[Joueur de la décennie] 1970-1979
Posté : dim. 26 mai, 2019 2:49 pm
Toutes les 3 semaines, nous vous proposerons de voter pour LE joueur d'une décennie parmi un panel de 11 pré-sélectionnés. Comme un remplacement est désormais autorisé, nous avons ajouté un 12ème homme. A vous de voir qui vous voulez récompenser : le meilleur joueur ? le plus emblématique ? votre chouchou ?
Bien sûr, il manquera toujours tel ou tel joueur dans le panel... mais il faut bien faire des choix !
Ces sondages sont accessibles au vote pour les non-inscrits du forum afin de permettre au plus grand nombre de s'exprimer.
GALLINA René / Gardien / 65-73 / Recruté très jeune au Stade français, il s’installe très vite en équipe première et tient les buts du SCO pendant huit saisons, silhouette longiligne et souple. Son nom est indétachable de ces belles années. En 1973, il rejoint le Paris F.C. puis continue en D1 à Bordeaux et Avignon où il termine sa carrière professionnelle, et retourne vivre à Nice, sa ville natale.
FELCI Christian / Arrière droit / 74-81 / Arrivé au SCO à 17 ans, il fait ses débuts en équipe première un an plus tard puis est de toutes les équipes de la seconde moitié des années 70, cheveux frisés et splendides moustaches à la mode de l’époque. Le dépôt de bilan de décembre 1981 entraîne malheureusement son licenciement. Il retrouvera la D1 avec Laval puis mènera une carrière d’entraîneur, notamment à Segré.
DAMJANOVIC Milan / Arrière / 71-77 / C’est une « pointure » que le SCO recrute en 1971 : ce défenseur central yougoslave a déjà gagné plusieurs championnats dans son pays, participé à l’épopée menant le Partizan en finale de la coupe d’Europe des clubs champions et joué la finale de l’Euro 68 (perdue face à l'Italie de Zoff, Facchetti, Riva…) ! Son expérience concourt à la période dorée du SCO.
BRULEZ Patrick / Arrière / 71-80 / Ce Choletais a tâté de la D3 avec le SOC quand il arrive au SCO à vingt ans. Il s’installe en équipe première dès l’année suivante et y reste tout au long des années 70, dans les grandes heures comme pendant les années de D2 (75-76 et 77-78). Il poursuit ensuite en D1 chez les voisins de Tours puis Rennes.
CITRON Jean-Yves / Arrière gauche / 74-80 / Natif d’Angers, formé à l’Intrépide, il remporte le concours du meilleur jeune de l’Union d’Anjou. Arrivé au SCO à 20 ans, il y reste durant les « années yoyo » puis poursuit sa carrière ailleurs en D2. Son fils Bertrand jouera également en équipe première du SCO.
CASSAN Michel / Milieu / 71-80 / Joueur à la fois technique et tenace, il devient titulaire à partir de 1973, deux ans après son arrivée en provenance d’Evreux, et le reste jusqu’en 1980, date à laquelle il entame une carrière d’entraîneur-joueur, à l’instar de ses anciens équipiers Lemée et Guillou, à Epinal puis Alès (où il recrute son autre ancien camarade Felci resté sur le carreau).
LEMEE Jacky / Milieu / 70-74 / Il est « le » buteur du SCO en coupe d’Europe, marquant l’unique but angevin contre Berlin. Il a déjà une riche carrière en D1 quand il arrive au SCO et il la poursuivra brillamment après ses saisons scoïstes, gagnant la coupe de France avec Marseille en 1976. La Coupe de France lui fournira une autre heure de gloire en 1980 quand, entraîneur-joueur, il mènera les semi-pros d’Orléans en finale.
POLI Albert / Milieu / 65-74 / Immigré italien grandi en Lorraine, il arrive au SCO à vingt ans et en est la plaque tournante durant presque une décennie, associé à Dogliani puis à Guillou. Le duo Poli-Guillou est fameux dans la France entière, synonyme du beau jeu à l’angevine. Il poursuit sa carrière à Paris puis à Rouen.
GUILLOU Jean-Marc / Milieu offensif / 64-75 / Au début des années 1970, il est le meilleur joueur français. Sous son animation, le SCO figure parmi les meilleures équipes du championnat, aussi bien au classement que par la qualité de son jeu. Il est sélectionné en Equipe de France. Son départ à Nice en 1975 provoque la démission du président Kerjean. Il mènera une longue carrière d’entraîneur-joueur à Nice, Neuchâtel, Mulhouse (D1 comprise) et Cannes.
BERDOLL Marc / Attaquant / 70-76 puis 80-81 / Qui ne le connaît pas ? Natif de Trélazé, il débute au Foyer puis connaît une ascension fulgurante au SCO : la D1 à 17 ans et l’équipe de France à 20 ans ! Il marque but sur but. Après les grandes heures, il reste au SCO malgré la relégation de 1975 et contribue à la remontée en D2. Après un exil en Sarre, il retrouve le haut niveau à l’Olympique de Marseille, participe à la coupe du Monde de 1978 et revient au SCO en 1980, y reste malgré la relégation mais est finalement contraint au départ lors de la faillite financière du club fin 1981.
EDWIGE Eric / Attaquant / 65-77 / Arrivé d’un club alsacien à vingt ans, il accomplit l’une des plus longues carrières au SCO, prenant part aux plus belles années (podium, de D1, records de D2, coupe d’Europe…), et marquant notamment 18 buts lors de la saison 73-74. Il prolonge ensuite sa carrière dans le Midi en division inférieure puis s’établit dans sa Guyane natale.
12ème : BARTHELEMY André / Attaquant / 76-77 / Recruté à Montélimar à 22 ans, son unique saison au SCO est météorique (18 buts en 37 matches de championnat) et lui ouvre les portes du grand Saint-Etienne : presque un retour au pays pour ce Valentinois. Sa carrière ultérieure sera cependant en demi-teinte.
Bien sûr, il manquera toujours tel ou tel joueur dans le panel... mais il faut bien faire des choix !
Ces sondages sont accessibles au vote pour les non-inscrits du forum afin de permettre au plus grand nombre de s'exprimer.
GALLINA René / Gardien / 65-73 / Recruté très jeune au Stade français, il s’installe très vite en équipe première et tient les buts du SCO pendant huit saisons, silhouette longiligne et souple. Son nom est indétachable de ces belles années. En 1973, il rejoint le Paris F.C. puis continue en D1 à Bordeaux et Avignon où il termine sa carrière professionnelle, et retourne vivre à Nice, sa ville natale.
FELCI Christian / Arrière droit / 74-81 / Arrivé au SCO à 17 ans, il fait ses débuts en équipe première un an plus tard puis est de toutes les équipes de la seconde moitié des années 70, cheveux frisés et splendides moustaches à la mode de l’époque. Le dépôt de bilan de décembre 1981 entraîne malheureusement son licenciement. Il retrouvera la D1 avec Laval puis mènera une carrière d’entraîneur, notamment à Segré.
DAMJANOVIC Milan / Arrière / 71-77 / C’est une « pointure » que le SCO recrute en 1971 : ce défenseur central yougoslave a déjà gagné plusieurs championnats dans son pays, participé à l’épopée menant le Partizan en finale de la coupe d’Europe des clubs champions et joué la finale de l’Euro 68 (perdue face à l'Italie de Zoff, Facchetti, Riva…) ! Son expérience concourt à la période dorée du SCO.
BRULEZ Patrick / Arrière / 71-80 / Ce Choletais a tâté de la D3 avec le SOC quand il arrive au SCO à vingt ans. Il s’installe en équipe première dès l’année suivante et y reste tout au long des années 70, dans les grandes heures comme pendant les années de D2 (75-76 et 77-78). Il poursuit ensuite en D1 chez les voisins de Tours puis Rennes.
CITRON Jean-Yves / Arrière gauche / 74-80 / Natif d’Angers, formé à l’Intrépide, il remporte le concours du meilleur jeune de l’Union d’Anjou. Arrivé au SCO à 20 ans, il y reste durant les « années yoyo » puis poursuit sa carrière ailleurs en D2. Son fils Bertrand jouera également en équipe première du SCO.
CASSAN Michel / Milieu / 71-80 / Joueur à la fois technique et tenace, il devient titulaire à partir de 1973, deux ans après son arrivée en provenance d’Evreux, et le reste jusqu’en 1980, date à laquelle il entame une carrière d’entraîneur-joueur, à l’instar de ses anciens équipiers Lemée et Guillou, à Epinal puis Alès (où il recrute son autre ancien camarade Felci resté sur le carreau).
LEMEE Jacky / Milieu / 70-74 / Il est « le » buteur du SCO en coupe d’Europe, marquant l’unique but angevin contre Berlin. Il a déjà une riche carrière en D1 quand il arrive au SCO et il la poursuivra brillamment après ses saisons scoïstes, gagnant la coupe de France avec Marseille en 1976. La Coupe de France lui fournira une autre heure de gloire en 1980 quand, entraîneur-joueur, il mènera les semi-pros d’Orléans en finale.
POLI Albert / Milieu / 65-74 / Immigré italien grandi en Lorraine, il arrive au SCO à vingt ans et en est la plaque tournante durant presque une décennie, associé à Dogliani puis à Guillou. Le duo Poli-Guillou est fameux dans la France entière, synonyme du beau jeu à l’angevine. Il poursuit sa carrière à Paris puis à Rouen.
GUILLOU Jean-Marc / Milieu offensif / 64-75 / Au début des années 1970, il est le meilleur joueur français. Sous son animation, le SCO figure parmi les meilleures équipes du championnat, aussi bien au classement que par la qualité de son jeu. Il est sélectionné en Equipe de France. Son départ à Nice en 1975 provoque la démission du président Kerjean. Il mènera une longue carrière d’entraîneur-joueur à Nice, Neuchâtel, Mulhouse (D1 comprise) et Cannes.
BERDOLL Marc / Attaquant / 70-76 puis 80-81 / Qui ne le connaît pas ? Natif de Trélazé, il débute au Foyer puis connaît une ascension fulgurante au SCO : la D1 à 17 ans et l’équipe de France à 20 ans ! Il marque but sur but. Après les grandes heures, il reste au SCO malgré la relégation de 1975 et contribue à la remontée en D2. Après un exil en Sarre, il retrouve le haut niveau à l’Olympique de Marseille, participe à la coupe du Monde de 1978 et revient au SCO en 1980, y reste malgré la relégation mais est finalement contraint au départ lors de la faillite financière du club fin 1981.
EDWIGE Eric / Attaquant / 65-77 / Arrivé d’un club alsacien à vingt ans, il accomplit l’une des plus longues carrières au SCO, prenant part aux plus belles années (podium, de D1, records de D2, coupe d’Europe…), et marquant notamment 18 buts lors de la saison 73-74. Il prolonge ensuite sa carrière dans le Midi en division inférieure puis s’établit dans sa Guyane natale.
12ème : BARTHELEMY André / Attaquant / 76-77 / Recruté à Montélimar à 22 ans, son unique saison au SCO est météorique (18 buts en 37 matches de championnat) et lui ouvre les portes du grand Saint-Etienne : presque un retour au pays pour ce Valentinois. Sa carrière ultérieure sera cependant en demi-teinte.