
[Politique] Le topic officiel
C'est completement different !manosolo49 a écrit :Il ne s'agit que des photos de jeunesse. Quelles seront les pressions quand il s'agira d'un scandale ou d'une opposition au gouvernement?Zikaz a écrit :Je suis parfaitement d'accord avec Rachida Dati sur le fait qu'on les photos de sa jeunesse n'ont pas à etre publier si elle ne le souhaite pas.
Les photos d'enfance ne sont pas "d'ordre public". C'est vraiment tout ce qu'il y a de plus privé ! C'est à elle et elle en fait ce qu'elle veux. On a RIEN à redire à ça.
Nous ne sommes pas de Carrare, mais d'ardoises fragiles.
Nous sommes d'origine du limon d'un fleuve maternel.
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- Matt
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tout à fait mais ces histoires commence à se cumuler, tout ce qui touche l'entourage de Mr Sarko est controlé avant d'être publié.Zikaz a écrit :Je suis parfaitement d'accord avec Rachida Dati sur le fait qu'on les photos de sa jeunesse n'ont pas à etre publier si elle ne le souhaite pas.
Cette histoire est plus derangeante sur le fait qu'elle est dans la droite lignée de ce que craint la plupart des journalistes, c'est à dire une liberté d'expression qui se restreint.
Craindre pour la liberté d'expression est une chose, mais ce n'est pas une raison pour croire qu'il a attaque de partout. En l'occurence, ce n'est pas le cas sur ce point.
Certains journalistes devrait arreté de crier au loup en faisant une généralité de ce qui a pu se passé pour l'affaire où la femme de sarko n'a pas pu voter. Là il y avait clairement atteinte à la liberté d'expression. Dans ce cas ci, ce n'est pas le cas. Alors inutile d'en faire tout un fromage. Ces journalistes ont tord et Rachida Dati a raison.
Certains journalistes devrait arreté de crier au loup en faisant une généralité de ce qui a pu se passé pour l'affaire où la femme de sarko n'a pas pu voter. Là il y avait clairement atteinte à la liberté d'expression. Dans ce cas ci, ce n'est pas le cas. Alors inutile d'en faire tout un fromage. Ces journalistes ont tord et Rachida Dati a raison.
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C'est quand même gonflé de dénoncer des pressions alors que ces mecs s'apprete à faire un acte reprensible par la loi.
Si je comprend bien, ces "journaliste paparazi" se plaingent que Lagardere a fait pression sur eux pour ne pas publier les photos. Mais moi je dis HEUREUSEMENT qu'il a fait pression.
En publiant les photos, le journal s'attaquait à la vie privé. N'est-ce-pas le role du patron du journal d'éviter les procès ?!?!
Dans notre cas bien précis, ce que tu appelle pression ou censure, j'appelle ça moderation. Lagardere a simplement eviter que son journal soit sous le coup d'un procès. On va quand même pas lui reprocher ça !!!
Si je comprend bien, ces "journaliste paparazi" se plaingent que Lagardere a fait pression sur eux pour ne pas publier les photos. Mais moi je dis HEUREUSEMENT qu'il a fait pression.
En publiant les photos, le journal s'attaquait à la vie privé. N'est-ce-pas le role du patron du journal d'éviter les procès ?!?!
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c'est vrai pour cette histoire, mais j'espere juste que l'on ne glissera pas vers une censure sur des sujets plus importants.Zikaz a écrit :C'est quand même gonflé de dénoncer des pressions alors que ces mecs s'apprete à faire un acte reprensible par la loi.
Si je comprend bien, ces "journaliste paparazi" se plaingent que Lagardere a fait pression sur eux pour ne pas publier les photos. Mais moi je dis HEUREUSEMENT qu'il a fait pression.
En publiant les photos, le journal s'attaquait à la vie privé. N'est-ce-pas le role du patron du journal d'éviter les procès ?!?!
Dans notre cas bien précis, ce que tu appelle pression ou censure, j'appelle ça moderation. Lagardere a simplement eviter que son journal soit sous le coup d'un procès. On va quand même pas lui reprocher ça !!!
Ca, on est sait rien. On est pas dans sa tête mais je dois avouer que je pense comme toi. En tout cas, c'est de te voir rouspeter car Lagardère fait bien son boulot pour une foismanosolo49 a écrit :Le problème c'est qu'il l'a fait car c'était Rachida Tahi. POur n'importe qui d'autres (enfin pas porche du pouvoir) ca serait passé!!!Zikaz a écrit :C'est quand même gonflé de dénoncer des pressions alors que ces mecs s'apprete à faire un acte reprensible par la loi.
Si je comprend bien, ces "journaliste paparazi" se plaingent que Lagardere a fait pression sur eux pour ne pas publier les photos. Mais moi je dis HEUREUSEMENT qu'il a fait pression.
En publiant les photos, le journal s'attaquait à la vie privé. N'est-ce-pas le role du patron du journal d'éviter les procès ?!?!
Dans notre cas bien précis, ce que tu appelle pression ou censure, j'appelle ça moderation. Lagardere a simplement eviter que son journal soit sous le coup d'un procès. On va quand même pas lui reprocher ça !!!

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Ca me fait rire car quand c'est Loana on peut montrer des photos volés mais on peut pas montrer des photos d'enfance. 2 poids 2 mesures Soit on arrete avec ces journaux a sensation (ca serait la bonne solution) soit on autorise tout.
Dans ces journaux là, ce qui perde en frais de justice est largement rembourser par leur vente quand il y a un quelque chose de scandaleux, alors pourquoi n'avoir pas tenté avec elle ?!
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Quand des profs disent leur "ras-le-bol" à Sarkozy
Excédés par des incivilités croissantes et un manque de moyens chronique, des enseignants du collège Pompidou ont décidé d'écrire au président.
En espérant se faire -enfin- entendre. Jeudi matin sur France Inter, le ministre de l'Education Xavier Darcos a promis de regarder de très près la situation dans cet établissement.
Ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Deux agressions à deux jours d'intervalle survenues mi mai, au collège Georges-Pompidou de Villeneuve-la-Garenne, un établissement des Hauts-de-Seine classé en zone d'éducation prioritaire (ZEP) et en zone urbaine sensible (ZUS). Le jeudi 10 mai, une élève de 3e de 15 ans aurait été contrainte de faire une fellation à un de ses camarades dans un des couloirs du bahut décrit comme "un véritable labyrinthe" à 11 heures du matin. Le lendemain, en pleine récréation, un élève de 6e était victime d'un "petit pont massacreur". Le principe du jeu ? Celui qui ne rattrape pas le ballon est roué de coups. Le garçon a été tabassé par une dizaine d'enfants.
"Nous avons un surveillant pour s'occuper de 200 élèves", explique Laurence Bras, professeur de mathématiques dans le collège. C'est pour dénoncer ces violences récurrentes et ce manque de moyens quotidiens qu'elle et ses collègues ont délaissé la craie pour prendre la plume et écrire vendredi dernier à Nicolas Sarkozy, nouveau président de la République et ancien président du Conseil général du département. "Que faut il de plus pour que nos revendications soient enfin entendues", s'interrogent ces professeurs.
"Des conditions qui ne sont pas dignes de la République"
"Ce collège a une histoire, raconte Laurence Bras, qui enseigne dans l'établissement depuis 8 ans. Cela a commencé il y a 10-15 ans quand une prof a été rouée de coups de batte de base-ball sans raison sur le parking. Depuis, on est habitué à devoir se mobiliser, il y a d'ailleurs une grande solidarité au sein du corps enseignant". Rien que cette année, outre les deux récentes agressions, le collège a dû faire face à quatre départs de feu, la destruction de l'infirmerie après un incendie volontaire en décembre, "trois mois après, l'infirmière n'avait toujours pas de nouveau matériel, précise la prof de maths".
Les prévisions académiques pour l'année prochaine n'ont rien arrangé au climat ambiant : trois classes supprimées, 93 heures de cours à la trappe, 10 profs en moins, des adjoints d'éducations réclamés à cors et à cris qui ne viennent toujours pas... "C'est pas en nous donnant moins de moyens que ça va aller mieux", se désole Laurence Bras, excédée. Elle cite notamment l'exemple des classes d'enseignement adaptées aux élèves en difficultés (SEGPA) qui se voient amputées d'une trentaine d'heures. "Nos élèves grandissent dans des conditions tout à fait déplorables qui ne sont pas dignes de la République et encore moins du département le plus riche de France", résume la lettre des professeurs à Nicolas Sarkozy.
En mars, les parents d'élèves ont exprimé leur solidarité aux enseignants. Le collège a même été bloqué une semaine "pour protester contre les conditions actuelles d'enseignement" de l'établissement "particulièrement dégradées". Les profs ont été reçus quatre fois par l'inspection académique sans avancées concrètes. Jeudi matin sur France Inter, le ministre de l'Education Xavier Darcos a promis de regarder de très près la situation dans cet établissement.
Excédés par des incivilités croissantes et un manque de moyens chronique, des enseignants du collège Pompidou ont décidé d'écrire au président.
En espérant se faire -enfin- entendre. Jeudi matin sur France Inter, le ministre de l'Education Xavier Darcos a promis de regarder de très près la situation dans cet établissement.
Ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Deux agressions à deux jours d'intervalle survenues mi mai, au collège Georges-Pompidou de Villeneuve-la-Garenne, un établissement des Hauts-de-Seine classé en zone d'éducation prioritaire (ZEP) et en zone urbaine sensible (ZUS). Le jeudi 10 mai, une élève de 3e de 15 ans aurait été contrainte de faire une fellation à un de ses camarades dans un des couloirs du bahut décrit comme "un véritable labyrinthe" à 11 heures du matin. Le lendemain, en pleine récréation, un élève de 6e était victime d'un "petit pont massacreur". Le principe du jeu ? Celui qui ne rattrape pas le ballon est roué de coups. Le garçon a été tabassé par une dizaine d'enfants.
"Nous avons un surveillant pour s'occuper de 200 élèves", explique Laurence Bras, professeur de mathématiques dans le collège. C'est pour dénoncer ces violences récurrentes et ce manque de moyens quotidiens qu'elle et ses collègues ont délaissé la craie pour prendre la plume et écrire vendredi dernier à Nicolas Sarkozy, nouveau président de la République et ancien président du Conseil général du département. "Que faut il de plus pour que nos revendications soient enfin entendues", s'interrogent ces professeurs.
"Des conditions qui ne sont pas dignes de la République"
"Ce collège a une histoire, raconte Laurence Bras, qui enseigne dans l'établissement depuis 8 ans. Cela a commencé il y a 10-15 ans quand une prof a été rouée de coups de batte de base-ball sans raison sur le parking. Depuis, on est habitué à devoir se mobiliser, il y a d'ailleurs une grande solidarité au sein du corps enseignant". Rien que cette année, outre les deux récentes agressions, le collège a dû faire face à quatre départs de feu, la destruction de l'infirmerie après un incendie volontaire en décembre, "trois mois après, l'infirmière n'avait toujours pas de nouveau matériel, précise la prof de maths".
Les prévisions académiques pour l'année prochaine n'ont rien arrangé au climat ambiant : trois classes supprimées, 93 heures de cours à la trappe, 10 profs en moins, des adjoints d'éducations réclamés à cors et à cris qui ne viennent toujours pas... "C'est pas en nous donnant moins de moyens que ça va aller mieux", se désole Laurence Bras, excédée. Elle cite notamment l'exemple des classes d'enseignement adaptées aux élèves en difficultés (SEGPA) qui se voient amputées d'une trentaine d'heures. "Nos élèves grandissent dans des conditions tout à fait déplorables qui ne sont pas dignes de la République et encore moins du département le plus riche de France", résume la lettre des professeurs à Nicolas Sarkozy.
En mars, les parents d'élèves ont exprimé leur solidarité aux enseignants. Le collège a même été bloqué une semaine "pour protester contre les conditions actuelles d'enseignement" de l'établissement "particulièrement dégradées". Les profs ont été reçus quatre fois par l'inspection académique sans avancées concrètes. Jeudi matin sur France Inter, le ministre de l'Education Xavier Darcos a promis de regarder de très près la situation dans cet établissement.
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Un peu de politique internationale : j'ai entendu à la radio que Poutine a menacé, dans le cadre d'une interview à un journal italien, de pointer ses missiles vers l'europe au cas ou les USA méneraient à son terme le projet de bouclier anti-missiles dans l'espace.
Un vrai retour aux "meilleurs années " de la guerre froide !
Ce type est vraiment taré ! Avec Bush en face on est bien . Quand on pense que sur les dernières années, la moitié des dépenses en armement est l'apanage des Etats-Unis...

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Je pense que c'est de ces déclarations là que tu veux parler!
Vladimir Poutine relance "la course aux armements
Pour Poutine, "il ne faut pas avoir peur" des actes de la Russie.
Le message de Vladimir Poutine aux Américains se veut clair : il n’acceptera aucune tentative de "diktat" et d'"impérialisme" des Etats-Unis dans les affaires internationales. Dernier exemple concret illustrant la « liberté » de la Russie : l'essai mardi d'un nouveau missile intercontinental russe.
Pour Poutine, "il ne faut pas avoir peur de ces actes de la Russie, ils ne sont pas agressifs. Ils sont juste une réponse dure aux actes unilatéraux et infondés de nos partenaires", a-t-il déclaré à l'issue d'un entretien avec son homologue grec Carolos Papoulia, dans une allusion notamment au bouclier antimissile américain en Europe.
" Le monde a changé et il y a eu des tentatives de le rendre unipolaire. Certains acteurs des affaires internationales ont voulu dicter leur volonté à tout le monde", a-t-il ajouté, estimant aussi que "Nous (la Russie, NDLR) ne sommes pas à l'origine de cette nouvelle phase de la course aux armements".
Un "dialogue face-à-face"
De son côté, la Maison Blanche a réfuté jeudi les accusations du leader russe. Gordon Johndroe un porte-parole de la Maison Blanche, a assuré qu'il n'y avait entre les Etats-Unis et la Russie que des "problèmes" pouvant être réglés par le "dialogue face-à-face".
"Les Etats-Unis et la Russie coopèrent sur une série de questions allant de la lutte contre le terrorisme aux solutions énergétiques mondiales", a-t-il déclaré. "Nous avons certes des différends, mais ils ne sont rien d'autre que des problèmes pouvant être réglés par le dialogue continu que nous avons face-à-face", a-t-il conclu.
Vladimir Poutine et George W. Bush se retrouveront pour le sommet du G8 du 6 au 8 juin à Heiligendamm (Allemagne).
Vladimir Poutine relance "la course aux armements
Pour Poutine, "il ne faut pas avoir peur" des actes de la Russie.
Le message de Vladimir Poutine aux Américains se veut clair : il n’acceptera aucune tentative de "diktat" et d'"impérialisme" des Etats-Unis dans les affaires internationales. Dernier exemple concret illustrant la « liberté » de la Russie : l'essai mardi d'un nouveau missile intercontinental russe.
Pour Poutine, "il ne faut pas avoir peur de ces actes de la Russie, ils ne sont pas agressifs. Ils sont juste une réponse dure aux actes unilatéraux et infondés de nos partenaires", a-t-il déclaré à l'issue d'un entretien avec son homologue grec Carolos Papoulia, dans une allusion notamment au bouclier antimissile américain en Europe.
" Le monde a changé et il y a eu des tentatives de le rendre unipolaire. Certains acteurs des affaires internationales ont voulu dicter leur volonté à tout le monde", a-t-il ajouté, estimant aussi que "Nous (la Russie, NDLR) ne sommes pas à l'origine de cette nouvelle phase de la course aux armements".
Un "dialogue face-à-face"
De son côté, la Maison Blanche a réfuté jeudi les accusations du leader russe. Gordon Johndroe un porte-parole de la Maison Blanche, a assuré qu'il n'y avait entre les Etats-Unis et la Russie que des "problèmes" pouvant être réglés par le "dialogue face-à-face".
"Les Etats-Unis et la Russie coopèrent sur une série de questions allant de la lutte contre le terrorisme aux solutions énergétiques mondiales", a-t-il déclaré. "Nous avons certes des différends, mais ils ne sont rien d'autre que des problèmes pouvant être réglés par le dialogue continu que nous avons face-à-face", a-t-il conclu.
Vladimir Poutine et George W. Bush se retrouveront pour le sommet du G8 du 6 au 8 juin à Heiligendamm (Allemagne).
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Poutine menace de pointer des missiles vers l'Europe
Le président russe a menacé de pointer de nouveaux missiles vers l'Europe si les Etats-Unis y déploient leur bouclier antimissile.
A deux jours du sommet du G8, il ne se passe plus un jour sans que Moscou ne dénonce ce projet de bouclier, qui va transformer l'Europe en "poudrière", selon Vladimir Poutine.
"Si le potentiel nucléaire américain s'étend sur le territoire européen, nous devrons prendre de nouvelles cibles en Europe", a déclaré Vladimir Poutine, le chef de l'Etat russe dans un entretien avec plusieurs médiaux occidentaux, dont Le Figaro. "Il revient à nos militaires de définir ces cibles tout comme de choisir entre missiles balistiques et missiles de croisière", a-t-il ajouté, reprenant ainsi au plus niveau des menaces voilées exprimées jusqu'ici par les chefs de l'armée russe. "Nous voulons rééquilibrer les instruments de défense avec des outils offensifs plus efficaces, mais nous savons que cela risque de relancer une course aux armements, dont nous ne serions cependant pas responsables", a-t-il poursuivi.
Alors que le prochain sommet du G8 à Heiligendamm (Allemagne) approche, il ne se passe plus un jour sans que Moscou ne dénonce ce projet de bouclier, qui va transformer l'Europe en "poudrière" et consacre "l'impérialisme" américain, selon Vladimir Poutine. Le 30 Mai, la Russie a testé un nouveau missile intercontinental à têtes multiples, en "réponse aux actes unilatéraux et infondés de nos partenaires", a aussitôt clamé Vladimir Poutine, soit en d'autres termes au projet de bouclier américain. Quinze ans après l'effondrement de l'Union soviétique et la fin de la Guerre froide, la Russie voit d'un très mauvais oeil l'Otan s'étendre vers l'Est et les bases américaines se multiplier à ses portes, de la Roumanie au Kirghizstan.
Politique commune de défense
Les Américains, qui veulent installer dix missiles intercepteurs en Pologne et un radar ultra-perfectionné en République tchèque dans le cadre de ce projet de bouclier antimissile, affirment sans cesse, quant à eux, que celui-ci n'est pas dirigé contre la Russie, mais contre des Etats comme l'Iran. "On nous dit que cette défense sert contre les missiles iraniens, mais aucun missile iranien n'a de portée suffisante. Il devient alors évident que cette nouveauté nous concerne aussi nous, Russes", rétorque Vladimir Poutine.
Moscou voudrait que Washington abandonne son projet en faveur d'une politique commune de défense qui inclurait la Russie. Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, cité par l'agence Interfax, a d'ailleurs appelé dimanche à de nouvelles consultations sur un bouclier antimissile commun Otan-Russie. "Nos conclusions montrent clairement que se défendre contre des menaces qui n'existent pas n'a pas de sens. Il serait bien mieux de reprendre le travail dans le cadre du Conseil Otan-Russie sur la création d'un grand théâtre de défense antimissile" commun, a-t-il déclaré
Le président russe a menacé de pointer de nouveaux missiles vers l'Europe si les Etats-Unis y déploient leur bouclier antimissile.
A deux jours du sommet du G8, il ne se passe plus un jour sans que Moscou ne dénonce ce projet de bouclier, qui va transformer l'Europe en "poudrière", selon Vladimir Poutine.
"Si le potentiel nucléaire américain s'étend sur le territoire européen, nous devrons prendre de nouvelles cibles en Europe", a déclaré Vladimir Poutine, le chef de l'Etat russe dans un entretien avec plusieurs médiaux occidentaux, dont Le Figaro. "Il revient à nos militaires de définir ces cibles tout comme de choisir entre missiles balistiques et missiles de croisière", a-t-il ajouté, reprenant ainsi au plus niveau des menaces voilées exprimées jusqu'ici par les chefs de l'armée russe. "Nous voulons rééquilibrer les instruments de défense avec des outils offensifs plus efficaces, mais nous savons que cela risque de relancer une course aux armements, dont nous ne serions cependant pas responsables", a-t-il poursuivi.
Alors que le prochain sommet du G8 à Heiligendamm (Allemagne) approche, il ne se passe plus un jour sans que Moscou ne dénonce ce projet de bouclier, qui va transformer l'Europe en "poudrière" et consacre "l'impérialisme" américain, selon Vladimir Poutine. Le 30 Mai, la Russie a testé un nouveau missile intercontinental à têtes multiples, en "réponse aux actes unilatéraux et infondés de nos partenaires", a aussitôt clamé Vladimir Poutine, soit en d'autres termes au projet de bouclier américain. Quinze ans après l'effondrement de l'Union soviétique et la fin de la Guerre froide, la Russie voit d'un très mauvais oeil l'Otan s'étendre vers l'Est et les bases américaines se multiplier à ses portes, de la Roumanie au Kirghizstan.
Politique commune de défense
Les Américains, qui veulent installer dix missiles intercepteurs en Pologne et un radar ultra-perfectionné en République tchèque dans le cadre de ce projet de bouclier antimissile, affirment sans cesse, quant à eux, que celui-ci n'est pas dirigé contre la Russie, mais contre des Etats comme l'Iran. "On nous dit que cette défense sert contre les missiles iraniens, mais aucun missile iranien n'a de portée suffisante. Il devient alors évident que cette nouveauté nous concerne aussi nous, Russes", rétorque Vladimir Poutine.
Moscou voudrait que Washington abandonne son projet en faveur d'une politique commune de défense qui inclurait la Russie. Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, cité par l'agence Interfax, a d'ailleurs appelé dimanche à de nouvelles consultations sur un bouclier antimissile commun Otan-Russie. "Nos conclusions montrent clairement que se défendre contre des menaces qui n'existent pas n'a pas de sens. Il serait bien mieux de reprendre le travail dans le cadre du Conseil Otan-Russie sur la création d'un grand théâtre de défense antimissile" commun, a-t-il déclaré
Qui sait, qui sait...DJPi a écrit :Et bah heureusement que tu l'es pas alors ...jourdesco a écrit :Franchement si j'étais prof, j'encaisserais l'argent, profiterais des vacances et je m'en fouterais pas mal de la réussite de mes élèves!

90% d'entre eux se décarcassent pour que leurs élèves réussissent (et pourtant parfois ils ont de sacrés morveux en face) et on les stigmatise très souvent. Je comprends qu'ils puissent être touchés par le manque de reconnaissance ou par les attaques.
Croaaaa!!!
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Certes, il faut bien le reconnaître mais...ne payons nous pas le laxisme post 68? (parents profs politiques etc):(jourdesco a écrit :Qui sait, qui sait...DJPi a écrit :Et bah heureusement que tu l'es pas alors ...jourdesco a écrit :Franchement si j'étais prof, j'encaisserais l'argent, profiterais des vacances et je m'en fouterais pas mal de la réussite de mes élèves!
90% d'entre eux se décarcassent pour que leurs élèves réussissent (et pourtant parfois ils ont de sacrés morveux en face) et on les stigmatise très souvent. Je comprends qu'ils puissent être touchés par le manque de reconnaissance ou par les attaques.
Trop drôle juste au moment de mon post je reçois un mail pour assurer quelques heures à la fac!
Oui tranquilou je suis d'accord pour le laxisme. Mais à mon avis il est plus le fait des parents.
A ton époque, quand tu faisais l'idiot tu en prenais une je suppose!
Maintenant c'est le prof ou le proviseur qui la prend...

Oui tranquilou je suis d'accord pour le laxisme. Mais à mon avis il est plus le fait des parents.
A ton époque, quand tu faisais l'idiot tu en prenais une je suppose!

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Croaaaa!!!
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EH oui!!jourdesco a écrit :Trop drôle juste au moment de mon post je reçois un mail pour assurer quelques heures à la fac!![]()
Oui tranquilou je suis d'accord pour le laxisme. Mais à mon avis il est plus le fait des parents.
A ton époque, quand tu faisais l'idiot tu en prenais une je suppose!![]()
Maintenant c'est le prof ou le proviseur qui la prend...


Néanmoins, il faut bien aussi reconnaître, que l’autorité des enseignants (pas tous bien entendu) n’est plus ce qu’elle était, avant et après. Je pense que pour être respecté il faut se montrer irréprochable sois même, par le comportement, la tenue le langage etc. A mon époque, lorsque le prof (ils étaient d'une tenue irréprochable) rentrait, nous nous levions, la tenue devait être si ce n’est strict, au moins correcte, en études (obligatoires) le silence était d’or etc. Tout cela a bien changé et maintenant, je crains qu’il soit un peu tard pour revenir sur le civisme.
Bien entendu, il faut vivre avec son temps, mais, il est, à mon sens, utile de fixer au moins une limite droite et gauche. Malheureusement et c'est peut-être là que le bas blesse, c'est qu’ à force d'entendre dire qu'il faut respecter tout et son contraire, on ne respecte rien ni personne alors...
Modifié en dernier par Anonymous le lun. 04 juin, 2007 5:30 pm, modifié 1 fois.
Je ne vois pas en quoi c'est choquant, la Russie se défend et doit avoir les boules que ses anciens états satellites est passé dans l'autre campCisco a écrit :Un peu de politique internationale : j'ai entendu à la radio que Poutine a menacé, dans le cadre d'une interview à un journal italien, de pointer ses missiles vers l'europe au cas ou les USA méneraient à son terme le projet de bouclier anti-missiles dans l'espace.Un vrai retour aux "meilleurs années " de la guerre froide !
Ce type est vraiment taré ! Avec Bush en face on est bien . Quand on pense que sur les dernières années, la moitié des dépenses en armement est l'apanage des Etats-Unis...

L'UE devrait intervenir et demander le retrait de ses missiles, l'Europe n'est pas un terrain de jeu mais bon le jour où L'UE servira quelque chose c'est quand il aura disparu


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Et bien, reste y le plus longtemps possible... (je blague)manosolo49 a écrit :Oui parfois ca démange mais c'est pas pour ca qu'il faut le faire. Car comme je l'ai dit, ca n'aurait comme effet que de soulager mais ca n'a aucune vertue éducative!!!! C'est pas en se faisant frapper que l'on apprend quelque chose!!! Pour l'instant je n'ai pas exercé ailleurs qu'à Brissac.jourdesco a écrit :Tu n'as pas envie d'en foutre une de temps en temps à un petit c.. qui "joue" avec toi???![]()
Tu as exercé ailleurs qu'à Brissac?

Pour le reste, c'est mon avis et je n'en changerai pas, tu as le tiens, je le respecte et ne dis pas que c'est une connerie...même si ça me démange!

Assez d'acord avec toi pour une fois !manosolo49 a écrit :Je vois pas mal de conneries d'écrites sur ce forum. Certains voudraient nous faire croire qu'il y a moins de respect aujourd'hui au collège qu'à l'école d'il y a 40 ans.
Or, il faudrait revenir sur la notion du mot respect. Si le respect c'est etre sage car on a peur d'en prendre une, pour moi ce n'est pas du respect. Et d'ailleurs ces méthodes éducatives ont montré leurs limites. Et heureusement qu'elles ont été abandonnées car la violence n'a aucune vertue éducative! Frappé ca ne sert qu'à se soulager mais ca ne fait pas comprendre à l'élève en quoi il a fauté.
Et puis faudrait arréter de croire que les élèves sont tous des personnes violentes qui n'en ont rien à foutre de l'école. Chaque jour, des centaines de milliers d'élèves vont à l'école, collège et lycée et tous se passe bien.
Meme si parfois mon boulot me soule, j'ai beaucoup appris et ca m'a apporté énormément!
Le respect, ce n'est pas non plus se lever quand un adulte rentre. Perso, je trouve ca ridicule et ca m'est déjà arrivé et je disais toujours aux élèves de rester assis. Ca veux dire quoi? Que je suis supérieur à eux? En quoi?
Et puis le silence en étude, il est toujours là! De meme que dans les salles de cours! Je pense qu'il y a beaucoup plus d'échanges, de rapport de confiance entre les élèves et les profs (et plus généralement les adultes travaillant dans l'établissement) dans l'école d'aujourd'hui qu'il y a 40 ans.
Penser qu'il y a moins de respect dans l'école d'aujourd'hui que dans l'écolé d'il y a 40 ans, c'est faire une erreur car pour moi c'est l'inverse! Et pour rien au monde je voudrais que l'on nerevienne a ces méthodes, pas pour moi, mais avant tout pour les élèves!

Surtout sur le fait de se lever quand quelqu'un rentre. Jamais je me soummettrai à un prof ou un directeur d'une telle façon !


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