

cedric le dit plus haut....tout simplement.phil a écrit :après ses deux défaitesque ce passe t'il en EDF?
sans compter des ailiers aphones (Kirksay, Diawara), suffit de faire des prises à deux sur Parker et c'est royale pour les adversairessheridan a écrit :cedric le dit plus haut....tout simplement.phil a écrit :après ses deux défaitesque ce passe t'il en EDF?
il n' y a pas de jeu collectif dans cette equipe, pour moi il manque un 4 createur comme aurait pu l'etre diaw ainsi qu'un meneur de jeu capable de faire jouer son equipe.....jeanneau nous manque beaucoup.
(*) coquile lequipe, la truquie est à 0 défaiteL'ESPOIR PRÉSERVÉ
Par Xavier COLOMBANI
L'équipe de France est toujours en lice pour la qualification directe à l'Euro grâce à sa victoire en Belgique (71-65), la seule obtenue à l'extérieur après deux échecs en Ukraine et en Turquie. Les Bleus vont désormais affronter ces deux équipes à domicile avec la volonté d'approfondir les quelques progrès aperçus à Charleroi.
Les Belges à cinq longueurs à une minute de la fin...
Il existe des meilleurs moments pour apprendre à jouer sans Tony Parker que dans la dernière minute d'un match crucial à l'extérieur. C'est ce qu'a dû faire l'équipe de France samedi au Spiroudome de Charleroi, quand TP a commis sa cinquième faute sur Dimitri Lauwers, lequel n'a pas flanché au moment d'inscrire ses trois lancers francs pour rapprocher dangeureusement la Belgique (66-61). Mais aussi volontaire soit elle, l'équipe d'Eddy Casteels n'avait pas les armes pour retourner la situation, d'autant qu'elle avait elle même perdu pour cinq fautes son meilleur marqueur des qualifications, l'intérieur Christophe Beghin, dès la 34e minute. Plus globalement, si les Belges y ont cru aussi longtemps, malgré un début de quatrième quart-temps impossible (trois points inscrits entre les 31e et 37e minutes), ils le doivent, hormis quelques coups de chaud de Lauwers (18 points mais à 3/10), avant tout au comportement sinusoïdal des Bleus.
Car avant de savoir jouer sans Tony Parker, les Bleus version 2008 en sont toujours à apprendre à jouer avec Tony Parker. Et là, il y a du mieux, enfin par moments, ce qui n'était pas difficile par rapport au match contre la Turquie. Cette fois, "TP" était présent aux entraînements entre les deux rencontres et les progrès furent visibles. Et même très rapidement puisque les Bleus avaient demandé à travailler l'attaque des défenses de zone et que le premier panier du match, un trois points de Parker, fût justement marqué sur une zone avec une circulation de balle de Turiaf (en dessous) vers Giffa (au poste, titulaire pour son premier match de qualifs), de Giffa vers De Colo, de De Colo vers Parker. Les Bleus étaient appliqués, concentrés, ce qui leur a permis de réussir une nouvelle fois leur premier quart-temps (16-8, 9e).
Brun : «On était dos au mur»
Mais comme d'habitude, cela manquait de continuité, surtout au fil des rotations. Les Belges recollaient (18-15) et il fallait un excellent passage de Stephen Brun (10 points à la mi-temps) pour reprendre de l'air (29-22). A un effort offensif (38-30, 22e) succédait encore souvent un trou défensif (38-36, 23e), avec parfois une naïveté confondante. Et certains chiffres offensifs, toujours les mêmes (15 lancers francs ratés, 5 passes décisives seulement), font encore mal à lire. Il y en a cependant deux qui rassurent : celui des balles perdues (11), en net recul, et celui des joueurs à plus de dix points, trois avec Parker (18 ), De Colo (15) et Brun (14). «On était dos au mur, a rappelé ce dernier au micro de Sport+. Il fallait absolument gagner et nous racheter de notre piètre prestation. Il fallait aussi apporter du soutien à Tony et là c'était beaucoup mieux.»
Reste désormais à savoir si à la montée progressive des périls, les Ukrainiens semblant supérieurs aux Belges, et les Turcs supérieurs aux Ukrainiens, correspondra une montée en puissance similaire de l'équipe de France. Il reste une grande fragilité dans le jeu collectif des Bleus mais l'envie - de gagner, de progresser - est là, impeccable, et certaines options pourraient faire du bien dans les deux derniers matches. Comme celle de faire monter plus la balle à De Colo, comme en fin de match. «C'est un essai que je voulais faire et ça a été payant», a apprécié Michel Gomez. Et le retour à la maison fera forcément du bien. «Il faudra absolument prendre (battre) l'Ukraine, clame Stephen Brun. Là, c'était la Belgique, mais il faudra refaire ça contre des nations supérieures. On a une grosse revanche à prendre contre (les Ukrainiens) car on aurait déjà dû gagner là-bas.» Une victoire mercredi au Mans offrirait d'ailleurs définitivement la deuxième place aux Français.
Belgique - France : 65-71 (11-16, 18-19, 20-16, 16-20)
Belgique : Van Rossom (10), Lichodzijewski (9 points, 7 rebonds), Beghin (8 ), Moors (6), Van der Jonckheyd (2 points, 7 rebonds) puis Lauwers (18 ), Bosco (4), Oveneke (4), Bellin (3), Driesen (1)
France : Parker (18 ), De Colo (15), Turiaf (8 ), Giffa (6), Diawara (4) puis Brun (14), Marquis (3), Kirksay (3), Gradit (0), Issa (0), Tchicamboud (0)
LE GROUPE C
Samedi :
Ukraine - Turquie : 64-86
Belgique - France : 65-71
Le classement :
1. Turquie 4 victoires/1 défaite(*)
2. France 2/2
3. Belgique 1/3 (+11)
4. Ukraine 1/3 (-11)
lequipe.fr
anonyme a écrit :(*) coquile lequipe, la truquie est à 0 défaiteL'ESPOIR PRÉSERVÉ
Par Xavier COLOMBANI
L'équipe de France est toujours en lice pour la qualification directe à l'Euro grâce à sa victoire en Belgique (71-65), la seule obtenue à l'extérieur après deux échecs en Ukraine et en Turquie. Les Bleus vont désormais affronter ces deux équipes à domicile avec la volonté d'approfondir les quelques progrès aperçus à Charleroi.
Les Belges à cinq longueurs à une minute de la fin...
Il existe des meilleurs moments pour apprendre à jouer sans Tony Parker que dans la dernière minute d'un match crucial à l'extérieur. C'est ce qu'a dû faire l'équipe de France samedi au Spiroudome de Charleroi, quand TP a commis sa cinquième faute sur Dimitri Lauwers, lequel n'a pas flanché au moment d'inscrire ses trois lancers francs pour rapprocher dangeureusement la Belgique (66-61). Mais aussi volontaire soit elle, l'équipe d'Eddy Casteels n'avait pas les armes pour retourner la situation, d'autant qu'elle avait elle même perdu pour cinq fautes son meilleur marqueur des qualifications, l'intérieur Christophe Beghin, dès la 34e minute. Plus globalement, si les Belges y ont cru aussi longtemps, malgré un début de quatrième quart-temps impossible (trois points inscrits entre les 31e et 37e minutes), ils le doivent, hormis quelques coups de chaud de Lauwers (18 points mais à 3/10), avant tout au comportement sinusoïdal des Bleus.
Car avant de savoir jouer sans Tony Parker, les Bleus version 2008 en sont toujours à apprendre à jouer avec Tony Parker. Et là, il y a du mieux, enfin par moments, ce qui n'était pas difficile par rapport au match contre la Turquie. Cette fois, "TP" était présent aux entraînements entre les deux rencontres et les progrès furent visibles. Et même très rapidement puisque les Bleus avaient demandé à travailler l'attaque des défenses de zone et que le premier panier du match, un trois points de Parker, fût justement marqué sur une zone avec une circulation de balle de Turiaf (en dessous) vers Giffa (au poste, titulaire pour son premier match de qualifs), de Giffa vers De Colo, de De Colo vers Parker. Les Bleus étaient appliqués, concentrés, ce qui leur a permis de réussir une nouvelle fois leur premier quart-temps (16-8, 9e).
Brun : «On était dos au mur»
Mais comme d'habitude, cela manquait de continuité, surtout au fil des rotations. Les Belges recollaient (18-15) et il fallait un excellent passage de Stephen Brun (10 points à la mi-temps) pour reprendre de l'air (29-22). A un effort offensif (38-30, 22e) succédait encore souvent un trou défensif (38-36, 23e), avec parfois une naïveté confondante. Et certains chiffres offensifs, toujours les mêmes (15 lancers francs ratés, 5 passes décisives seulement), font encore mal à lire. Il y en a cependant deux qui rassurent : celui des balles perdues (11), en net recul, et celui des joueurs à plus de dix points, trois avec Parker (18 ), De Colo (15) et Brun (14). «On était dos au mur, a rappelé ce dernier au micro de Sport+. Il fallait absolument gagner et nous racheter de notre piètre prestation. Il fallait aussi apporter du soutien à Tony et là c'était beaucoup mieux.»
Reste désormais à savoir si à la montée progressive des périls, les Ukrainiens semblant supérieurs aux Belges, et les Turcs supérieurs aux Ukrainiens, correspondra une montée en puissance similaire de l'équipe de France. Il reste une grande fragilité dans le jeu collectif des Bleus mais l'envie - de gagner, de progresser - est là, impeccable, et certaines options pourraient faire du bien dans les deux derniers matches. Comme celle de faire monter plus la balle à De Colo, comme en fin de match. «C'est un essai que je voulais faire et ça a été payant», a apprécié Michel Gomez. Et le retour à la maison fera forcément du bien. «Il faudra absolument prendre (battre) l'Ukraine, clame Stephen Brun. Là, c'était la Belgique, mais il faudra refaire ça contre des nations supérieures. On a une grosse revanche à prendre contre (les Ukrainiens) car on aurait déjà dû gagner là-bas.» Une victoire mercredi au Mans offrirait d'ailleurs définitivement la deuxième place aux Français.
Belgique - France : 65-71 (11-16, 18-19, 20-16, 16-20)
Belgique : Van Rossom (10), Lichodzijewski (9 points, 7 rebonds), Beghin (8 ), Moors (6), Van der Jonckheyd (2 points, 7 rebonds) puis Lauwers (18 ), Bosco (4), Oveneke (4), Bellin (3), Driesen (1)
France : Parker (18 ), De Colo (15), Turiaf (8 ), Giffa (6), Diawara (4) puis Brun (14), Marquis (3), Kirksay (3), Gradit (0), Issa (0), Tchicamboud (0)
LE GROUPE C
Samedi :
Ukraine - Turquie : 64-86
Belgique - France : 65-71
Le classement :
1. Turquie 4 victoires/1 défaite(*)
2. France 2/2
3. Belgique 1/3 (+11)
4. Ukraine 1/3 (-11)
lequipe.fr
sinon, toujours aussi peu significative leur feuille de stats, tp score moins, les autres plus, les autres ont arrété de regarder tp jouer (donc eux aussi ont pris quelques shoots) ?, tp n'a pas été adroit ? tp à fait jouer ces petits copains et donc à fait quelques assists ?, quid de la réussite de nando ?
M'enfin bref, si on peine à gagner face à la belgique, à la régulière ont aura du mal à battre la turquie à limoges samedi prochain (pas tout perdre en se fesant battre par l'ukraine mercredi au mans). La turquie en battant l'ukraine a assuré la première place, donc peut être qu'ils ne seront pas super motivé pour le match face aux bleux
il me semble que c'est à limoges non ?phil a écrit :prochain match samedi a Lyon contre la Turquie.
tout est dit, malgré tout, pour avoir vu le match.....je n'ai pas grand chose a dire sur le match en lui meme.anonyme a écrit :felicitations à la turquie qui a joué le jeu
pour le match en lui meme, je dis rien, je l'ai pas vu
sinon, ba l'an prochain nos "stars" nba seront au repos (tournoi pour l'euro où seul le vainqueur jouera l'euro, j'y crois pas trop), le mondial 2010 (dans 2 ans donc), impossible, le contingent européen étant établi suivant le classement de l'euro, à dans 3 ans donc![]()
tu n'es peut etre pas un expert mais tu as mis le doigt la ou ça fait mal.anonyme a écrit :concernant les joueurs nba, gelabale blessé donc, diaw avec son problème d'assurance on ne devrait plus le revoir sous le maillot bleu (dommage il aurait pu être un bon "créateur"), petro et mp2 si c'est pour avoir 2 mecs qui font la tete sur le banc (comme lors du mondial nippon) c'est pas la peine (le pire c'est que mp2 se permet de critiquer les joueurs présents "il y a des mecs du niveau n2"), mahinmi, bztum, ajinça bon ils doivent encore prouver. Là ou je suis un peu deçu c'est de l'absence de noah (bon après, vu qu'il n'a peut être pas le profil de l'équipier model, son absence peux se comprendre).
maintenant, les joueurs ne sont pas les seuls à devoir se remettre en cause. Ok, c'est facil de tapper sur le coach, en plus dans pareil cas, comme c'est jamais sur lui qu'on tape, c'est plus facil pour moi de m'interroger sur son coaching et choix des hommes. Giffa pas présent au début de la compet, qui fait les 3 derniers matchs et que le coach met starter (s'il est si indispensable pourquoi ne pas l'avoir pris dès le début ? blessé ?). Ensuite et là j'ai pas envi qu'on pense que je prèche pour ma paroisse, tout en sachant aussi que je n'ai vu que le match offert par c+ en streaming (turquie vs france donc), pourquoi avoir continuer (s'enteter ?) à mettre dans le 5 tp et nando. Nando étant le seul (à ma connaissance) joueur de l'équipe (tp mis à part) à être influent à scoring, mais avec un registre (me semble t il) assez comparable (il est plutot adroit à 3 pts, normalement, mais aime aussi venir shooter près du cercle), là avec tp dans le 5 en meme temps que lui, il ne se contentait plus que de shooter à 3 pts (il y avait déjà tp qui pénétrait), sans parler du fait qu'avec un 5 avec tp et nando, on n'a plus personne qui en sortant du banc soit capable de suppléer tp au scoring (nando ne tentant que des 3 pts tant que ça rentre c'est bon, mais quand ça va pas, le manque de confiance s'installe et on ne prend plus les shoots dans les memes conditions) ce qui fait aussi que les gars ne sont pas en confiance, et donc qu'il regarder tp se demmerder tout seul
Simple avis perso en rapelant une nouvelle fois que je n'ai vu qu'un seul match![]()
Après concernant l'absence des "européens", fredzilla, oui il est grand, mais bon c'est pas l'avenir, flo pietrus est plutot "petit" pour un intérieur (déjà qu'on a pas de grand-grand, si en plus on prend des "petits" intérieurs) jeanneau là aussi tite deception qu'il est préféré "se reposer". Mais ce qu'il manque vraiment à cette équipe c'est une 2e (voir plus soyons fou) menace offensive et aussi prendre peut être le risque de faire jouer tp 2e arrière (à mon avis il joue plus meneur car trop petit pour défendre sur un 2, il a exactement le meme profil que iverson en nba). Sur le match que j'ai vu, durant tout le 1er quart temps, au lieu d'essayer de faire jouer ses petits copains et donc de les mettre en confiance, il préferait allait au panier, prendre des shoots ce qui fait qu'à la fin du premier quart (si mes souvenirs sont bons) il était à une 10aines de pts et nando (par exemple, mais bon ce devait être lui la 2e menace) n'était qu'à 2-3 pts à 1/3 aux shoots (pas beaucoup de shoots pour une 2e menace après 10 min de jeu).
Un 5 (hypothétique maintenant, mais on est fort en france pour ça), avec jeanneau à la mène, tp 2e arrière et nando en 6e homme ça aurait été pas mal, mais bon ....
concernant tp l'an prochain, pop' va peter un cable, mais bon sur son seul talent, aussi fort soit il, il ne parviendra pas à tout faire, mettre 37 pts ça ne fait pas gagner si le 2nd scoreur n'en est qu'à 9
je le redis, je n'ai vu qu'un match mais surtout, je ne suis pas un expert en basket, c'est juste un sport que j'aime bien
c'est pas noah, c'est mike pirtrussheridan a écrit : quand noah dit qu'il y a des joueurs de nationale 2, il exagere bien entendu sur le fond mais sur la forme et dans le concert européen, c'est le niveau d'un tiers de l'equipe par rapport a celui qui etait demandé.