Tim Duncan. Auteur de 25 points ajoutés à 11 rebonds, «Dream Tim» a répondu présent dans les moments décisifs tout comme Manu Ginobili, dont les 11 points (sur 23) dans les 10 dernières minutes ont scellé le sort de la rencontre. «Timmy est le leader de l’équipe, c’est lui qui nous a portés ce soir», expliquait un Tony Parker aux anges après la rencontre. Le Français, plutôt discret jeudi (8 points, 3 passes, 2 rebonds), avait conscience du chemin parcouru en quatre ans de présence dans la ligue. «Deux titres en poche à seulement 23 ans, c’est inimaginable». Deuxième équipe de la saison régulière derrière Phoenix, San Antonio a assuré son statut de favori jusqu’au bout. «Cette équipe est superbe. Je ne sais pas comment on a réussi cela, je suis très ému», lâchait l’intransigeant Gregg Popovich, vainqueur de son troisième titre de champions jeudi (1999, 2003, 2005). Côté Pistons, la déception était bien sûre énorme mais Larry Brown gardait la tête haute. «Je suis aussi fier de cette équipe que l’an dernier», assurait le coach de Motown qui pourrait quitter les champions 2004. Beau joueur, Ben Wallace (12 points, 11 rebonds) rendait hommage à Tim Duncan. «Il a porté son équipe sur ses épaules pour les emmener au titre. C’est ce que font les grands joueurs». Pas forcément attendue à ce stade de la compétition cette année après une saison mouvementée, la bande à Billups (13 points, 8 passes) passe la main aux Spurs en ayant tout donné. Rendez-vous l’an prochain pour la revanche. La Perf’: «Son jeu est tellement complet, il maîtrise à merveille les fondamentaux. Il a été incroyable ce soir et c’est lui qui nous a portés vers ce succès». Avare de compliments, Gregg Popovich s’est lâché pour saluer la performance de «son» joueur, Tim Duncan. Elu MVP des finales pour la troisième fois en autant de participation (1999, 2003, 2005), «Dream Tim» n’a jamais aussi bien mérité son surnom. Ses 25 points (10/27 au tir) et 11 rebonds ont fait la différence jeudi soir. Bien relayé par Robert Horry (15 points, 5 rebonds en 32 minutes), vainqueur de son 6e titre (!) NBA, Duncan a assumé son statut de Franchise Player jusqu’au bout après quelques passages difficiles dans les rencontres précédentes. Souvent pointé du doigt pour son manque de charisme à l’instar d’un Kareem Abdul-Jabbar, le natif des Iles Vierges, triple champion NBA et MVP des finales, et double MVP de la saison régulière (2002, 2003), a encore prouvé qu’il était l’un des meilleurs intérieurs de l’histoire de la NBA. Chapeau Mister Duncan ! Résultat de la nuit : San Antonio - Detroit 81-74 San Antonio remporte la série 4-3 Euhhh, il va toucher combien pour cette victoire ? Chapeau Tony ! sport24
Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait, rien ne se perdrait
Retenir équivaut à croire qu’il y a seulement un passé, lâcher prise c’est croire en l'avenir
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