Faits divers & actualité
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Djéman
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Si c'est l'affaire que je pense, c'est pour une bagarre avec couteaux qui as eu lieu en soirée comis par une personne d'une vingtaine d'année dont je tairai le nom car je le connais bien, pour la date je me souviens pas, mais moi j'arrive toujours pas a comprendre ce qui s'est passémike a écrit :bon qu'est ce qui c'est passé au macdo de st serge? reconstitution criminelle dans le cadre de quelle affaire? en gros titre aujourd'hui dans les journaux!
meme si je connais bien les circonstances de ce drame il a completement débordé ce soir la alors que d'habitude c'est pas du son genre au contraire enfin dégouté pour lui, il suffit parfois d'un coup de folie pour que change le cours de sa vie
Modifié en dernier par Djéman le dim. 21 janv., 2007 12:51 pm, modifié 1 fois.
Je poste ici pour éviter la censure aveugle (et puis on est plus dans le fait divers que le sport):
Après l'Américain Floyd Landis, c'est au tour de l'Espagnol Carlos Pereiro d'être l'objet de soupçons de dopage lors de la Grande Boucle 2006, épreuve dont le crédit est désormais largement entamé.
A deux reprises lors d'étapes alpestres, Pereiro a été contrôlé positif au salbutamol, un médicament destiné au traitement de l'asthme, mais interdit en et hors compétition.
"Autorisation à usage thérapeutique"
Cette information, fournie jeudi par le journal Le Monde sur son site Inernet, a été confirmée par Pierre Bordry, le président de l'Association française de lutte contre le dopage. Bordry a expliqué que le coureur de l'équipe Caisse d'Epargne a été déclaré positif à deux reprises: le 17 juillet, lors de la 14e étape Montélimar-Gap, et le 19 juillet, à l'issue de la 16e étape entre Le Bourg-d'Oisans et La Toussuire.
"A chaque reprise, il (Pereiro) a indiqué sur le procès-verbal du contrôle antidopage qu'il bénéficiait d'une autorisation à usage thérapeutique (AUT), a précisé Bordry. Il n'y a donc pas de raison de le sanctionner. A priori." C'est pour cette raison que l'Union cycliste internationale (UCI), qui avait autorisé l'AUT réclamée par le coureur, a décidé de classer le dossier.
Le problème vient du fait que l'AFLD estime qu'à ce jour, l'AUT délivrée au coureur ne possède pas de justification médicale. "Je lui demande de nous fournir les éléments médicaux qui expliqueront cette prise de salbutamol. Nous devons donc nous assurer que M. Pereiro souffre bien de la pathologie déclarée et que les doses de produits interdits retrouvées correspondent aux traitements recommandés dans son cas", a dit Bordry.
Selon Le Monde, l'AFLD a adressé depuis septembre 2006 trois courriers, en recommandé avec accusé de réception, au coureur espagnol mais celui-ci n'y a pas répondu pour l'instant. "Il a jusqu'au 25 janvier pour s'expliquer", a lancé Bordry. A cette date le collège de l'AFLD étudiera le cas de Pereiro et pourrait prendre la décision d'ouvrir une procédure disciplinaire.
Eventuelle culpabilité
Cette procédure pourrait aboutir à l'interdiction de Pereiro de participer au prochain Tour de France et à la suppression de sa deuxième place. "Si nous n'avons rien à cette date, il (Pereiro) sera, en effet, convoqué dans les 15 jours suivants, a poursuivi Bordry. Nous ouvrirons une instruction afin qu'il y ait un débat contradictoire. Et nous statuerons sur une éventuelle culpabilité."
Pour l'instant, les organisateurs du Tour de France restent prudents et préfèrent attendre de voir quelles suites cette affaire peut prendre. "On attend que le cas Pereiro soit examiné par l'AFLD le 25 janvier pour faire quoi que ce soit," a déclaré un porte-parole de l'organisation.
Cette annonce jette une nouvelle ombre sur la Grande Boucle 2006 après le contrôle positif de l'Américain Floyd Landis, arrivé en jaune sur les Champs-Elysées. Landis avait été déclaré positif à la testostérone et il avait été officiellement accusé de dopage par l'agence antidopage américaine. A plusieurs reprises, l'Américain, qui a succédé sur le podium à son compatriote Lance Armstrong, a démenti avoir fait usage de substances prohibées.
Pour l'instant, aucun vainqueur du Tour 2006 n'a été proclamé. La désignation du lauréat est pendante à la fin de la procédure engagée dans le cas Landis. Les révélations concernant Pereiro pourraient compliquer un peu plus cette désignation. L'Allemand Andreas Klöden a terminé troisième à Paris en juillet dernier.
Croaaaa!!!
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scoangersolé
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Horrible :
http://tf1.lci.fr/infos/france/faits-di ... elle-.htmlUn sans domicile fixe de 60 ans est mort samedi à Valence après avoir été écrasé par un camion de ramassage des ordures ménagères qui n'avait pas remarqué sa présence à proximité du trottoir, sous un tas de cartons. L'accident est survenu vers 6h du matin dans une ruelle de Valence. Le SDF, originaire d'Annonay, en Ardèche, est mort de ses blessures vers 10h après avoir été transporté à l'hôpital de la ville.
Le conducteur du camion poubelle avait manifestement noté, au bord de la chaussée, la présence de cartons sur lesquels il a fini par rouler. Il n'a été alerté d'une présence humaine qu'en entendant les cris de douleurs du SDF. Le conducteur a été laissé libre. La police de Valence n'a pas indiqué s'il allait faire l'objet de poursuites.
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tiopépé
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La bombe découverte sur le circuit des 24 Heures du Mans désamorcée
Le désamorçage de la bombe britannique de 150 kg de la Seconde guerre mondiale, qui a été retrouvée hier lors des travaux d’aménagement des nouveaux paddocks sur le circuit des 24 Heures du Mans, s’est parfaitement déroulé. L’opération, menée par 2 démineurs de Caen, s’est achevée en fin de matinée.
Le désamorçage de la bombe britannique de 150 kg de la Seconde guerre mondiale, qui a été retrouvée hier lors des travaux d’aménagement des nouveaux paddocks sur le circuit des 24 Heures du Mans, s’est parfaitement déroulé. L’opération, menée par 2 démineurs de Caen, s’est achevée en fin de matinée.
viva blanco y negro por la vida...
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lacouture.49
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Légionelles détectées à la piscine de Trélazé
Des légionelles ont été détectées dans le réseau des douches de la piscine de Trélazé. Les légionelles sont susceptibles de provoquer une infection respiratoire se traduisant par une fièvre isolée ou des signes tels que toux, douleur thoracique. Elle peut être traitée par antibiotiques. La période d’incubation est de deux à 10 jours. Il est recommandé aux personnes ayant fréquenté la piscine entre le 5 et le 24 janvier et présentant ces symptômes de se rapprocher sans tarder de leur médecin.
Des légionelles ont été détectées dans le réseau des douches de la piscine de Trélazé. Les légionelles sont susceptibles de provoquer une infection respiratoire se traduisant par une fièvre isolée ou des signes tels que toux, douleur thoracique. Elle peut être traitée par antibiotiques. La période d’incubation est de deux à 10 jours. Il est recommandé aux personnes ayant fréquenté la piscine entre le 5 et le 24 janvier et présentant ces symptômes de se rapprocher sans tarder de leur médecin.
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Disparition de Julien:
Le concubin de la mère du garçon disparu depuis lundi, qui avait tenté de se suicider hier, est décédé jeudi vers 03h30 à la suite de ses blessures.
Le concubin de la mère du petit Julien, disparu depuis lundi après-midi à Bourg-lès-Valence (Drôme), est décédé dans la nuit de mercredi 31 janvier à jeudi 1er février au centre hospitalier de Valence, a-t-on appris auprès de la direction de l'établissement.
Il avait été placé en garde-à-vue mardi et libéré quelques heures plus tard avant de tenter de mettre fin à ses jours en se donnant un coup de couteau dans le ventre. Il aurait, selon les enquêteurs, laissé une lettre clamant son innocence. Hospitalisé dans un état grave à l'hôpital de Valence il avait été opéré mercredi après-midi et était, selon la direction de l'hôpital, dans un état critique.
Cet ouvrier de 43 ans était soupçonné de s'être attaqué au petit garçon, un voisin affirmant l'avoir vu sortir du domicile familial à 15 heures lundi chargé d'un sac jaune qu'il aurait déposé dans sa voiture.
La trace de l'enfant au bord de l'eau
Des traces, probablement de sang, avaient ensuite été détectées dans ce véhicule. Les résultats de ses analyses doivent être connus ce jeudi.
Mercredi soir, les recherches engagées dans le bassin des Joutes dans un canal du Rhône ont été interrompues pour la nuit. Elles doivent reprendre jeudi à l'aide d'un sonard à l'endroit où les chiens ont "marqué", repérant la trace de l'enfant au bord de l'eau. Cet endroit, équipé d'une aire de jeu, était régulièrement fréquenté par le petit Julien.
Le procureur de la République de Valence, Jean-Pierre Nahon, a jugé mercredi "infimes" les chances de retrouver vivant le petit Julien, âgé de trois ans et demi, disparu depuis deux jours à Bourg-les-Valence (Drôme).
"Personne n'est totalement hors de cause"
"Quarante-huit heures après sa disparition, il y a maintenant peu de chances de retrouver le petit Julien" a-t-il déclaré dans une conférence de presse.
Le magistrat n'exclut pour autant aucune hypothèse de travail. "La thèse de l'enlèvement n'est toujours pas avérée, la thèse criminelle non plus et la thèse de la disparition inquiétante demeure toujours possible", a-t-il précisé.
"Dans cette affaire, personne n'est totalement hors de cause", a ajouté le procureur.
Le concubin de la mère du garçon disparu depuis lundi, qui avait tenté de se suicider hier, est décédé jeudi vers 03h30 à la suite de ses blessures.
Le concubin de la mère du petit Julien, disparu depuis lundi après-midi à Bourg-lès-Valence (Drôme), est décédé dans la nuit de mercredi 31 janvier à jeudi 1er février au centre hospitalier de Valence, a-t-on appris auprès de la direction de l'établissement.
Il avait été placé en garde-à-vue mardi et libéré quelques heures plus tard avant de tenter de mettre fin à ses jours en se donnant un coup de couteau dans le ventre. Il aurait, selon les enquêteurs, laissé une lettre clamant son innocence. Hospitalisé dans un état grave à l'hôpital de Valence il avait été opéré mercredi après-midi et était, selon la direction de l'hôpital, dans un état critique.
Cet ouvrier de 43 ans était soupçonné de s'être attaqué au petit garçon, un voisin affirmant l'avoir vu sortir du domicile familial à 15 heures lundi chargé d'un sac jaune qu'il aurait déposé dans sa voiture.
La trace de l'enfant au bord de l'eau
Des traces, probablement de sang, avaient ensuite été détectées dans ce véhicule. Les résultats de ses analyses doivent être connus ce jeudi.
Mercredi soir, les recherches engagées dans le bassin des Joutes dans un canal du Rhône ont été interrompues pour la nuit. Elles doivent reprendre jeudi à l'aide d'un sonard à l'endroit où les chiens ont "marqué", repérant la trace de l'enfant au bord de l'eau. Cet endroit, équipé d'une aire de jeu, était régulièrement fréquenté par le petit Julien.
Le procureur de la République de Valence, Jean-Pierre Nahon, a jugé mercredi "infimes" les chances de retrouver vivant le petit Julien, âgé de trois ans et demi, disparu depuis deux jours à Bourg-les-Valence (Drôme).
"Personne n'est totalement hors de cause"
"Quarante-huit heures après sa disparition, il y a maintenant peu de chances de retrouver le petit Julien" a-t-il déclaré dans une conférence de presse.
Le magistrat n'exclut pour autant aucune hypothèse de travail. "La thèse de l'enlèvement n'est toujours pas avérée, la thèse criminelle non plus et la thèse de la disparition inquiétante demeure toujours possible", a-t-il précisé.
"Dans cette affaire, personne n'est totalement hors de cause", a ajouté le procureur.
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Tranquilou
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Un acquitté d'Outreau avait 130 g d'héroïne sur lui -
Le 02/02/2007 - 09h51
Daniel Legrand, fils, blanchi dans l'affaire d'Outreau
Daniel Legrand a été placé en garde à vue, contrôlé par les douanes, avec les produits stupéfiants dans des boudins qu'il avait avalés.
Il devrait être jugé mi-février.
Le 1er décembre 2005, il avait été acquitté en appel dans l'affaire d'Outreau. Mardi, Daniel Legrand, 25 ans, a été arrêté près de Dunkerque en possession d'héroïne, 130 grammes de poudre blanche placés dans des boudins qu'il avait ingérés.
L'information révélée vendredi matin dans le quotidien La Voix du Nord a été confirmée de source judiciaire. Placé en garde à vue, le jeune homme devait être déféré au parquet vendredi matin. "Il devrait être place sous contrôle judiciaire et on va lui indiquer une date de procès, sans doute le 15 février", a déclaré le vice-procureur de Dunkerque Laurent Czernik. "Mais il ne devrait pas être mis en examen, parce qu'il reconnaît les faits, et qu'une enquête n'est donc pas nécessaire", a-t-il ajouté.
Daniel Legrand a été interpellé par les douanes alors qu'il revenait en voiture avec un ami d'Ostende, en Belgique. Son ami, le chauffeur, devrait également être poursuivi pour complicité. Selon La Voix du Nord citant un magistrat, "très amaigri et mal en point", Daniel Legrand a dû être hospitalisé. Son avocat, interrogé dans le quotidien, précisait hier : "Je ne sais pas ce qui l'a amené dans cette histoire", rappelant l'époque sombre de l'affaire d'Outreau dont "on ne guérit pas facilement. Il était dernièrement dans un grand désarroi".
Le 02/02/2007 - 09h51
Daniel Legrand, fils, blanchi dans l'affaire d'Outreau
Daniel Legrand a été placé en garde à vue, contrôlé par les douanes, avec les produits stupéfiants dans des boudins qu'il avait avalés.
Il devrait être jugé mi-février.
Le 1er décembre 2005, il avait été acquitté en appel dans l'affaire d'Outreau. Mardi, Daniel Legrand, 25 ans, a été arrêté près de Dunkerque en possession d'héroïne, 130 grammes de poudre blanche placés dans des boudins qu'il avait ingérés.
L'information révélée vendredi matin dans le quotidien La Voix du Nord a été confirmée de source judiciaire. Placé en garde à vue, le jeune homme devait être déféré au parquet vendredi matin. "Il devrait être place sous contrôle judiciaire et on va lui indiquer une date de procès, sans doute le 15 février", a déclaré le vice-procureur de Dunkerque Laurent Czernik. "Mais il ne devrait pas être mis en examen, parce qu'il reconnaît les faits, et qu'une enquête n'est donc pas nécessaire", a-t-il ajouté.
Daniel Legrand a été interpellé par les douanes alors qu'il revenait en voiture avec un ami d'Ostende, en Belgique. Son ami, le chauffeur, devrait également être poursuivi pour complicité. Selon La Voix du Nord citant un magistrat, "très amaigri et mal en point", Daniel Legrand a dû être hospitalisé. Son avocat, interrogé dans le quotidien, précisait hier : "Je ne sais pas ce qui l'a amené dans cette histoire", rappelant l'époque sombre de l'affaire d'Outreau dont "on ne guérit pas facilement. Il était dernièrement dans un grand désarroi".
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Tranquilou
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Mort de Taoufik el-Amri : un SDF mis en examen
Cet ouvrier tunisien avait été retrouvé mort noyé par hydrocution dans un canal de Nantes après un contrôle de police.
Le SDF serait tombé à l'eau avec la victime lors d'une dispute.
Un SDF a été mis en examen mercredi soir pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, dans le cadre de l'enquête sur la mort de l'ouvrier tunisien Taoufik el-Amri à Nantes le 23 novembre. L'homme, qui serait tombé à l'eau avec la victime lors d'une dispute, a été remis en liberté sous contrôle judiciaire, a précisé une source proche du dossier, confirmant une information révélée par Europe 1.
Le SDF avait été pris en charge dans la nuit du 22 au 23 novembre trempé et tremblant de froid par les pompiers. Il avait d'abord affirmé aux enquêteurs être tombé dans la Loire, puis dans l'Erdre avant de reconnaître être tombé dans le canal Saint-Félix mais a nié avoir rencontré Taoufik el-Amri.
Taux d'alcoolémie de 3,74 grammes
L'ouvrier de 33 ans, marié et père d'une fillette, avait été retrouvé mort noyé par hydrocution dans un canal de Nantes après un contrôle de police alors qu'il était en état d'ébriété. Trois policiers ont été mis en examen dans cette affaire pour "faux témoignage" et "délaissement (...) d'une personne incapable de se protéger en raison de son état physique". Selon la procédure, les policiers doivent conduire en cellule de dégrisement ou à l'hôpital toute personne en état d'ébriété avancée. Les trois policiers ont toujours affirmé que l'ouvrier ne semblait pas suffisamment ivre pour cela.
L'autopsie avait permis de déterminer que la cause de la mort de l'ouvrier était la noyade "provoquée par un choc thermodifférentiel provoquant un arrêt cardiorespiratoire". Il présentait un taux d'alcoolémie de 3,74 grammes au moment de sa mort. Les légistes n'avaient alors "pas relevé de traces de violence, de blessures, de perforations ou de plaies" sur le corps, selon le procureur de la République de Nantes. Celui-ci avait précisé que des investigations allaient continuer pour définir si Taoufik el-Amri était tombé accidentellement à l'eau ou s'il y avait été poussé.
Cet ouvrier tunisien avait été retrouvé mort noyé par hydrocution dans un canal de Nantes après un contrôle de police.
Le SDF serait tombé à l'eau avec la victime lors d'une dispute.
Un SDF a été mis en examen mercredi soir pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, dans le cadre de l'enquête sur la mort de l'ouvrier tunisien Taoufik el-Amri à Nantes le 23 novembre. L'homme, qui serait tombé à l'eau avec la victime lors d'une dispute, a été remis en liberté sous contrôle judiciaire, a précisé une source proche du dossier, confirmant une information révélée par Europe 1.
Le SDF avait été pris en charge dans la nuit du 22 au 23 novembre trempé et tremblant de froid par les pompiers. Il avait d'abord affirmé aux enquêteurs être tombé dans la Loire, puis dans l'Erdre avant de reconnaître être tombé dans le canal Saint-Félix mais a nié avoir rencontré Taoufik el-Amri.
Taux d'alcoolémie de 3,74 grammes
L'ouvrier de 33 ans, marié et père d'une fillette, avait été retrouvé mort noyé par hydrocution dans un canal de Nantes après un contrôle de police alors qu'il était en état d'ébriété. Trois policiers ont été mis en examen dans cette affaire pour "faux témoignage" et "délaissement (...) d'une personne incapable de se protéger en raison de son état physique". Selon la procédure, les policiers doivent conduire en cellule de dégrisement ou à l'hôpital toute personne en état d'ébriété avancée. Les trois policiers ont toujours affirmé que l'ouvrier ne semblait pas suffisamment ivre pour cela.
L'autopsie avait permis de déterminer que la cause de la mort de l'ouvrier était la noyade "provoquée par un choc thermodifférentiel provoquant un arrêt cardiorespiratoire". Il présentait un taux d'alcoolémie de 3,74 grammes au moment de sa mort. Les légistes n'avaient alors "pas relevé de traces de violence, de blessures, de perforations ou de plaies" sur le corps, selon le procureur de la République de Nantes. Celui-ci avait précisé que des investigations allaient continuer pour définir si Taoufik el-Amri était tombé accidentellement à l'eau ou s'il y avait été poussé.
Prison ferme pour deux trafiquants de cannabis
Le tribunal correctionnel d'Angers a condamné hier deux Angevins, dix-huit mois de prison pour l'un et dix mois pour l'autre.
Novembre 2005. Des policiers reçoivent le témoin d'un trafic de stupéfiant sur la périphérie d'Angers auquel se livre habituellement un dénommé « Cisko », un ancien agent immobilier de 25 ans. Son téléphone portable est mis sur écoute : un trafic de cannabis peut être décelé. La perquisition chez ce dernier est fructueuse pour les agents de police : 765 g de cannabis et 500 € en billet de 20. « Cisko » avoue tout : sa consommation (10 à 15 joints par jour) ses achats (15 à 20 kg de résine de cannabis en deux ans) et ses reventes (environ 3 kg en deux ans).
L'enquête permettra de révéler l'identité du plus gros fournisseur de « Cisko ». Il lui a en effet fourni près de 7 kg de résine de cannabis. La perquisition à son domicile permet aux policiers une prise de 1, 8 kg de cannabis, un revolver à gaz, et une clé de voiture BMW qui se trouvait dans le box du dealer. Cette clé correspond à une voiture volée.
À la barre, les deux prévenus reconnaissent les faits pour le trafic de stupéfiants, hormis sur les quantités qui, selon le président Jean-Paul Besson, « ont baissé au fur et à mesure que l'enquête avançait, laissant la place aux contradictions des prévenus ». Mais, pour le recel de la BMW, le prévenu nie en bloc : « C'est un ami qui m'a demandé de garder sa voiture, je ne savais rien. » Et pourtant, la voiture en question s'y trouvait depuis... deux ans.
Les avocats de la défense s'appuient sur la dure réalité du trafic de drogue, et sur l'incompatibilité d'une incarcération pour une réinsertion. Le ministère public, prenant acte du casier vierge de « Cisko », requiert une peine de prison de 15 mois dont 5 mois avec sursis, et une amende de 8 000 €. Pour l'autre dealer poursuivi également pour recel de voiture, sont requis la peine de 24 mois de prison dont 6 avec sursis et une amende de 15 000 €. Le propriétaire du véhicule demande quant à lui la somme de 2 400 € à titre de réparation du préjudice.
Le tribunal condamne le receleur à une peine de 18 mois de prison ferme, 6 000 € d'amende et 1 500 € pour le propriétaire de la voiture. « Cisko » est quant à lui condamné à une amende de 4 000 € et à 10 mois de prison, temps couvert par le temps de sa détention. Il est donc libre.
Ouest-France
Le tribunal correctionnel d'Angers a condamné hier deux Angevins, dix-huit mois de prison pour l'un et dix mois pour l'autre.
Novembre 2005. Des policiers reçoivent le témoin d'un trafic de stupéfiant sur la périphérie d'Angers auquel se livre habituellement un dénommé « Cisko », un ancien agent immobilier de 25 ans. Son téléphone portable est mis sur écoute : un trafic de cannabis peut être décelé. La perquisition chez ce dernier est fructueuse pour les agents de police : 765 g de cannabis et 500 € en billet de 20. « Cisko » avoue tout : sa consommation (10 à 15 joints par jour) ses achats (15 à 20 kg de résine de cannabis en deux ans) et ses reventes (environ 3 kg en deux ans).
L'enquête permettra de révéler l'identité du plus gros fournisseur de « Cisko ». Il lui a en effet fourni près de 7 kg de résine de cannabis. La perquisition à son domicile permet aux policiers une prise de 1, 8 kg de cannabis, un revolver à gaz, et une clé de voiture BMW qui se trouvait dans le box du dealer. Cette clé correspond à une voiture volée.
À la barre, les deux prévenus reconnaissent les faits pour le trafic de stupéfiants, hormis sur les quantités qui, selon le président Jean-Paul Besson, « ont baissé au fur et à mesure que l'enquête avançait, laissant la place aux contradictions des prévenus ». Mais, pour le recel de la BMW, le prévenu nie en bloc : « C'est un ami qui m'a demandé de garder sa voiture, je ne savais rien. » Et pourtant, la voiture en question s'y trouvait depuis... deux ans.
Les avocats de la défense s'appuient sur la dure réalité du trafic de drogue, et sur l'incompatibilité d'une incarcération pour une réinsertion. Le ministère public, prenant acte du casier vierge de « Cisko », requiert une peine de prison de 15 mois dont 5 mois avec sursis, et une amende de 8 000 €. Pour l'autre dealer poursuivi également pour recel de voiture, sont requis la peine de 24 mois de prison dont 6 avec sursis et une amende de 15 000 €. Le propriétaire du véhicule demande quant à lui la somme de 2 400 € à titre de réparation du préjudice.
Le tribunal condamne le receleur à une peine de 18 mois de prison ferme, 6 000 € d'amende et 1 500 € pour le propriétaire de la voiture. « Cisko » est quant à lui condamné à une amende de 4 000 € et à 10 mois de prison, temps couvert par le temps de sa détention. Il est donc libre.
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SCOman
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Mort de rire ! Sacré Cisco...VICASCO a écrit :Ce mec , cache bien son jeumike a écrit :cisco j'etais sur que t'etais dans le coup
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Pfffff, faut toujours que la presse exagère tout... 
10 à 15 joints par jour alors que je suis à peine à 5
Bon maintenant les gars, s'il y a du monde sur la corde à linge vous saurez a qui vous adresser
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Ya des mecs culottés quand même !!!!! 
MONTPELLIER (AFP) - Un habitant de l'Hérault, qui se déclarait paraplégique pour toucher des allocations d'handicapé, faisait du karaté le soir et a été surpris sur un tatami en train de passer sa ceinture noire, a-t-on appris jeudi de source policière.
L'homme, âgé de 44 ans, a été mis en examen à Montpellier pour escroquerie. Depuis plusieurs mois, il se disait paraplégique et se déplaçait uniquement en fauteuil roulant, touchant 750 euros par mois d'allocations handicapé.
Sur dénonciation, les policiers étaient allés le voir dans son club de karaté et l'avaient filmé. Il se livrait à des combats et n'était pas vraiment débutant puisqu'il était en train de passer sa ceinture noire.
Les policiers, après avoir recueilli des témoignages auprès de ses partenaires du club, l'ont convoqué au commissariat où il s'est présenté en fauteuil roulant. Il a nié avoir menti, même après présentation des preuves et un examen médical qui n'a décelé aucun handicap, assurant se doper pour pratiquer le karaté ce qui lui permettait de se mettre debout malgré l'accident (réel) qui l'avait laissé, selon lui, handicapé.
C'est d'ailleurs en fauteuil roulant qu'il a demandé à être conduit devant le juge du parquet de Montpellier qui l'a mis en examen pour escroquerie.
MONTPELLIER (AFP) - Un habitant de l'Hérault, qui se déclarait paraplégique pour toucher des allocations d'handicapé, faisait du karaté le soir et a été surpris sur un tatami en train de passer sa ceinture noire, a-t-on appris jeudi de source policière.
L'homme, âgé de 44 ans, a été mis en examen à Montpellier pour escroquerie. Depuis plusieurs mois, il se disait paraplégique et se déplaçait uniquement en fauteuil roulant, touchant 750 euros par mois d'allocations handicapé.
Sur dénonciation, les policiers étaient allés le voir dans son club de karaté et l'avaient filmé. Il se livrait à des combats et n'était pas vraiment débutant puisqu'il était en train de passer sa ceinture noire.
Les policiers, après avoir recueilli des témoignages auprès de ses partenaires du club, l'ont convoqué au commissariat où il s'est présenté en fauteuil roulant. Il a nié avoir menti, même après présentation des preuves et un examen médical qui n'a décelé aucun handicap, assurant se doper pour pratiquer le karaté ce qui lui permettait de se mettre debout malgré l'accident (réel) qui l'avait laissé, selon lui, handicapé.
C'est d'ailleurs en fauteuil roulant qu'il a demandé à être conduit devant le juge du parquet de Montpellier qui l'a mis en examen pour escroquerie.
Modifié en dernier par VICASCO le jeu. 22 mars, 2007 9:51 pm, modifié 1 fois.
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Scènes d'émeutes Gare du Nord
Affrontement entre jeunes et policiers à Gare du Nord, le 27 mars 2007
Sept personnes ont été interpellées mardi après des heurts dans les sous-sols de la gare. Vers 20h, la situation n'était pas encore stabilisée.
Selon la préfecture, les incidents ont commencé quand un voyageur dépourvu de titre de transport a été contrôlé par deux agents de la RATP et s'est rebellé.
- le 27/03/2007 - 20h16
Sept personnes ont été interpellées mardi soir à la gare du Nord à Paris après des heurts qui ont opposé plusieurs centaines de personnes à des policiers, à la suite d'un incident ayant opposé un voyageur et des contrôleurs de la RATP. Les affrontements se poursuivaient en début de soirée dans la zone de transit de la gare du Nord, entre secteur SNCF et RATP.
Selon le journaliste de TF1 présent sur place, Christophe Pallée, les heurts ont été "très violents". Environ 200 personnes, présentées par la police comme des marginaux habitués de l'endroit, ont fait face à plusieurs dizaines de policiers. Les émeutiers ont jeté divers projectiles sur les forces de l'ordre, dont des pots de fleurs et des bouteilles vides, ont rapporté des témoins. Aux cris de "Sarkozy hypocrite", des jeunes ont expliqué être venus protester contre "les brutalités infligées à un voyageur dépourvu de titre de transport", affirmant que ce dernier avait eu "la main cassée".
Le trafic a repris peu avant 20h
Selon la préfecture, les incidents ont commencé vers 16h15 quand un voyageur dépourvu de titre de transport a été contrôlé par deux agents de la RATP et s'est rebellé, blessant les deux contrôleurs. Un groupe de gendarmes qui patrouillait dans la gare dans le cadre du plan Vigipirate a alors interpellé l'individu en question et l'a conduit dans un local de solidarité. Plusieurs dizaines de personnes se sont alors rassemblées devant ce local et les affrontements ont commencé, amenant la venue de renforts de police.
Par mesure de sécurité, la RATP a ordonné aux rames de deux lignes importantes de métro et aux rames de la ligne D du RER qui transitent par la gare du Nord de ne plus s'arrêter à la station. Le trafic a repris peu avant 20h.
Affrontement entre jeunes et policiers à Gare du Nord, le 27 mars 2007
Sept personnes ont été interpellées mardi après des heurts dans les sous-sols de la gare. Vers 20h, la situation n'était pas encore stabilisée.
Selon la préfecture, les incidents ont commencé quand un voyageur dépourvu de titre de transport a été contrôlé par deux agents de la RATP et s'est rebellé.
- le 27/03/2007 - 20h16
Sept personnes ont été interpellées mardi soir à la gare du Nord à Paris après des heurts qui ont opposé plusieurs centaines de personnes à des policiers, à la suite d'un incident ayant opposé un voyageur et des contrôleurs de la RATP. Les affrontements se poursuivaient en début de soirée dans la zone de transit de la gare du Nord, entre secteur SNCF et RATP.
Selon le journaliste de TF1 présent sur place, Christophe Pallée, les heurts ont été "très violents". Environ 200 personnes, présentées par la police comme des marginaux habitués de l'endroit, ont fait face à plusieurs dizaines de policiers. Les émeutiers ont jeté divers projectiles sur les forces de l'ordre, dont des pots de fleurs et des bouteilles vides, ont rapporté des témoins. Aux cris de "Sarkozy hypocrite", des jeunes ont expliqué être venus protester contre "les brutalités infligées à un voyageur dépourvu de titre de transport", affirmant que ce dernier avait eu "la main cassée".
Le trafic a repris peu avant 20h
Selon la préfecture, les incidents ont commencé vers 16h15 quand un voyageur dépourvu de titre de transport a été contrôlé par deux agents de la RATP et s'est rebellé, blessant les deux contrôleurs. Un groupe de gendarmes qui patrouillait dans la gare dans le cadre du plan Vigipirate a alors interpellé l'individu en question et l'a conduit dans un local de solidarité. Plusieurs dizaines de personnes se sont alors rassemblées devant ce local et les affrontements ont commencé, amenant la venue de renforts de police.
Par mesure de sécurité, la RATP a ordonné aux rames de deux lignes importantes de métro et aux rames de la ligne D du RER qui transitent par la gare du Nord de ne plus s'arrêter à la station. Le trafic a repris peu avant 20h.
viva blanco y negro por la vida...
d un autre cote la police n intervient que sur demande des controleur RATP, donc si les controleurs RATP ont demande une intervention supplementaire c est que deja ils ne pouvaient pas faire leur boulot !!!
et franchement les mecs prennent le train sans payer ok, mais qd ils pris c est pas la peine de gueuler comme des putois comme koi c est lamentable ...
surtout a gare du nord qui n est pas une gare limitrophe, donc tu as le ticket ou non ... apres les mecs ils ne veulent pas payer ben ok mais ils assument derriere.
et franchement les mecs prennent le train sans payer ok, mais qd ils pris c est pas la peine de gueuler comme des putois comme koi c est lamentable ...
surtout a gare du nord qui n est pas une gare limitrophe, donc tu as le ticket ou non ... apres les mecs ils ne veulent pas payer ben ok mais ils assument derriere.
la lfp ou comment essayer de detruire un club ...
Ca n'excuse pas l'attitude de cow boys de beaucoup de flics dans ce pays.coslain a écrit :d un autre cote la police n intervient que sur demande des controleur RATP, donc si les controleurs RATP ont demande une intervention supplementaire c est que deja ils ne pouvaient pas faire leur boulot !!!
et franchement les mecs prennent le train sans payer ok, mais qd ils pris c est pas la peine de gueuler comme des putois comme koi c est lamentable ...
surtout a gare du nord qui n est pas une gare limitrophe, donc tu as le ticket ou non ... apres les mecs ils ne veulent pas payer ben ok mais ils assument derriere.
Croaaaa!!!
d un autre cote s il y avait respect de l autorite il y aurait tres certainement moins d attitude de cow boys ... la j insiste sur le fait que si la police est intervenue, cela signifie qu il y avait eu violences sur agents ratp AVANT !!! la violence ne devrait pas engendrer la violence on est d accord, maintenant comment tu vas expliquer ca aux personnes qui ne veulent rien respecter ? en leur chantant une comptine ? non tu dois les interpeller et si les personnes agressent ? bon ... il n y a pas d excuses a chercher mais des explications a trouver :sjourdesco a écrit : Ca n'excuse pas l'attitude de cow boys de beaucoup de flics dans ce pays.
la lfp ou comment essayer de detruire un club ...
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Matt
- Scoïste, enfin !
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sujet très interressant...meme s'il date de 2004Cisco a écrit :Oui enfin tout dépend de la signification que tu souhaites faire porter aux symbôles. C'est vrai que la croix de Lorraine / anjou comme nous l'explique si bien Foulque peut être d'une part le symbole du gaullisme et de la résistance et d'autre part celui de mouvements indépandantistes angevins (on croit rêver...
j'etaye ce point de vue en me referant ua da vinc code, qui au dela de la polemique qui a aide à sa vente et qui m'a fait aussi achete le bouquin, m'a permis d'en apprendre beaucoup sur l'histoire des symboles à travers le temps.
Et il est vrai que les symboles sont souvent deviés, (la signification qu'on leur donne) selon l'époque ou le contexte historique...
Comme le raconte le Da vinci code et pour les souvenirs que j'en ai (ma memoire me fait defaut je vieillis)
,le pentacle, symbole de ce qui rapporte au diable 
ou à la magie noire était,avant l'emergence de la religion chretienne, un symbole de religion paienne venerant proritairement la nature...la religion chretienne a instrumentalise l'image de ce symbole se rapportant au diable pour legitimer son importance et son pouvoir...par contre,je ne suis pas historien pour le confirmerpar contre je conseil, anges et demons, qui apres quelques pages me parait pas mal du tout...
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Matt
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je pense que dans cette histoire nous ne saurons jamais veritablement le contexte,coslain a écrit :d un autre cote s il y avait respect de l autorite il y aurait tres certainement moins d attitude de cow boys ... la j insiste sur le fait que si la police est intervenue, cela signifie qu il y avait eu violences sur agents ratp AVANT !!! la violence ne devrait pas engendrer la violence on est d accord, maintenant comment tu vas expliquer ca aux personnes qui ne veulent rien respecter ? en leur chantant une comptine ? non tu dois les interpeller et si les personnes agressent ? bon ... il n y a pas d excuses a chercher mais des explications a trouver :sjourdesco a écrit : Ca n'excuse pas l'attitude de cow boys de beaucoup de flics dans ce pays.
la derniere fois que j'ai pris le metro, il y a eu une interpellation du meme genre pour un gars qui tenait a peine debout tellement il etait ivre.
Le flic lui parle, et là, il a le malheur de faire tomber sa binouze par terre...le flic dans la seconde chope le mec, la plaque face contre bitume telle une tranche de jambon, et sort sa matraque pour lui en donner un petit coup en passant..
.............................un ange passe........... et ca a commence a gueuler sur le flic pour sa reaction excessive , je ne sais pas pour quels raisons le flic a pris ainsi le mec,soit a t'il cru à une agression ou soit c'est un sacrilege de faire tomber une kro sans en avoir vider le contenu....mon avis est que dans un ordre general, les flics passe de plus en plus a la repression trop rapidement, et c'est ce qui pour moi c'est passé hier.
pour moi la personne a blame est celle qui impose le tout repressif et oublie le dialogue avant tout et meme si les flics sont sous pression ce genre de reaction est inadmissible.
Bien sur que des violences policières il y en a partout.
Mais pour hier c'est pas la violence policière qui est en cause !
ce qu'il ressort (même si il faut rester prudent) c'est qu'un Congolais multirécidiviste et interdit de territoire passe un tourniquet sans ticket, se fait choper, se rebelle et frappe 2 controleurs puis est emmené de force par la police.
et après la racaille à saccagé la gare du nord...
8 blessés = 8 policiers-agents sncf-ratp
200-300 assaillants = 13 interpellations
Pour ceux qui connaissent Paris, la gare du Nord n'est par réputée pour l'hospitalité des autochtones...
douce France...
Mais pour hier c'est pas la violence policière qui est en cause !
ce qu'il ressort (même si il faut rester prudent) c'est qu'un Congolais multirécidiviste et interdit de territoire passe un tourniquet sans ticket, se fait choper, se rebelle et frappe 2 controleurs puis est emmené de force par la police.
et après la racaille à saccagé la gare du nord...
8 blessés = 8 policiers-agents sncf-ratp
200-300 assaillants = 13 interpellations
Pour ceux qui connaissent Paris, la gare du Nord n'est par réputée pour l'hospitalité des autochtones...
douce France...
